Limites Du Taylorisme Et De Ses Principes

A l’époque des premiers grands auteurs de la théorie des organisations (Taylor, Ford, Fayol,…), on pensait que les entreprises pouvaient être dirigées scientifiquement ; c'est-à-dire selon les seuls principes de la raison. Sur la base de cette croyance, d’aucuns ajoutaient que cette « Organisation Scientifique du Travail » supprimait du même coup toute forme d’arbitraire dans l’exercice du pouvoir, ce qui était perçu comme un réel « progrès ». Que pensez-vous de cette « thèse » ? Et quels sont

certains économistes, l’Etat ne doit pas intervenir dans l’économie.  Pour d’autres, l’Etat doit intervenir, jouer un rôle et réguler l’économie. D. L’économie repose sur certaines hypothèses C’est une démarche scientifique qui obéit à certains principes et étapes :  Recueil des informations … on les traite, on fait des statistiques, enquêtes …  On élabore des hypothèses …  On les confronte avec la réalité …  On élabore des prévisions (partie la plus fragile de la démarche) E. Les questions

l'économie monde américaine. Dès la fin du XIXe siècle, les Etats-Unis sont la première puissance économique mondiale et, entre les deux guerres, leur modèle capitaliste influence les grandes entreprises européennes : celles-ci s’inspirent des principes du taylorisme et du fordisme. La crise de 1929 déstabilise le pays, mais sa diffusion dans le reste du monde montre que les Etats-Unis sont devenus le centre de l’économie mondiale. La Seconde Guerre mondiale montre leur capacité à mobiliser des ressources

d'organisation et de développement d'entreprise, inventé en 1908 par Henry Ford, fondateur de l'entreprise qui porte son nom, à l'occasion de la production d'un nouveau modèle : la Ford T. Ce modèle accorde une large place à la mise en œuvre des nouveaux principes d'organisation du travail (organisation scientifique du travail, ou OST) Le Fordisme désigne également le “compromis économique et social vertueux” permis par les résultats de cette mise en œuvre : les forts gains de productivité peuvent en partie

A. Les principes du système tayloro-fordien. Doc 7p101 : Taylorisme  * « one best way » = analyse et observation du processus de p° afin d’obtenir des moyens de p° le plus efficace. Cette observation est faite par le « bureau des méthodes » => séparation de la conception et de l’exécution. Décomposer les tâches en tâches simples, améliore la pté :  les ouvriers font le même geste répété  tâches mécanisées  la répétition de la même tâche = gain de temps Le taylorisme est le début

économique. Ce qui intéresse Smith, ce n’est pas le travail en tant que tel mais la notion de marché et la libre circulation des marchandises et notamment le travail. Le travail doit librement circuler, notamment celui des ouvriers, donc il pose comme principe que ce qui fonde la richesse c’est cette libre circulation des marchandises, et du travail. Mais le travail des ouvriers n’est pas libre car encadré par les corporations qui fixent l’ouvrier à son employeur. Smith préconise de laisser l’ouvrier

la 2eme crises), salariés plus polyvalent, promotion à l’ancienneté  fidélisation - se base sur 2 principes : Kan-Ban (flux tendu) et l’autonomation  Disparition des stocks et donc des pertes financière (contrairement au Taylorisme) Le salarié est plus autonome et donc responsabilisé, augmentation du niveau de qualification -Le toyotisme se présente sous les 5 zéro :  0 délais : limite des gestes improductifs et livraison rapide  0 défaut : pas de coulage avec une meilleure qualité

expérience professionnelle. Selon la sociologue Danièle Linhart. Le travail serait désormais privé de sa dimension altruiste. Car, comme l'a analysé Emile Durkheim, travailler, c'est contribuer à faire exister la société. Le post taylorisme se caractérise par l’ajout de principe de qualité et de responsabilités des salariés sur une logique qui reste taylorienne en matière d’organisation de travail dit la sociologue. C'est-à-dire qu'en introduisant la responsabilité aux salariés on les pousse finalement

représentant, cette école tente de comprendre comment s’organise les entreprises en fonctions de leur contexte et de leurs caractéristiques. Un principe important de cette école est qu’il n’y a pas de structure universelle répondant à toutes les situations mais des structures variés et viables qui répondent à leurs besoin et à leurs contextes (opposition avec le taylorisme) Selon Mintzberg il y a 5 facteurs de contingences : l’âge de l’organisation, la taille de l’organisation, le système technique, l’environnement

la valorisation des bonnes pratiques (voir ci-contre). PRINCIPALES NOTIONS Division du travail (horizontale/verticale, technique/sociale) NOTIONS SECONDAIRES Organisation taylorienne / fordienne / toyotiste du travail, néo-taylorisme, post-taylorisme, productivité, externalisation, internalisation, les 5 zéros du toyotisme, enrichissement des tâches, groupes semi- autonomes, rotation des postes, diversification et individualisation de la demande, cercles de qualité, flexibilité, rendements