Loi relative aux libertés et responsabilités des universités

subjectif) CHAPITRE 2 LES SOURCES DE LA LEGALITE ADMINISTRATIVE ou LES REGLES DONT LE RESPECT EST OBLIGATOIRE SECTION 1 LES SOURCES EXTRA ADMINISTRATIVES PARAGRAPHE 1 : LA CONSTITUTION PARAGRAPHE 2 : LES NORMES INTERNATIONALES PARAGRAPHE 3 : LA LOI PARAGRAPHE 4 : LA JURISPRENCE SOURCE DE LA JURISPRUDENCE SECTION 2 LES SOURCES ADMINISTRATIVES (le règlement) PARAGRAPHE 1 LE DOMAINE DU REGLEMENT PARAGRAPHE 2 L’AUTORITE DU REGLEMENT INDICATIONS BIBLIOGRAPHIQUES RENE CHAPUS, Droit administratif

savoir-faire qui repose sur un travail personnel, intense et régulier. C’est la condition première pour réussir au sein de la Faculté de droit. Sa réalisation dépend beaucoup de l’étudiant. REUSSIR AVEC LA FACULTE DE DROIT La Faculté, en revanche, a la responsabilité principale de son devenir professionnel. Celui-ci est, en effet, largement déterminé par le contenu et la qualité des formations proposées. A cet égard, les études qu’ils ont suivies garantissent, le plus souvent, aux étudiants des facultés de

dans un espace dans lequel il y a des normes juridiques qui s'appliquent et que nous devons respecter pour que les libertés puissent être garanties. Droit : c'est l'ensemble des normes qui permettent aux libertés de s'exercer et à l'individu d'être protégé contre l'excès de l'usage de liberté sans limite. Société sans droit : recours aux pulsions et aux instincts sans libertés = nom de sauvage sans sécurité. Différent : le droit est la science d'équilibre entre la contrainte et la protection

La place des personnes en situation de handicap dans la société, à l’école et en EPS MASTER 1 M3I2S UE : MODÉLISATIONS ET CONCEPTIONS DANS LE DOMAINE DE L’INCLUSION Julie Varichon – STAPS BordeauxJulie VarichonPlan : Introduction générale Partie 1 : Place des personnes en situation de handicap dans la société I. Introduction II. Avant le 20ème siècle : le monstre exclu III. 20ème : l’handicapé intégré IV. À partir du 21ème : la personne en situation de handicap incluse Partie 2 : Place

l’origine des règles morales. C’est la conscience de l’Homme qui lui dicte d’adopter certain comportement en société. * La règle de droit à une source extérieure à l’Homme. Les règles juridiques sont édictées par une autorité publique, c’est la Loi au sens large qui pose la règle de droit. Une personne peut poser une règle morale mais non une règle de droit. La règle religieuse comme la règle droit émane d’une autorité extérieure. Elle a donc une source externe à l’individu. La règle religieuse

société à un moment donné (principe d’égalité et de liberté) 1) le droit définit les libertés individuelles Le droit permet aux hommes d’établir des règles assurant à chacun d’entre eux la possibilité de vivre sa liberté individuelle en respectant les contraintes collectives. Cf : Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 reprise dans la Constitution de 1958 2) Le droit précise les modalités d’exercice des libertés dans la vie en société Chaque individu peut exercer les

La responsabilité pénale du chef d’Etat dans les pays du Maghreb « Irresponsabilité et effacement se prêtent un mutuel appui : on n’a d’autorité que dans la mesure où on en assume la responsabilité, on n’est responsable que dans la mesure où on en déteint une autorité » Pendant longtemps et suite à de nombreux facteurs géopolitiques et même culturelles voir religieux une tendance s’est enracinée conférant ainsi à cette fonction une sacralité qui rend l’incrimination du chef d’Etat inenvisageable

1 L’interview de la semaine, Repères du 14 novembre 2007 M. Alain ONDOUA, Université de Limoges. : « Les initiatives en cours sont une forme d'instrumentalisation du texte constitutionnel » Professeur Agrégé de Droit public, enseignant à l'Université de Limoges (France), M. Alain Ondoua vient de séjourner au Cameroun dans le cadre du lancement de l'ouvrage « La constitution camerounaise du 18 janvier 1996 : bilan et perspectives » dont il a assuré la direction de la publication. Il apporte ici un

société définie dans le contrat social par les Lumières, cad que l’avènement de la norme met fin à l’Etat de nature. L’ordre public permet à chacun d’exercer ses droits dans le respect de ceux d’autrui et surtout il garantit à tous le bénéfice des libertés publiques. En droit positif, l’ordre public est défini par la tranquillité publique (interdiction de la violence, règlementation du bruit), la sécurité publique et la salubrité publique. Pour maintenir l’ordre public, le législateur élabore et vote

droit commun, ce qui justifie qu’elle soit soumise à des modes du contrôle spéciaux. Souvent l’action publique est justiciable d’un juge spécifique – un juge administratif, et répond à des règles spéciales, propres au droit public, pour engager la responsabilité du fait de l’action publique. C’est précisément autour de cette notion de spécialité de l’action publique, que se joue toute une série des mutations, des évolutions importantes qui affectent le droit général et le droit administratif en particulier