Le Présidentialisme Majoritaire

l’autre (dt de dissolution/responsabilité). Régime atypique qui suscite deux typologies présentées par la doctrine : (1) = Gicquel : régime marqué par le présidentialisme, concentre les pouvoir entre les mains du chef de l’état en raison de son mode d’élection et du fait qu’il dispose de la majorité parlementaire. Le présidentialisme est un peu une déviation du régime présidentiel. Peut ont qualifier de régime présidentialiste dans un régime qui peut connaître la cohabitation ? (2) =

le président, désigné arbitre des conflits partisans et garant de la continuité de la politique de la nation, et le 1er ministre qui gouverne sous l’arbitrage de ce dernier. Malgré cette apparente clarté, dans la pratique, qu’elle soit en fait majoritaire ou non, on peut y voir soit une toute puissance du président déguisée, ou du 1er ministre pour d’autres. En s’appuyant sur les extraits de discours de Présidents de la république mais aussi de Premier Ministre, du Général De Gaulle, à François

gouvernementale, de 1840 à 1848, résulte de l’identité de vues entre le roi et son Premier ministre, Guizot, qui bénéficie également de la confiance de la Chambre des députés. 3) La IIIe République : le parlementarisme moniste, inorganisé et non majoritaire Après l’effondrement du Second Empire le 4 septembre 1870, l’Assemblée nationale élue le 8 février 1871 s’efforce de restaurer la monarchie. Thiers fait fonction de président d’une République de fait toute provisoire. Les monarchistes sont divisés

(B). A/ La portée de l’empiétement de l’exécutif sur le législatif 1/ Un parlement court-circuité en période de fait majoritaire -Il est court-circuité dans le fait que en fait majoritaire, le parlement du même partis du le gouvernement ne utilisera pas la motion de censure pour dissoudre le gouvernement sachant que notamment le premier ministre est le chef de la majoritaire parlementaire. Et donc il peut empêche le parlement d’utiliser son pouvoir législative et notamment du droit de vote.

président par rapport aux périodes présidentialistes majoritaires. Durant ces périodes il règne sans partage sur ces deux domaines. Mais en période de cohabitation, il est obligé d’associer étroitement le 1er Ministre. Tout cela confirme qu’en période de cohabitation, la complexité de la constitution, les défauts techniques de cette constitution, accentués par la réforme de 1962 et cachés par 27 ans sans discontinuités de présidentialisme majoritaire. En période de cohabitation personne ne pouvait dire

Avril (rapport remis au président Chirac le 12 décembre 2002). Sur le plan juridique, il y a une absence de responsabilité politique de l'Élysée mais, en pratique, apparition d'une responsabilité politique du chef de l'État quand il gouverne (présidentialisme). Cette responsabilité est soit directe (1), soit indirecte (2). 1) La responsabilité politique directe du président de la République A) La responsabilité politique du président devant le peuple à l'occasion de référendums personnalisés

démission du président Nixon suite à l’affaire du watergate ( incrédibilité de la fonction présidentiel ) et le congres va en profiter pour reprendre la main depuis on s’accordent à dire qu’on vie en période d’équilibre avec une petite tendance au présidentialisme ( parce que le visage de l’Etat est le président ou à chaque ‘une de ces sorties il y a une importante mis en scène de plus il y a développement de le société international ou aujourd’hui la plupart des règles sont réglé par les relations international

crutin uninominal  majoritaire à deux tours" (stable mais pas représentatif, bipolarisation). Ce mode de scrutin a  été remis en cause suite aux éléctions législatives dns le Doubs où le PS l'a emporté de très  peu face au FN. Il est supposé que la majorité des votants pour l'UMP se sont reportés sur le  FN au second tour, lui laissant présager une victoire aux présidentielles et aux législatives de  2017 où il pourrait renverser le PS. C'est le problème du scrutin majoritaire, il favorise certes 

relations des pouvoirs publics. La crise du 16 mai 1877, le maréchal de Mac-Mahon est favorable au retour de la monarchie, il obtient la démission de son gouvernement avec lequel il était en désaccord politique. Les députés Républicains qui sont majoritaire depuis 1 an, s’opposent à cette mesure, ils refusent leur confiance au nouveau gouvernement. Mac-Mahon dissout donc la chambre. Gambetta, invite Mac-Mahon à se soumettre ou à se démettre. Mac-Mahon se soumet à la nouvelle chambre Républicaine. Plus

de la Constitution de la Vème République. Les exégètes, qui sont les gens qui pratiquent l’exégèse, c’est-à-dire l’étude approfondie d’un texte, pensent qu’il n’y a que deux conceptions possibles pour une Constitution. Elle s’apparente soit au présidentialisme soit au parlementarisme, mais elle ne peut pas être hybride. De Gaulle refuse cette conception et affirme que « …notre Constitution est à la fois parlementaire et présidentielle, à la mesure de ce que nous commandent à la fois les besoins de