Le Cogito Cartesien

entre les visions Cartésienne et Spinoziste de la liberté. Qu'est-ce que Descartes entend par liberté? Qu'est-ce que Spinoza entend par liberté? Pourquoi et qu'elle différences y a-t-il entre les deux visions. Descartes est né en en France en 1596. D'une famille aisé, il étudie au collège Jésuite de La Flèche. Célèbre surtout pour ses contributions au monde des mathématiques ainsi que de la philosophie, il révolutionne la façon de pensée de son époque avec son fameux “Cogito Ergo Sum”. Il faut

« moi » qu’on accuse et qui a agi ? Si on pose la question ainsi cela signifie que le moi est bien quelque chose puisque c’est l’unité du « moi » qui permet de définir alors l’unité de la personne. Il faut voir maintenant en quoi la position cartésienne qui attache étroitement le « moi » et la conscience de ce « moi » à une substance pensante dont on peut donner les critères d’identité est donc tenable. ********************************************************************************** Les problèmes

Mais qui est donc René Descartes, l'homme au Cogito ergo sum, dont le nom est devenu synonyme de rigueur mathématique. Etre cartésien, nous dit le Petit Larousse, c'est être méthodique et rationnel. René Descartes est né le 31 mars 1596 dans un petit village de Tourraine, d'une famille de moyenne bourgeoisie (son père est conseiller au Parlement de Bretagne). Il ne connaitra jamais sa mère, décédée des suites de son accouchement. Lui-même sera handicapée toute sa vie par une santé fragile qui le

évidemment faire un choix, éprouvé par notre réflexion en faisant intervenir notre conscience. Il y a alors la réapparition du cogito qui prend ici toute sa dimension. La célèbre citation de R. Descartes « cogito ergo sum » plus connu en français sous la forme « Je pense, donc je suis ». Cette citation de R. Descartes reflète parfaitement le texte sans intervention du cogito il n’y a pas de présence du sujet qui devient absent et laisse son avenir se faire et se dessiner. Avec l’intervention de la

contre, il s’en est servi comme outil donné par Dieu pour le connaitre et connaitre soi-même. Cette connaissance de Dieu et de soi-même forme la métaphysique cartésienne qui va se fonder sur le doute méthodique. La réalité spirituelle implique la réalité de l’existence, et l’âme est définissable par le cogito (=*le* je pense). Le cogito est une intuition d’existence qui se voit dans l’esprit de Descartes comme un critère de vérité -je pense donc j’existe comme il l’a dit dans sa célèbre assertion-

L’homme a conscience de soi, cela fait de lui une personne, c’est-à-dire un individu. Reste à savoir quelle certitude la conscience nous délivre sur nous-même. La conscience peut-elle constituer un modèle de certitude ? 2) La certitude du « Cogito » (Descartes) a) Un projet : la recherche de la vérité Que peut-on savoir de certain ? Descartes cherche à fonder les sciences. « pour bien conduire la raison et chercher la vérité dans les sciences » Il s’agit de trouver un point d’appui, c’est-à-dire

conscience morale est un effet de surface du surmoi, mais comme l'expression l'indique elle est consciente. L'exposé succinct de ces quelques éléments doctrinaux montre combien cette théorie du psychisme humain est une remise en cause radicale du cogito. D'une part, elle établit que sur la scène psychique, le sujet n'est pas transparent à lui-même. Descartes pose l'équivalence : pensée -conscience -psychisme. Souvenons-nous de son affirmation : « Par le nom de pensée, j'entends tout ce qui se

conscience. Pour que ce ne soit pas une question absurde, il faut la reformuler : Être, c’est exister, c’est être présent au monde, marquer sa présence, en niant l’indépendance de ce qui nous entoure, comme l’explique Hegel, à travers l’analyse du double cogito ; D’autre part nous existons à travers le regard d’autrui, qui nous renvoie une image qui ne correspond pas nécessairement avec celle à laquelle nous avions imaginé. La conscience est la reconnaissance d’une idée de soi-même. Il faut s’interroger

pense, je suis. «Cogito ergo sum : je pense donc je suis. ». C’est le fondement de la philosophie, la première vérité qui résiste au doute. Le scepticisme est une école fondée par PYRRHON D’ELIS.(Peut-être que le vrai existe mais l’homme ne peut pas l’atteindre.) L’homme qui veut l’atteindre sera inquiet et troublé. Il faut réaliser la suspension du jugement : épochè, qui permet d’atteindre l’ataraxie (tranquillité de l’esprit, il n’est pas troublé) : Le doute cartésien a un but : parvenir

pour déterminer ce que je suis réellement au-delà de ce que je prendre conscience dans l’instant. Après avoir émis cette série de doutes, je sais que je pense, car je suis, c’est le « cogito ergo sum », je pense donc je suis et inversement. Je suis donc ce que je suis au terme de notre réflexion Cartésienne et non ce que j’ai conscience d’être spontanément. Il est donc facile de faire erreur, mais seule la conscience propre peux se rendre compte de ce problème, et cela grâce à notre méditation