La Théocratie

écrivain engagé, il étudie, tout comme Machiavel, la politique d’une façon rationnaliste. « Il vaut mieux la paix sans Dieu, que la guerre avec Dieu. » (J.Bodin) * Il adhère à la laïcité = garantir la liberté religieuse, c’est-à-dire pas de théocratie et pas d’identification religieuse dans l’Etat * TOLERANCE Bodin se lance dans la rédaction d’un traité sur l’Etat moderne : Trié sur la Répubique (1576) Théorie de Bodin : * Souveraineté : * Interne (= égalité sur tout le

République populaire de Chine considère le Tibet comme un territoire relevant de sa souveraineté et avance des arguments historiques (une ancienne présence chinoise, le protectorat de 1720-1910), politiques et économiques (l'abolition du régime de théocratie féodale et la modernisation du pays) et stratégiques (la protection de la Chine). Cette vision est intégrée dans la politique d'une seule Chine et est celle admise par la plupart des pays de la communauté internationale. -Le gouvernement tibétain

ainsi que parce que les évangiles et les épitres de Paul et des autres apôtres semblaient davantage conçus pour inviter à la charité chrétienne et à la non-résistance que pour fournir au législateur les règles nécessaires à l'établissement d'une théocratie. Les chasses aux sorcières sont aussi considérés comme se rapprochant du phénomène des psychoses collectives qui se manifestaient en temps de crise durant le Moyen-Age et qui prirent cette forme particulière durant la Renaissance (d'autres y voient

champ qui ne lui appartient pas, et s’il ne se passe rien durant les 30 années qui suivent, alors le champ finit par lui appartenir. b) Le droit et la religion Il existe des états ou la religion est officielle : c’est ce qu’on appelle la « théocratie ». Exemple avec l’Iran… Mais il faut savoir que même dans un état théocratique, certaines lois imposées ne sont pas forcement religieux (ex : code de la route), même si la plupart des lois sont le plus souvent religieuses. Toutefois, certaines

donc faillible et soumis à réactualisation, réforme), adaptées aux différentes cultures et sociétés ; ce principe là est d’une importance capitale, en lien avec notre prochaine partie sur le pluralisme dans les sociétés occidentales. c) De la théocratie à la démocratie. « shura : Consultation, concertation ; pratique recommandée aux gouvernants par le Coran. » Le terme de « shura » présent dans le Coran renvoi à l’idée de consultation, ainsi les dirigeants se doivent de demander l’avis du peuple

bouleversement dans les institutions va laisser des traces profondes sur les deux nations qui vont naître de cet empire. Ainsi, Allemands et Français seront marqués, jusqu’à nos jours, par cette renaissance de l’Empire romain de l’an 800. B – La théocratie royale carolingienne et ses conséquences L’alliance du trône et de l’autel est matérialisée par l’institution du sacre. Une fois sacré, le roi carolingien est alors investi d’une mission, d’un ministère comme s’il était un prêtre.

bref et Charlemagne ont approfondi les relations avec l'Église. Cet appui à été déterminant pour Pépin. Trois aspects sont à aborder concernant le pouvoir chez les Carolingiens : La théocratie royale, le Rétablissement de la dignité impériale et l'Esprit germanique qui continue de s’exercer. I. L'esquisse d'une théocratie royale D'emblée c'est une monarchie royale qui s'installe. Pépin, pour renforcer sa légitimité, a eu recours au sacre. Cette cérémonie débute par une proclamation, on procède

avec une constitution. La théorie politique Les nombreux articles relatifs à la société humaine («Agriculture», «Autorité politique», «Corruption», «Droit naturel», «Egalité naturelle», «Nation», «Oppresseurs», «Peuple», «Représentants», «Théocratie», «Tolérance», «Tyran»...) décrivent les hommes comme des êtres dotés d'une sociabilité naturelle. A cette première notion clé du politique s'ajoute celle d'intérêt général, qui repose sur l'idée que le genre humain constitue une seule et même

dans la seconde moitié du XIème siècle. Elle essaye en effet de lutter contre l’ingérence des rois et des laïcs dans le domaine religieux. Ainsi, la papauté cherche à empêcher les rois et les princes de nommer les évêques et cherche à imposer une théocratie pontificale. L’Eglise se place donc au-dessus des rois et le pape est l’arbitre suprême de la chrétienté. L’Eglise devient une véritable institution monarchique qui va permettre un rayonnement culturel par la multiplication des bibliothèques, des

restaurant le pouvoir du pape, en rabaissant celui de l'Empereur (ATTENTION: il ne s'agit pas d'une séparation de l'Eglise et de l'Etat totalement impensable à l'époque! Il s'agit de savoir qui gouvernera qui, nous passons ici du césaropapisme à la théocratie!), ainsi qu'en rappelant l'interdiction de la Simonie, du Nicolaïsme et de l'Usure. Ce texte est aussi le point de départ d'un nouvel élément: la lutte contre l'Hérésie qui s'étendra non plus seulement aux Vaudois mais à toute personne remettant