Libre Choix Régime Matrimonial

délivré à la mairie ou au commissariat de Police en présence des concubins et de deux témoins majeurs. Les témoins n'ont aucun lien de parenté avec le couple. Ce certificat facilite la preuve. Il peut toujours être contesté. Le juge est tout à fait libre d'accepter ce certificat. C'est un moyen de preuve parmi d'autre et il n'a pas une force particulière. Le concubinage étant un fait, l'exigence de la preuve est plus forte. III/ Les conséquences du concubinage Deux types d'effet : rapports personnels

personnes dès la naissance, en même temps que leur situation, en cas de mariage ou de décès. Dès lors, un service d’état civil, communément appelé mairie, est mis en place pour recevoir toute information concernant la naissance, la situation matrimoniale (mariage) et le décès de tout Sénégalais, vivant ou non au Sénégal. Ces informations doivent faire l’objet de déclarations enregistrées dans les centres d’état civil, pour être ensuite délivrées sous forme de copies (exemple : extrait du bulletin

 et la situation la plus courante est la famille nucléaire  (celle  qui  rassemble  sous  le  même  toit  les  parents  mariés  et  leurs  enfants).  Dans  les  années  70,  augmentation brutal du nombre de divorce (de 1965 à 1990, chiffre multiplié par 4), essor de l’union  libre  avec  des  naissances  hors  mariage.  Ensuite  sont  apparues  des  familles  monoparentales  du  fait  des  divorces  et  des  ruptures  de  concubinages.  Dans  les  années  1980  est  apparue  la  catégorie  des  familles  recomposées  et  la 

droit de la famille commence avec l’élaboration du CC en 1804 jusqu’au début du XX°. Le CC n’entérine pas les évolutions issues de la révolution française, il ne prolonge pas ce qui a été acquis par le RF. Le mariage reste un contrat, mais dont le régime juridique est très largement emprunté au droit canonique. De nouveau, l’enfant naturel se trouve dans une situation inférieure à l’enfant légitime. Les évolutions ne se font pas de manière linéaires, la société connait de grands bouleversement : l’industrialisation

Droits liés au mariage: que dit la loi au Burkina Faso? Le mariage est l'union entre un homme et une femme par les liens sacrés du mariage. Il découle du libre consentement entre deux conjoints. Au Burkina Faso, seul le mariage célébré par un officier de l'état civil est reconnu par la loi.  Le mariage est un droit pour tout citoyen qui veut vivre une vie commune avec une autre personne. La Constitution du 02 juin 1991 reconnaît à son article 23 le droit de tout citoyen à fonder une famille à l'âge

mariage ne peut être formé qu’avec le consentement libre des époux. Mais en tant qu’institution, le mariage n’engendre pas uniquement des rapports contractuels entre l’homme et la femme puisqu’il va créer une nouvelle famille et en ce sens il va fonder un nouvel état qui va sceller l’alliance entre 2 familles. Et c’est en ce sens que l’on dit que le mariage a une dimension institutionnelle. Cette dualité du mariage se justifie par son histoire. Le régime actuel est marqué par l’Ancien droit tel qu’il

s'agit d'un société de consommation. -Selon les sciences politiques, c'est un rôle fondé sur la solidarité de ses membres. (Dans certains pays, la famille touche les cousins, il existe une grande solidarité, c'est le cas en Afrique. Exemple: Pas de régime d'assurance sociale pour le décès en Afrique, or, il existe une solidarité familiale qui joue un rôle de sécurité sociale.) -Selon les sciences de l'éducation: Bourdieu et son capital culturel. La famille joue un rôle dans l'éducation de l'enfant

parfaite égalité entre les membres du couple, même si cela a mis du temps ! Ex : entre les gens mariés, l’égalité entre le maris et la femme a été définitivement consacré par une loi du 25 déc. 1985 = égalité dans la gestion des biens pour les régimes matrimoniaux. Liberté de décision dans les couples. Ex : en concubinage ou PACS, aucune incidence (chacun garde son nom). Lorsque on se marrie, l’habitude ancrée fait que l’épouse prend en nom d’usage celui de son maris (même si le nom sur l’état civil

des pouvoirs du JAF L'homologation remise en question - Dans le divorce par consentement mutuel, le JAF homologue la convention et prononce le divorce s'il a « la conviction que la volonté de chacun des époux est réelle et que leur consentement est libre et éclairé » (C. civ., art. 232, al. 1er) ; il refuse de statuer en ce sens si l'accord « préserve insuffisamment les intérêts » des enfants ou des époux (C. civ., art. 232, al. 2). Cette opinion le juge la forge à partir de l'examen de la demande

toujours mais relève de quelques artifices que l'on voit quand on se penche sur le 1er livre concernant par exemple le droit à l'image. C'est un artifice parce que aujourd'hui l'exploitation de fait de manière patrimoniale. Concernant le droit de régime matrimoniaux, le droit des successions => ce sont des intérêts patrimoniaux. -Le livre 1er du code civil s'intitule "des personnes". Les titres 1 à 4 traitent le plus directement de la personne en ce sens que la personne est prise isolément en tant qu'être