Nietzsche

Dans sa préface, Friedrich Nietzsche contextualise son projet : de ses provenances toutes de soupçons et de souffrances morales, faisant explicitement référence à une certaine appréhension de la psychologie en tant que libératrice des affres de la maladie, à l'antiquité grecque qu'il affectionne particulièrement pour ce que les Grecs anciens auraient été, de son avis philologique "superficiels... par profondeurs !", en passant par la conjecture que les personnes de sa trempe sont destinées à vivre

Exercice sur l’aphorisme 9 La moralité des mœurs d’Aurore de Friedrich Nietzsche 1. Nietzsche écrit dès le début de son aphorisme : « Si l'on compare notre façon de vivre à celle de l'humanité pendant des milliers d'années, on constatera que, nous autres, hommes d'aujourd'hui, vivons dans une époque très immorale » Selon vous, peut-on en dire autant aujourd’hui? Bien évidemment que oui, notre société d'aujourd'hui est de plus en plus individualiste. Les hommes sont maintenant libres et ils vont

solitude, tu te dévores toi-même ; lorsque tu es au milieu des autres, tu es dévoré par plusieurs; choisis ! >> F. Nietzsche. Dans cet aphorisme, Nietzsche s’adresse personnellement au lecteur en le confrontant à deux choix possibles mais néanmoins destructeurs. Il pose la problématique de savoir si il vaut mieux s’ouvrir aux autres ou rester renfermé sur soi-même en structurant sa

La volonté de toiser le réel dans le collimateur de la raison ne relève pas d’un souci philosophique de vérité, mais trahit un besoin pathologique de sécurité. Il faut prendre au sérieux le soupçon que Nietzsche fait peser sur la raison dans Le Gai savoir (Livre 5, § 355) : « Ne serait-ce pas l’instinct de la crainte qui nous incite à connaître ? » Pour en finir avec l’image spéculative d’un savoir amical, il faut en retracer la généalogie. Car ainsi nous découvrirons qu’à l’origine de l’amitié

arrive que nous ne la voyions pas alors même qu'elle crève les yeux, Pourquoi ne voyons-nous pas le monde tel qu'il est ? En définitive il s'agit de savoir pourquoi il nous arrive de ne pas accepter la vérité, de lui préférer autre chose. Pour Nietzsche la volonté de vérité est en réalité ce qu’il appelle une volonté cachée de mort. Il critique la vérité au sens philosophique et scientifique, pour lui la vérité serait au-delà du monde sensible. Ce ne sont pas les sens qui permettent d’accéder au

PATRICK BEAUDOIN LA FONCTION CULTURELLE DE L'ART CHEZ LE JEUNE NIETZSCHE ET SON ABOUTISSEMENT AVEC LE SURHOMME Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures de l'Université Laval dans le cadre du programme de maîtrise en philosophie pour l'obtention du grade de maître es arts (M.A.) FACULTE DE PHILOSOPHIE UNIVERSITÉ LAVAL QUÉBEC 2007 Patrick Beaudoin, 2007 Remerciements Je tiens à remercier tout particulièrement Madame Marie-Andrée Ricard, pour sa patience et son soutien. Ce mémoire

T.S 12 novembre 2012 ------------------------------------------------- Philosophie Le texte que nous allons étudier est un extrait de Aurore de Nietzsche. Le thème de ce texte se base sur la critique de l’apologie du travail c’est-à-dire la contestation de la glorification du travail. De plus, l’auteur se pose la question comment accepter l’idée que le travail ne soit plus considéré comme source

illusion. Nietzsche se trouve du côté des philosophes qui nient le libre arbitre. Nietzsche est un philosophe allemand du XIX° siècle. On étudiera sa position sur le libre arbitre dans l’extrait de son livre Humain, trop humain, de 1880. En commençant, dans une première partie par le regarde des hommes face à leur liberté. Puis, dans une deuxième partie par l’explication que donne Nietzsche du fait que les hommes se trompent et enfin par l’hypothèse inverse qu’avance Nietzsche. Nietzsche montre

L'injustice ne se trouve jamais dans les droits inégaux, elle se trouve dans la prétention à des droits égaux. (Friedrich Nietzsche) puede empezar con esta exelente parte como respuesta a la frase S NIETZSCHE - ZARATHOUSTRA - La morsure de la vipère La morsure de la vipère Un jour Zarathoustra s’était endormi sous un figuier, car il faisait chaud, et il avait ramené le bras sur son visage. Mais une vipère le mordit au cou, ce qui fit pousser un cri de douleur à Zarathoustra. Lorsqu’il eut

croire que la passion amoureuse était folie et que l’amitié, elle, était par contraste la voie de la sagesse et du savoir 1. C’est cela qu’il faut essayer de préciser. Par-delà le droit de propriété Dans Le Gai Savoir (1882-1887), Friedrich Nietzsche développe un très curieux et très puissant court traité de l’« amour » (ou du moins de ce que l’on nomme ainsi, de ce que notre époque continue très certainement et trop souvent de nommer ainsi). Il y dénonce l’« amour » conçu comme un droit de propriété