Le Nègre De Surinam Conclusion

libre, puisqu'il n'a jamais perdu la liberté ; qu'il ne pouvait pas la perdre ; et que son prince, son père, et qui que ce soit dans le monde n'avait le pouvoir d'en disposer ; par conséquent la vente qui en a été faite est nulle en elle-même ; ce nègre ne se dépouille jamais de son droit naturel ; il le porte partout avec lui, et il peut exiger partout qu'on l'en laisse jouir. C'est donc une inhumanité manifeste de la part des juges des pays libres où il est transporté, de ne pas l'affranchir à l'instant

des guerres, une leçon de justice et d’humanité contre toutes les inégalités, mais toutes ces leçons aboutissent finalement en leçon de doute, de relativisme, et de désillusion. Allemagne, Hollande, Portugal, Espagne, Argentine, Paraguay, Pérou, Surinam, France, Angleterre, Italie, Turquie… Le trajet de Candide est un aller-retour entre Europe et Nouveau Monde, une quête de sens qui, par le déplacement même qu’elle nécessite, trouve sa portée universelle. Parce que la chute originelle de l’Éden du

SCIENCES ET LES ARTS (Rousseau) Le nègre de Surinam En approchant de la ville, ils rencontrèrent un nègre étendu par terre, n’ayant plus que la moitié de son habit, c’est-à-dire d’un caleçon de toile bleue ; il manquait { ce pauvre homme la jambe gauche et la main droite. « Eh, mon Dieu ! lui dit Candide en hollandais, que fais-tu l{, mon ami, dans l’état horrible où je te vois ? – J’attends mon maître, M. Vanderdendur, le fameux négociant, répondit le nègre. – Est-ce M. Vanderdendur, dit Candide

l’auto-da-fé, Candide retrouve Cunégonde mais doit fuir en Amérique du Sud. En compagnie d’un nouveau venu, le valet Cacambo, il découvre le fabuleux pays d’Eldorado. Les deux chapitres consacrés à ce monde où « tout est bien » ne forment pas la conclusion du conte : ce paradis utopique n’est qu’une étape de l’itinéraire de Candide. Candide et Cacambo montent en carrosse ; les six moutons volaient, et en moins de quatre heures on arriva au palais du roi, situé à un bout de la capitale. Le

Candide ou l'optimisme Le nègre de Surinam - Chapitre 19 Questions succeptibles d'être posées : Plan de la prof' I Constat II Étude de l'ironie III Dénonciation par le narateur Commentaire composé : Introduction • Episode pas dans 1ère version, V a rajouté par la suite lorsqu'il prit conscience esclavage très grave. • Vérité historique et éco, commerce triangulaire et besoin pressant main-d'œuvre légal et Eglise acceptait et justifiait • Rencontre C/N au sortir Eldorado : choc

Excipit : L’optimisme raisonné de Candide s'en émancipe et s’en démarque. 2) Pour trouver des exemples dans l’œuvre, déterminez les grands thèmes auxquels la naïveté et l'optimisme de Candide sont confrontés. ❑ Le thème de l'esclavage («  le Nègre de Surinam », Cunégonde prostituée. ) ❑ La guerre : lecture fondamentale du chapitre II ➢ Le pseudo héroïsme des combattants ➢ Les horreurs de la guerre et les pertes civiles. ❑ Le fanatisme religieux : ➢ Le pasteur luthérien qui refuse

« Le nègre de Surinam »/Candide, chapitre 19 Voltaire I) Un constat 1) Un constat dans le récit -description détaillée et objective de l’esclave par Candide 2) Un constat dans les paroles de l’esclave -objectivité des paroles de l’esclave quand il raconte sa vie -> « C’est l’usage » =normalité -attitude soumise de l’esclave « j’attends mon maître » => Le texte raconte la vie d’un esclave sans jugement, ni prise de position. II) Dénonciation de l’esclavage 1) L’esclavage

bassesses humaines. (résumé de l’oeuvre en cas d’étude de l’oeuvre intégrale en classe) Le passage étudié du « nègre de Surinam » se situe dans la deuxième partie du livre. Candide accompagné par son ami Cacambo est sur la fin de son périple en Amérique du Sud. Après son départ de l’eldorado, il chercher à rejoindre la côte pour prendre un bateau vers l’Europe. Il se retrouve donc au Surinam, la Guyane hollandaise (juste au-dessus de la Guyane française actuelle). Et sur la route, les deux compères

triomphe de l’ « esprit ». Son apogée est marqué par son œuvre, Candide parut en 1759. Voltaire y dénonce les vices de l’homme, tel que l’intolérance religieuse, les guerres et l’esclavages. En effet, le dramaturge envoi Candide à Surinam où il fait la rencontre d’un nègre. Cette rencontre avec l’esclave provoque une prise de conscience pour le jeune Westphalien. Par quels procédés le narrateur met-il en place une critique virulente de la société ? En premier lieu, nous verrons un simple constat au

sagesse. Or le monde est imparfait mais Dieu a fait de son mieux malgré l'imperfection de l'univers. Donc le monde dans lequel nous vivons est le meilleur des mondes possible. On est dans une doctrine du meilleur. Conclusion : Cette rencontre du nègre de Surinam est donc une nouvelle étape qui permet d'accéder à une double prise de conscience de Candide. Il se détache des biens matériels et il abandonne sa conviction concernant la philosophie de l'optimisme. Il se fait donc le porte