Le Prêche De Paneloux

Premier tableau 4 3.3. Deuxième tableau 4 3.4. Troisième tableau 5 3.5. Quatrième tableau 5 3.6. Cinquième tableau 5 4. Les personnages principaux: 5 4.1. Bernard Rieux 5 4.2. Jean Tarrou 6 4.3. Jean Rambert 7 4.4. Le père Paneloux 7 5. Synthèse littéraire : 7 5.1. La signification du fléau la peste 7 5.2. L’homme échoué au fléau (L’homme absurde) 8 5.3. L’homme qui apprivoise le fléau (L’homme révolté) 9 5.4. Le destin collectif 9 6. Conclusion : 10 7. Bibliographie :

Cottard, qui était un criminel, semblait éprouver une malsaine satisfaction dans le malheur de ses concitoyens car ses méfaits étaient oubliés. Les autorités religieuses organisèrent une semaine de prières collectives à l’issue de laquelle le père Paneloux, prononça à la cathédrale un sermon où il fit du fléau un châtiment lancé par Dieu aux pécheurs. Les habitants furent très affectés par ces paroles. Tarrou, récemment arrivé à Oran, avait d'abord profité des plaisirs des temps heureux tout en notant

ville et décide de rester et aider les citoyens dans la lutte. 8.En premier lieu, lors de son premier prêche, il se sert de la peste pour essayer de convertir les Oranais ou de renforcer leur foi en son dieu. En effet, il dit que la peste est une punition collective car les hommes ne sont pas assez croyants. En second lieu, il va y avoir la mort du fils du juge Othon. Pendant cet événement, Paneloux va douter de sa foi car il voit sous ses yeux enenfant innocent subir de nombreuses souffrances à cause

Tarrou, Rambert, Grand et Cottard. Tarrou vit depuis quelques mois à Oran et Rambert est journaliste parisien venu enquêter sur les mystérieux rats morts. Grand est un employé de mairie proche de son voisin Cottard. Il rencontre également le père Paneloux, un jésuite érudit. Les rats morts se multiplient et le concierge de l’immeuble du meurt le 30 avril. Le narrateur évoque les notes que Tarrou a laissées dans un carnet. Vingt malades meurent sans que la cause ait pu être identifiée. Rieux assiste

adjuvant précieux de Rieux dans sa lutte contre l’épidémie. Ils symbolisent alors tous deux la Résistance. Cottard, quant à lui, parce qu’il profite de la maladie pour s’enrichir, devient le représentant de la Collaboration. Paneloux, le prêtre, se fait remarquer par deux prêches assez opposés. Alors que le premier décrit la peste comme une punition divine infligée aux hommes pour les punir d’une foi trop tiède, le second constate l’absurdité de la condition humaine. Ainsi le prêtre représente-t-il

ordinaire et se met à la disposition de Rieux (il devient d'ailleurs son ami) pour organiser le service sanitaire ; il cherche à atteindre un idéal de saint laïque. Il meurt à la fin du récit. Paneloux : prêtre, jésuite érudit qui mourra de la peste. Il interprète la peste comme un fléau divin. Lors de son premier prêche il condamnera les Oranais simplement, mais au deuxième il semble avoir été affecté par la mort du fils Othon, il commence à utiliser un « nous » inclusif et prône l'acceptation. Il mourra

les carnets de Tarrou : le vieil asthmatique qui passe le temps en comptant les pois, allongé sur son lit. Ce personnage est un spectateur de la peste et non pas un acteur comme l’est par exemple Rieux. Cette description intervient après le prêche du père Paneloux. On peut donc supposer qu’il existe un lien entre ces deux personnages. Nous allons nous interroger sur le rôle de ce vieillard dans le roman. Nous nous intéresserons tout d’abord au caractère exceptionnel du personnage, puis à son rapport

des structures narratives :|Imaginer comment on pourrait filmer |DS : 4h | | | |roman | |le toit 2h |texte et image 1h |les 2 prêches du Père Paneloux. |Devoir :type 1 et 2 au | | | | | | |la mort de Tarrou : 5° partie p |Comment manifester |choix

de la peste ; il est arrêté par les forces de l'ordre à la fin du récit à la suite d'une crise de  démence. Il représente symboliquement le collaborateur et ses vices.     Paneloux : prêtre, jésuite érudit qui meurt d'une maladie dont il n'est pas affirmé que ce soit la  peste. Il interprète la peste comme un fléau divin. Lors de son premier prêche, il condamnera  les Oranais simplement, mais au deuxième il semble avoir été affecté par la mort du fils  Othon, il commence à utiliser un « nous » inclusif et prône l'acceptation

tête penchée, bras et jambes écartés, dans une attitude de pantin. Le vieil homme tenait le bras d’un prêtre que le docteur reconnut. C’était le père Paneloux, un jésuite érudit et militant qu’il avait rencontré quelquefois et qui était très estimé dans la ville, même parmi ceux qui sont indifférents en matière de religion. Rieux demanda au père Paneloux ce qu’il pensait de cette histoire de rats : – Oh ! dit le père, ce doit être une épidémie, et ses yeux sourirent derrière les lunettes rondes. Le