Le Comparatisme

X aussi bien que Y – selon que – conformément à – à titre de – tout autre… ◆◆ La reprise : cohésion exprimée par divers outils La pronominalisation : ce, cet, cette, ces, ceci, cela, etc. La nominalisation : cette thèse, idée, argument… Le comparatisme, c’est l’impératif de cette épreuve qui demande donc une bonne intelligence des textes afin de déceler convergences, différences, éventuellement complémentarités entre les œuvres. Ce sont les œuvres qui éclairent le problème issu du sujet, non

la recherche, de l’intelligence. Mais on trouve aussi, un idéal grec de la mesure de l’équilibre, de l’harmonie des forces (ubrys) qui est l’essence mm de la nature politique. Il enseigne que toutes les sciences sont liées. C’est l’inventeur du comparatisme = comparaison des sciences avec nos devanciers (œuvre produit dans le passé). Il va influencer comme Platon les théologiens chrétiens. Il est le premier historien de la pensée.   Aristote dit que la base de la recherche scientifique est la notion

Benali et F. Simasotchi, op. cit., p. 57. Voir le dossier de la Revue Labyrinthe « Faut-il être postcolonial », entretien avec A. Berger http://labyrinthe.revues.org/index1245.html (consulté le 6 juin 10). 128 Cf. son article « Postcolonialisme et comparatisme », paru sur le site http://www.voxpoetica.org/sflgc/biblio/moura.html (dernière consultation, le 6 juin 2010). 127 126 98 cicatrisée/écrite ? De plus, en contestant l’hégémonie culturelle occidentale, elle n’a sans doute pas favorisé

610 611 A. La langue, la multiplicité des langues et la problématique de la traduction B. Centres de formation linguistique C. Technologie moderne de la traduction : problèmes théoriques D. Les langues et le discours philosophique E. Le «comparatisme» en philosophie a. La différence entre pensée et philosophie b. Systèmes philosophiques et systèmes religieux c. Systèmes philosophiques et systèmes « mythologiques » d. Philosophie et ethnocentrisme e. La « transcontinentalité » philosophique

sans effort apparent sur des progrès décisifs dans la théorie anthropologique de l’époque. Chez lui, les trois niveaux d’élaboration se recouvrent dans un même jet où le talent littéraire ne laisse pas ressentir au lecteur toute l’érudition, le comparatisme implicite et la profondeur d’une analyse menée simultanément sur plusieurs paliers requis et disposant le détail concret de façon à révéler le principe général qui explique son occurrence dans le contexte évoqué. » Cette manière de faire n’est

débats sur le droit comparé : ces controverses allemandes ne devaient pas conduire aux études comparatives. Mais il est incontestable que les réflexions de l’école historique et notamment les présupposés de cette école conduisaient naturellement au comparatisme. En effet, si le droit est l’expression de la conscience des peuples et si chaque peuple a son propre droit, alors les droits son nécessairement divers. Il y’a donc place pour une comparaison entre ces droits issus de la conscience des peuples

véritablement montre l’influence de l’Europe sur le reste du monde et l’inverse. Il essaye de faire une approche historique de la mondialisation. SAJAY SUBRAHMANYAM. Il faut sortir des découpages traditionnaux et il faut en quelque sorte de développé les comparatismes planétaires et en quelque sorte, avoir une vision globale de l’histoire. Certains parlent aujourd’hui de provincialisé l’Europe CHAKRABARTY, professeur d’histoire à Chicago : « provincialisé l’Europe » : l’Europe n’est pas au centre du monde. 2

éditions L'Harmattan, 1984, 78 p. 4 Répertoire des chercheurs sur les littératures maghrébines. Sous la direction de Charles Bonn. Paris, L'Harmattan, 1990, 64 p. Présentation 15 tures maghrébines de langue arabe et de tradition orale. Le comparatisme est de plus en plus la condition de survie de toute recherche littéraire, surtout dans une aire géographique comme celle qui nous intéresse. Il a fallu ensuite nous résigner, devant l'énorme quantité d'informations qui nous parvenaient, à nous

la césure « positivisme – constructivisme », la question centrale venant fonder toute méthodologie est celle de la continuité métrologique inhérente à l’usage de telle ou telle méthode. Une autre question méthodologique importante est celle du comparatisme qui ouvre la question de savoir comment comparer. Attitudes positiviste et constructiviste et méthodes S’il a été plus haut question de méthode, il s’agit bien de la notion au sens épistémologique du terme et non de la notion au sens pratique

discipline spécifique et de plus en plus autonome. L’originalité du texte de Jullien de 1817, le premier en français à utiliser le terme de science de l’éducation, réside, par conséquent, dans le fait d’être un manifeste fondateur non seulement du comparatisme éducatif, mais aussi des sciences de l’éducation en tant que telles. 1. A. von Feuerbach (1833). « Blick auf die teutsche Rechtswissenschaft » (1810), in Kleine Schriften vermischten Inhalts, Nuremberg, Th. Otto, p. 152-177. 2. M.A. Jullien de