Le Paradoxe Du Relativisme Culturel

et des disciplines telles que la philosophie), gouvernée par PERICLES, et dont l’apogée se situe au VIème siècle. Cet éclat lui vient de sa situation géographique, très favorable aux échanges et au commerce, qui lui ont permis un enrichissement culturel très important. Les Grecs développèrent en effet toutes les formes d’art que l’on connait de nos jours (sauf le roman). C’est eux qui ont commencé à représenter l’être humain (et – les divinités), à la même époque que la pensée philosophique (rationnelle)

Terminale 2013-2014 LA CULTURE Nom : …………………… Prénom : …………………… www.philocelo.fr 1 Plan du cours NATURE ET CULTURE DEFINITIONS Les différents sens de « Nature » et « Culture » ü QU’EST-CE QUE L’HOMME E. Morin F. Jacob le culturel et le biologique Rousseau et la perfectibilité Camus, Sisyphe ü ü ü ü 2 Nature & Culture 1 COMMENT PASSE-T-ON DE LA NATURE A LA CULTURE ? ü Levi-Strauss et la prohibition de l’inceste 3 LA CULTURE NOUS REND-ELLE MEILLEUR

morales en général, d’une culture et d’une éducation ? A ce constat qu’il possède certaines idées évidentes, Malebranche ajoute (« et ») qu’il est tout aussi évident que tous les possèdent aussi. Ces évidences dépasseraient le relativisme et le conditionnement culturels (sauf à supposer que toutes les sociétés conditionnent leurs membres à des valeurs identiques du coup universelles). Tout homme est capable de ces intuitions : « il n’y a point d’homme au monde qui ne le puisse voir aussi bien que

raciste est sans fondement, en même temps qu’il s’attaque à la forme inversée de cette idée : c'est-à-dire la position qui prétend pouvoir tirer des conclusions d’infériorité biologique de certains groupes d’humains au regard du soi-disant progrès culturel accompli par d’autres. Ainsi, l’ethnologue français s’attaque à deux figures du racisme : la première est connue et facilement identifiable, la seconde beaucoup moins. Ce racisme inversé s’enracine dans l’ethnocentrisme (ethnos, peuple et centrum

situations où l'individu est vulnérable : chômage, précarité. Des situations de déclassement social, d'exclusion. II- Le système social dans la tradition culturaliste : la culture contre la nature A) L'apport de l'anthropologie culturelle : un « relativisme environnementaliste » (1920s à 1940s) Fondements théoriques. Travaux empiriques. Il est intéressant de mettre en regard la tradition culturaliste avec la tradition de Durkheim. Ces traditions ont des grands traits communs :

sociologie s’inscrit dans un inventaire systématique (p.20) qui tente de relier les événements entre eux selon une relation de cause à effet. Les divergences terminologiques ont classé la sociologie soit en tant que branche de l’anthropologie culturelle et l’anthropologie sociale définie comme étant la science des groupements humains, de leur culture et de leur histoire, indépendamment du degré de développement de ces groupes, écrit (Kroeber, 1948) selon l’acception anglo-saxon. Alors que l’école

passif. La conscience est pour la psychanalyse un mythe, un leurre, en fait un symptôme de compromission. la conscience reste un théâtre d'illusions. Pour le philosophe de la connaissance, la conscience dans ses opérations intellectuelles cultivent le paradoxe, la contradiction, l'antinomie et le sophisme, à son insu et à l'envi. On voit par-là que l'objectivité comme stabilité et permanence, conformité de la pensée avec le réel, cohérence et ajustement des raisons, est compromise par le psychisme irrationnel

Les grands romans anglo-saxons Entreprendre d'étudier les « grands romans anglo-saxons » est, par définition, un projet culturel indispensable, mais certainement trop vaste. C'est pourquoi nous ne nous concentrerons ici que sur une période allant du XVIIe au XXe siècle, comportant la parution de nombreux livres britanniques incontournables, dont les auteurs sont désormais mondialement reconnus. Pour saisir entièrement l'impact qu'ont pu avoir ces oeuvres sur la société de l'époque, il nous faut

De quel préjugé est porteuse l’explication des premières découvertes au moyen du hasard ? (Chap. 8) 6. En quoi les échanges culturels jouent-ils un rôle paradoxal dans le développement d’une société ? (Chap. 10)1. Selon Lévi Strauss l’ethnocentrisme est une « tendance à répudier toutes les manifestations culturelles et les comportements éloignés de ceux auxquels nous nous identifions ». Ce qui caractérise une attitude ethnocentrique, c’est la peur, la méfiance, le rejet

paraît en outre comporter une contradiction logique : comment dénoncer une faute, un défaut de la pensée sans faire référence implicitement à une norme de la pensée correcte, et donc reconnaître du même coup une pertinence à la notion de mal ? Le paradoxe d’Alain s’éclaire si l’on considère que son propos est un commentaire de Spinoza, chez qui il trouvait à la fois un rationalisme auquel il souscrivait lui-même, mais qui avait pour conséquence la dénonciation de l’opposition du bien et du mal comme