Modele Taylorien Fordien

Le Toyotisme représente t-il un dépassement du modèle fordisme ou Anglo-Saxon ? I. Chandler Firme « M » a) Définition: La théorie néo-classique en management répond à besoin de clarification. Elle s’adapte au besoin du consommateur et procède à une production hétérogène. Elle repose sur plusieurs principes: - La maximisation du profit - La décentralisation des responsabilités et des décisions - La direction par objectifs et la direction participative par objectifs - Le contrôle par

s’articulant autour d’une organisation capitaliste. En effet, c’est la société industrielle urbaine, qui s’épanouit au cours des XIXème et XXème siècles, qui, à la différence du monde rural, segmente les temps, les temps du travail (découpage taylorien des gestes ouvriers) comme les temps de la vie (institutionnalisation de la scission entre périodes d’activité et de repos). Comme l’affirme Michel Lallement , ce rapport au temps s’est instauré dans l’affirmation de la société industrielle, au sein

tentatives remontent au début du siècle, la généralisation du taylorisme et l’avènement du mode de régulation fordiste (cf. fiche « le fordisme ») sont postérieurs à la seconde guerre mondiale. Si l’on adopte néanmoins cette acception élargie, la crise du modèle de la grande industrie et l’avènement d’un nouveau système technique ne marquent pas la fin du taylorisme, mais s’inscrivent au contraire dans une filiation directe. Ces trois acceptions du taylorisme organisent le propos de cette fiche. I

individuel, les hommes ont changé leur approche du travail. Dans une autre optique, l’analyse d’Emile Durkheim, dans De la division du travail social (1893) permet également de faire ressortir ce changement de mentalité. Durkheim distingue deux modèles de solidarité humaine : la solidarité mécanique et la solidarité organique. La solidarité mécanique est basée sur la ressemblance. Les activités de production sont peu différenciées, les individus substituables et la conscience collective est forte

permanents Source : CIETT, Enquête auprès de 500 entreprises utilisatrices de l'intérim, mai 2000 38 % 31% 17 % 14 % DOCUMENT 5 Malgré les infléchissements apportés au modèle de base et les tentatives d'humanisation du taylorisme résultant des approches ergonomiques de l'organisation, la contestation du standard taylorien-fordien dans les années 70 a incité les employeurs à s'inspirer, à titre expérimental souvent, de l'exemple des entreprises suédoises ; les équipes semiautonomes avaient permis

finalement permettre l’amélioration du sort des ouvriers, par leur enrichissement. Taylor aura une opposition virulente, celle de l’AFL, syndicat à l’ origine anarchique, ils considèrent les méthodes de Taylor comme déqualifiant les ouvriers. Le système taylorien a un avantage dans les années 1880-1890, car il y a un gros déficit de main d’œuvre, on peut donc mettre les ouvriers immigrés bête au travail immédiatement car c’est très simple avec le taylorisme. Taylor regrettait vers la fin de sa vie que le

bureaux . -Le toyotisme s’est diffusé dans d’autres pays, car il a montré son efficacité sur les couts et surtout il permet d’adapter plus rapidement la production à l’évolution de la demande. Les pays ne reproduisent pas forcément à l’identique le modèle du toyotisme. Il y a une adaptation en fonction des cultures. Cependant, le toyotisme a aussi des défauts, ce qui rappele que le système capitaliste est toujours en mouvement. ( Progrès technique, Schumpeter) III] La crise du tayloro-fordisme Elle

dissiper les ambigüités : « Innover consiste à mettre sur le marché un produit perçu comme nouveau, à introduire souvent simultanément un nouveau processus de valorisation en rationnalisant des activités productives ou commerciales et / ou un nouveau modèle d’organisation dans l’entreprise afin d’anticiper et à se préparer à la diversité des futurs technologiques possibles », quant a l’apprentissage organisationnel, les définitions sont aussi nombreuses que les travaux qui lui sont consacrés néanmoins

l’organisation a en effet été longtemps dominée par les travaux des grands organisateurs du début du siècle. Par leurs complémentarités, l’approche taylorienne de rationalisation par « le bas » (les ateliers de production) et la rationalisation par « le haut » de Fayol (les principes d’administration de l’entreprise) ont constitué les fondements d’un modèle d’efficience qui s’est rapidement et durablement imposé comme (1) Dont relèvent les changements d’organisation qui seront ici privilégiés. L

de conséquences sur les modes d’organisation du travail : certains ont pu bénéficier des avantages des TIC, d’autres subissent les précarités de l’emploi qui en découlent et la disqualification de leur métier. On assiste alors à l’apparition d’un modèle dualiste dans le marché du travail : d’un côté la maind’œuvre centrale et de l’autre la main-d’œuvre périphérique. Au-delà des constatations faites autour de la flexibilité et de la technologie, les auteurs nous proposent des pistes d’action à