Le Génie Chez Schopenhauer

l’inconscient « La conscience est toujours conscience de quelque chose ». Husserl Plan du cours : Introduction 1) La conscience morale : Augustin et Rousseau 2) La conscience et le cogito cartésien 3) La conscience dialectique chez Hegel 4) La conscience comme mémoire chez Bergson 5) L’inconscient dans la psychanalyse freudienne 6) L’inconscient après Freud : Jung et Maslow Conclusion 1) La conscience morale : Augustin (334-430) et Rousseau (1712-1778) « Il est au fond des âmes un

Manuel d'Épictète est notamment cité par Arthur Schopenhauer dans Le monde comme volonté et comme représentation (cf : Supplément au Livre Premier, Seconde Partie), où ce dernier lie à de multiples reprises le hasard à la tragédie, et la tragédie à l'infortune. Cela nous semble particulièrement évident au Livre Troisième, 51, où en citant les grands classiques de la tragédie antique ou moderne (Œdipe-roi, Roméo et Juliette, Othello etc.), Schopenhauer distingue trois procédés par lesquels la tragédie

laisse tout sur le même plan, l’art doit mettre en relief. • faire vrai = donner l’illusion du vrai et non retranscrire pèle-mèle les faits. « j’en conclu que les réalistes de talent devraient s’appeler plutôt les Illusionnistes ». • Référence à Schopenhauer, Spencer, (Platon ?) : les sens de chacun créent des mondes pour chacun différents (chacun fait une illusion du monde à soi). • Distinction de deux romans : - L’un, d’analyse pure : évolution de l’esprit, = métaphysicien. Nécessite de la part

laisse tout sur le même plan, l’art doit mettre en relief. faire vrai = donner l’illusion du vrai et non retranscrire pèle-mèle les faits. «  j’en conclu que les réalistes de talent devraient s’appeler plutôt les Illusionnistes ». Référence à Schopenhauer, Spencer, (Platon ?) : les sens de chacun créent des mondes pour chacun différents (chacun fait une illusion du monde à soi). Distinction de deux romans : L’un, d’analyse pure : évolution de l’esprit, = métaphysicien. Nécessite de la part de

est, en majeure partie, composé de sacripants et d’imbéciles. Chez les décadents, le pessimiste est l’une des notions essentielles qui est souvent développé comme le fait ici Huysmans dans son œuvre A Rebours. En effet, bien qu’il s’inspire comme nous l’avons vu du poète Baudelaire, la présence du philosophe Schopenhauer est très marquée dans tout le roman. Toute la trame narrative de Huysmans est reliée à Schopenhauer. Le pessimiste de ce philosophe est basé sur l’hostilité du monde et l’impossibilité

tout sur le même plan, l’art doit mettre en relief. • faire vrai = donner l’illusion du vrai et non retranscrire pèle-mèle les faits. «  j’en conclu que les réalistes de talent devraient s’appeler plutôt les Illusionnistes ». • Référence à Schopenhauer, Spencer, (Platon ?) : les sens de chacun créent des mondes pour chacun différents (chacun fait une illusion du monde à soi). • Distinction de deux romans : - L’un, d’analyse pure : évolution de l’esprit, = métaphysicien. Nécessite de la

désirs. On remarquera que l'alternative à « tous ses désirs » n'est pas « aucun de ses désirs » mais « quelques désirs ». Il est présupposé qu'il est possible d'accomplir tous ses désirs, ce qui ne va pas de soi. Qui n’a pas rêvé de posséder un génie qui accomplirait tous ses désirs. Mais même en ce cas, ne faudrait-il pas hiérarchiser et rendre cohérents ses désirs ? Par exemple, je ne peux pas souhaiter être le plus riche et demander la disparition de la pauvreté. Car dès qu’il y a un riche,

Consolidation : Transformation Ontologie (étude de l’être) en Théologie (étude de Dieu). Le Christianisme se contente de remplacer ces abstractions par Dieu. Pour l’esthétique, dieu est le modèle et l’origine de la beauté. Idées chez Platon. L’un chez Plotin. Premier moteur chez Aristote. Au 4eme siècle, la théologie chrétienne se définit comme une esthétique : la beauté est bcp plus présente que dans la métaphysique grecque. La théologie chrétienne renforce la proximité beau-bien -> attribut du Dieu

élément decritique littéraire (« le propre du génie de flaubert » cette idée est présentée dans la première partie et développée assez en détail les trois autres parties présentent en revanche le bovarysme comme élément structurant d'une pensée philosophique qui va bien au delà on peut le constater à travers la progression des titres de la table - on passe d'un bovarysme individuel, cas personnel : bovarysme de l'enfance/de l'homme de génie/du snob - à un bovarysme des collectivités et des

mortel, fini, périssable). • Même : Problème de l’identité personnelle à l’exclusion de toute autre identité (concept philosophique). Qui suis-je ? Que suis-je ? • Une chose pensante (ne définit pas ma singularité) • Malin génie est là pr me tromper et me jouer des tours INTRODUCTION GENERALE 1)Socrate sur le temple de Delphes : Connais toi toi même • connaître : objet d’un commandement divin • si dieux sont bienveillants : connaissance donc bénéfique