Memoire Titrisation

le système américain en se servant de la titrisation pour externaliser le risque des établissements de crédit, mais plutôt pour mobiliser les financements indispensables à la mise en place des infrastructures.PAR ADAMA WADE, CASABLANCALe Maroc et la zone de l’UEMOA sont en train de basculer dans deux étapes chronologiquement différentes du développement de la titrisation. Pour le premier, fort de cinq ans d’expérience du principal acteur, Maghreb Titrisation, il s’agit d’étendre ce mode de financement

problèmes à travers les mailles des systèmes de contrôle. Il existe un mécanisme de colusion entre juge et parties ce qui entraine un problème plus général de gouvernance. Les titres financiers sont souvent notés plus ou moins correctement car la titrisation a entrainé un relâchement cumulatif du contrôle des risques car les marchés de gré à gré se developpent très rapidement par rapport aux marchés organisés, car le secteur privé a externalisé la notation aux agences spécialisées. Il vaut mieux laisser

transfert alternatif de risque. Introduction à la réassurance. Tarification en réassurance excédent de sinistre : méthode à l’expérience et méthode à l’exposition. Réassurance optimale. Introduction au transfert alternatif du risque (captives, titrisation, …). Retakaful: la réassurance, basée exclusivement sur. le mutualisme. Ainsi, le principe juridique islamique Sommaire: Bibliographie: La réassurance, Jean-François Walhin (2007), éditions Larcier Walhin, J.F., Herfurth, L. and De Longueville

La loi n°33-06 relative à la titrisation de créance et modifiant et complétant la loi n°35-94 relative à certains titres de créances négociables et la loi n°24-01 relative aux opérations de pension TITRE PREMIER DE LA TITRISATION DE CREANCES Chapitre premier Dispositions générales Article premier : Le présent titre a pour objet de fixer le régime juridique applicable à la titrisation de créances, telles que visées à l’article 16 ci-dessous, par l'intermédiaire de fonds de placements collectifs

des crédits, les créances douteuses et les provisions, les catégories d’instruments financiers. Son analyse est donc primordiale pour analyser le risque d’une banque. L’ampleur prise par les opérations hors bilan notamment en relation avec la titrisation rend la lecture des bilans plus difficile car ces activités peuvent masquer les risques pris en réalité par la banque ainsi qu’on a pu le voir avec la crise des subprimes.

Dans la première phase de la crise, il s’agit de l’émission de titres liés à la dette immobilière des ménages américains. Ceux-ci ont été émis par les institutions financières pour couvrir les risques liés aux emprunts à taux variables. Cette titrisation à outrance a conduit au développement de nombreuses autres innovations. L’émergence de ces contrats dérivés sur défauts de crédit est l’innovation majeure de ces dernières années. La deuxième phase de cette crise débute en septembre 2008 avec la

des institutions financi'res et autres institutions qui se sont engag'es dans les pr'ts immobiliers ' taux variables accord's aux m'nages am'ricains ' revenus modestes. Ensuite la crise a atteint les march's financiers par l'interm'diaire de la titrisation qui est une technique financi're qui consiste ' 'mettre des titres sur le march' boursier appuy's par des actifs sous-jacents (tel les cr'dits hypoth'caires) regroup's en tranches. D'ailleurs certaines de ces tranches incluaient des cr'dits li's

identifiables compte tenu de leur nombre et de la possibilité de revendre les titres financiers sur les marchés à tout moment. Ils résident donc fréquemment dans des sites « off-shore » de type paradis fiscaux. Si vous mêlez effet de levier et titrisation sur des supports concernés par les prêts immobiliers à hauts risque, vous obtenez un cocktail explosif en terme de rendements et potentiellement en terme de risque. Cependant, on ne peut pas nier l’existence de risques réels engendrés par les hedge

visent des ménages moins solvables et ça coûte plus cher. De plus, on autorise un délai de remboursement du crédit : les ménages remboursent deux ans après. Mais ces crédits sont peu sûrs, alors les banques titrisent au maximum. De plus, cette titrisation permet de répartir au mieux la faible sûreté des crédits. Comme les titres circulent très bien, les banques font leurs bénéfices, et la machine tourne. Le problème de ce système vient lorsque les débiteurs ne peuvent plus rembourser. Dans un


les
ménages
(surtout
ceux
qui
 ont
des
parts)
perdent
de
l’argent.
 ‐ Ca
affecte
en
priorité
le
secteur
boursier,
donc
moins
de
crédit
aux
entreprises
et
 aux
particuliers.
 ‐ Le
resserrement
des
conditions
de
crédit
affecte
le
marché
immobilier.
 
 La
technique
de
la
titrisation
a
été
inventée
en
70
aux
usa.
Il
consiste
a
transformer
des
 crédits
en
titres,
cela
permet
d’éliminer
un
risque
en
encaissant
de
l’argent
frais.
 L’inconvénient
c’est
que
le
risque
ne
disparaît
pas,
il
est
reporté
sur
l’investisseur
qui
achète