Logique De Poste Taylorisme

pour les pousser à travailler plus pour une paye moindre. Pas plus vont-ils tolérer la tyrannie des travailleurs qui demandent augmentation sur augmentation et diminution des horaires de travail alors que celui-ci devient moins efficace ». Le Taylorisme, étant une totale rupture avec le passé, provoqua de nombreuses résistances mais les syndicats et entrepreneurs trouvèrent un compromis. Les syndicats acceptèrent les méthodes de production tayloriennes et ils obtinrent une part des augmentations

II) Taylorisme et bureaucratie « le contrat social moderne » Selon l’auteur, Taylor étudia le processus de la rationalisation : il essaie de comprendre la transition d’une organisation du travail traditionnelle à une organisation moderne. Taylor apparaît alors comme le diffuseur d’une approche normative. Il est contemporain de Max Weber qui analyse également ce système mais qui établit seulement les raisons du développement de la bureaucratie. * La philosophie sociale du taylorisme et de

1er révolution industrielle 2e révolution industrielle 1780: société industrielle (machines artisanat) 1880: société indstrielle en cour de tertiarisation (mechanisme, artisanat, taylorisme, fordisme) 3e révolution industrrielle 1945: société postindustrielle (artisanat, fordisme, taylorisme et toyotisme) 1ère révolution: Le mécanisme concurrence l’artisanat : La qualité du produit emporte sur la productivité mais le travail mécanisé se généralise dans touts secteur d’activités

les PME. SOMMAIRE Introduction 6 Définition des compétences 7 Savoirs 7 Aptitudes professionnelles 7 Le référentiel de compétences 11 Comment passer d’une compétence à la gestion des compétences ? 12 La fin du taylorisme 12 Un échange mutuel entreprise – employé 13 Outils de la gestion des compétences 13 Les enjeux de la GPEC 14 Des enjeux pour l’entreprise 14 L’anticipation comme arme 14 S’adapter rapidement à l’évolution de l’environnement

d'Économie en 1978 1-7-4 Richard Cyert (1921 ...) et James March (1928 ...) 1-7-4-1 La théorie des comportements de la firme en 4 concepts fondamentaux 1-7-5 La théorie des jeux de Morgenstern et de Von Neumann 1-8 L'école socio-technique 1-9 Le néo-taylorisme 1-9-1 Entreprises et psychopathologies 1-10 1-11 1-12 1-12-1 1-12-2 1-13 La « socio-analyse » des organisations La théorie actionniste des organisations La pensée japonaise Les trois techniques de base de pensée japonaise Les organisations capitalistes

la psycho-sociologie des organisations. Mme PARRINI-ALEMANNO Bibliographie - Petit et Dubois - Introduction à la psychosociologie des organisations Edgar Morin - Introduction à la pensée complexe Pierre Bouvier – Le Travail Paul Watzlawick – Une logique de communication Grégory Bateson – Vers une écologie de l’esprit Edward T. Hall – Le langage silencieux Edward T. Hall – La dimension cachée (Jean-Michel Plane – Théorie des organisations – 4ème édition) - Godelier « la culture d’entreprise » Dunod

Cyert (1921 ...) et James March (1928 ...) 1-7-4-1 La théorie des comportements de la firme en 4 concepts fondamentaux 1-7-5 La théorie des jeux de Morgenstern et de Von Neumann 16 16 18 18 19 19 19 1-8 20 L'école socio-technique 1-9 Le néo-taylorisme 1-9-1 Entreprises et psychopathologies 20 21 1-10 La « socio-analyse » des organisations 22 1-11 1-12 1-12-1 1-12-2 La théorie actionniste des organisations La pensée japonaise Les trois techniques de base de pensée japonaise Les organisations

formation, Frederick Taylor a mis au point une méthode de rationalisation de la production afin d'augmenter la productivité. Son organisation scientifique du travail qui a rencontré beaucoup de résistances est appelée le taylorisme. Fayol (1841-1925) s’inscrit dans la continuité du Taylorisme et du Fordisme c'est-à-dire une méthode d’organisation essentiellement motivée par le rendement mais il s’intéressera notamment à l’administration : le Fayolisme. L’actualité peut être définie comme l’état de ce

LE FORDISME A partir de : Moutet A., les logiques de l’entreprise. La rationalisation dans l’industrie française de l’entre-deux –guerres, Paris, Edit de l’EHESS, 1997. Boyer R., Durand J.P. , l’après-fordisme, Paris, Syros, 1993. I. Le fordisme comme procès de travail. Les méthodes d’H. Ford reposaient sur l’idée qu’il était possible d’abaisser les coûts de production et donc les prix de vente telles que les débouchés s’en trouvaient suffisamment élargies pour pouvoir absorber la masse

l’entreprise. -         les spécialistes du bureau des méthodes définissent les processus opératoires. -         recrutement scientifique de la main-d'œuvre et entraînement (formation) de l’ouvrier : il faut trouver l’ouvrier le mieux adapté au poste. -         application de l’OST par l’ouvrier : l’ouvrier doit appliquer les procédures scientifiques de travail. Son travail est observé, contrôlé en permanence. -         Il y a une coopération étroite entre la direction et les ouvriers