Les Limites Du Taylorisme

dans les années 70, ce modèle va être contesté et atteindre ses limites. Les besoins de consommation se diversifient et les consommateurs souhaitent désormais des biens qui permettent de se différencier. Au sein des entreprises, les tensions naissent entre les ouvriers et employeurs, le travail à la chaîne est remis en cause et la standardisation des produits ainsi que la rigidité de l'organisation du travail trouvent ainsi leurs limites. 3. Nouvelles organisations du travail Dans les années 80 va

et affectés à une seule tâche o Pas de responsabilité et pas d’autonomie o Pouvoir aux mains du bureau des méthodes ­ Phase C : Recomposition du travail sous la pression économique de la production de masse I – Le Taylorisme C’est une organisation scientifique du travail (OST) imaginé par Taylor à la fin du 19ème siècle. Taylor est issu d’une famille aisée. Il travailla comme apprenti en usine. Il passa rapidement par tous les échelons de la hiérarchie. En 1911

II) Taylorisme et bureaucratie « le contrat social moderne » Selon l’auteur, Taylor étudia le processus de la rationalisation : il essaie de comprendre la transition d’une organisation du travail traditionnelle à une organisation moderne. Taylor apparaît alors comme le diffuseur d’une approche normative. Il est contemporain de Max Weber qui analyse également ce système mais qui établit seulement les raisons du développement de la bureaucratie. * La philosophie sociale du taylorisme et de

filament en 1879)… Cette deuxième révolution repose également sur de nouveaux modes de financement, de production et de vente. Au 20ème siècle les grandes entreprises ont recours à la capitalisation boursière et au crédit bancaire. Ensuite vient le taylorisme qui consister à diviser les tâches successives d’un travail et à rechercher pour chacune les gestes les plus efficaces, en éliminant le mouvement inutiles .Pour Taylor, il doit y avoir une séparation radicale entre ceux qui conçoivent et ceux qui

LES ÉCOLES CLASSIQUES: Taylor- Fayol - Max Weber Taylorisme: Taylor est l'inventeur du mgt scientifique selon lui, il n'existe qu'une façon d'exécuter rationnellemt et efficacemt 1e tache (the one best way). Les principes de la théorie: La coopération étroite, intime, personnelle entre la direct° et les ouvriers est l'essence de l'organisat° scientifique. Une augmentat° des salaires (des gains monétaires), jointe au contact intime de l'ouvrier avc la direct° a éliminé entièremt tte cause

du travail du travail artisanal au travail en usine Textile, métallurgie, sidérurgie qui se dvpe Le charbon : aboutit à la création du chemin de fer. Monde ouvrier, qs sociale, pénibilité du travail. Puis, 2ème R. I. au XIX° s. (1870 1880) taylorisme, fordisme électricité, biens de cons aviation, transports (automobile). Enfin, 3ème R. I. (de 1880 à 1970) NTIC Révolution technologique Phases de difficultés pur la ce : crise de 1929 Phases de forte ce : belle époque années folles

: l’exercice du travail dans les (grandes) organisations • La sociologie des organisations fait apparaître l’acteur : l’organisation est un système de relation, d’interaction. S’inscrit contre le béhaviorisme sur lequel s’était construit le taylorisme. Elle s’intéresse aux procédures de travail. On passe du niveau macro (étude du travail) à la micro (étude du travail dans les organisations) La sociologie de l’entreprise : les pratiques sociales dans la communauté moderne

discipline nouvelle des ouvriers, pour compenser leur hostilité ou leur résistance passive tout en gèrant des concentrations ouvrières de plus en plus grandes. Ce besoin d'encadrement des ouvriers est solutionné par l'ingénieur américain Taylor Taylorisme - Impératif de rendement maximal par l'adaptation de l'homme à la machine, pour compenser la résistance permanente (par différentes stratégies passives) des ouvriers à leur condition. - Rôle nouveau des bureaux de méthodes occupés par des ingénieurs

totalité de son personnel adhère à ces valeurs. Mais on se rend bien compte qu’il y a des valeurs communes et que chaque personne a ses propres valeurs. Donc les personnes voient s’ils elles adhèrent aux valeurs communes ou si elle trouve qu’il y a des limites… => Les valeurs sont bien définies. Comment peut-on caractériser la division dans l’entreprise ? La division du travail si je parle de division verticale, d’après nous, elle est forte ou elle est faible ? Pourquoi dit-on qu’elle est forte (la division

D’INFORMATION Le Toyotisme Nicolas GALERA-GIRON Damien SOUCHET Année universitaire 2009-2010 Sommaire Introduction 3 1 Principes généraux de l’organisation du travail 4 1.1 Les systèmes tayloriste et fordiste 4 1.2 Les limites de ces systèmes 6 2 Idéologie organisationnelle du Toyotisme 7 2.1 La mise en place du Toyotisme 7 2.2 Le Kaizen : un état d’esprit 7 3 Moyens et enjeux managériaux du Toyotisme 10 3.1 L’approche matérielle et productive 10 3.2 La