Le Cogito Cartesien

sujet pensant a été éprouvée. B. L'intérêt d'une telle recherche est manifestée dans l'idéal technicien né de la révolution galiléo-cartésienne : a) « Parvenir à des connaissances qui soient fort utiles à la vie »(Descartes, Discours de la méthode, 6è partie) L'activité rationnelle et la découverte des premières certitudes ( métaphysiques, à commencer par le cogito et l'existence de Dieu) ont pour perspective une application dans le champ de la vie pratique. La physique doit déboucher sur une

ne semble pas avoir beaucoup écrit avant son installation en Hollande. La première œuvre de taille qui appartient de plein droit à la pensée cartésienne a été rédigée seulement à ce moment-là, mais Descartes ne l’a pas achevée. Le titre de cet ouvrage, écrit en latin, est : Règles pour la direction de l’esprit. C’est le premier exposé de la méthode cartésienne. Dès son arrivée à Amsterdam (mais il changera souvent de ville au cours des vingt ans passés en Hollande), Descartes commence un petit traité

bien la démarche philosophique et les conditions de réflexions d’après Husserl. Mais il se rapproche de Descartes dans « Les méditations métaphysiques » qui dit « qu’il ne conseille pas de le suivre dans les voies qu'il a explorées (la démarche Cartésienne) parce qu'il faut faire par soi-même l'épreuve de nos connaissances pour parvenir à la certitude » et qu’ainsi, il encourage son interlocuteur à trouver sa propre voie. De plus il dit, « Il n’y a pas d’autres voies qui s’offrent aux hommes, pour

concernant nos actes : je suis conscient de ce que je vois en même temps que de voir ¤ elle nous donne le sentiment d'être un moi singulier : le sujet s'affirme en s'opposant à tout ce qui n'est pas lui-même II- Situation et conséquences du cogito cartésien → Descartes (XVIIème)= première vérité indubitable « je pense donc je suis » => existence humaine capable de se reconnaitre dans la conscience qui accompagne chacune de ses pensées => sujet différencié de l'objet → nécessité de décrire les

actes (je suis conscient de ce que je vois en même temps que de voir) ; d’autre part, elle nous donne le sentiment d’être un moi singulier (le sujet s’affirme en s’opposant à tout ce qui n’est pas lui-même). 2 Situation et conséquences du cogito cartésien La pensée présente à elle-même Pour échapper à l’erreur, Descartes suspend tout jugement par un doute « hyperbolique ». Il met fin à ce dernier en découvrant la première vérité indubitable : le « je pense donc je suis ». L’existence humaine

créé par l’Etat, Chaque Etat agissait dans sa sphère : souveraineté Plus tard, mise en place du droit international (= droit commun à tous les Etats mais chaque Etat décide). Chaque individu est une personne isolée (= conception cartésienne de la personne). DESCARTES COGITO Anatomie de la volonté (je fais ce que je fais). Or, nouveau mouvement : le regard ne va plus seulement vers l’extérieur mais il vient vers nous (= dans les 2 sens). On prend en compte le regard des autres sur nous. Il y a petit

stylos=objets. I) Les méditations métaphysiques de Descartes Descartes met en place sa méthode de travail «… je m’appliquerai à détruire généralement toutes mes anciennes opinions » pour réaliser son objectif il met en place la méthode du Doute Cartésien, différent du doute sceptique, c’est un doute constructif, du doute vont surgir les principes de toutes certitude. Il s’attaque donc aux fondements du savoir. La première étape est de douter des choses sensibles (dépendant des sens). Descartes met

Depuis Descartes il existe toute une tradition philosophique appelée idéalisme et qui envisage la conscience comme source de connaissance et de vérité. Pour Descartes, la conscience joue un rôle constitutif dans la connaissance, et par l’expérience du cogito qui est soumis à l’épreuve du doute la conscience peut apparaître comme le fondement et le modèle de toute connaissance : « je pense, donc je suis. » Pour Descartes, la pensée est identifiée à la conscience. Selon lui, l’homme est double : il est

toute proposition prétendant à la vérité. Mais c'est l'honneur du rationalisme cartésien de se servir de l'instrument du doute radical pour établir une vérité à ses yeux absolument définitive. Pour DESCARTES même les vérités mathématiques ne sauraient être considérées comme définitives.Il est possible de forger la fiction d'un malin génie qui nous détournerait de la vérité en nous rendant "inadvertants". Mais le cogito, dans cette perspective se donne comme une vérité absolue, indubitable et définitive

bouleverse l’ancienne représentation d’un monde ordonnée et finalisé, hérité de la philosophie chrétienne et de l’aristotélisme (crise.). Descartes entreprend de mettre tous les savoirs à l’épreuve du doute et l’unique certitude qui résiste est celle du cogito : « Je pense donc je suis. » →A partir de là : la conscience peut apparaitre comme le fondement et le modèle de toute connaissance. →La conscience me fait connaître que j’existe mais aussi que je suis (Descartes « Une chose pensante », une « âme