Ordinatio

glaive complaisant, c’est donner le nom de loi à de pures violences ». « Le droit demande la coercition mais n’en dépend pas ». L’essence de la loi est donc dans sa justice, dans le Bien qu’elle exprime. Saint Thomas définit donc le droit « quadam ordinatio ad bonum commune ». Il ne voit pas le bien comme une conséquence du Droit, a-t-on écrit, car s’il en était ainsi, on définirait un principe par les effets qui en découlent, ce qui n’est pas une démarche juridique. Saint Thomas considère le Bien comme

doivent marché de pair. Pas question d’une séparation des sphères spirituelle et temporelle, pas plus que la subordination d’un pouvoir à l’autre. - LE SACRE ET LA ROYAUTE MINISTERIELLE Les sources parlent du sacre comme d’une ordinatio (= entrée dans un ordre sacré). Sacre fait entrer roi dans l’ordre sacerdotal. Le ministère royal se définit depuis Louis le Pieux comme une mission reçue de Dieu pour le bien du peuple entier. De là le droit du roi de diriger l’Eglise impériale

des rustres jusqu’au roi : unité du peuple chrétien. Du haut en bas de la société, dieu, ses saints et son Église fournissent à tous les pcipes nécessaires de compréhension du monde, d’organisation de la société et de comportement individuel. Ordinatio, renovatio, consecratio : définissent les termes d’un programme immense tendant à placer le monde terrestre de la société des hommes en état de se conformer au projet divin, à réaliser l’harmonie entre ces deux univers pour le plus grand bien du

ensemble induit cette démarche d’orientation des efforts dans une même direction. La notion d’objectif commun est donc une constante, qu’elle soit implicite ou explicite. C. Coordination : Le nom est issu du latin coordinatio (XIVe) composé de co et ordinatio (« mise en ordre »). Le mot qui désigne « l’agencement (des parties ou d’un tout) selon un plan logique pour une fin déterminée » est rare avant la fin du XVIIIe. Par la suite, il entre spécialement dans les syntagmes coordination des mouvements

l’empire. Or, Louis le Pieux va essayer de tirer une leçon de ces morts et en juillet 817, une nouvelle attitude va apparaître et afin de préserver cette unité territoriale, il va, avec son entourage ecclésiastique, rédige un acte solennel : ordinatio imperii : ordonnance de l’empire. Cet acte, bien préparé (après trois journées de jeune et de prière), avait imposé ce système qui n’était pas mauvais et enregistra un succès, net progrès car il s'éloignait de la patrimonialité du pouvoir et du

vocation à la domination universelle et donc il est étranger à toute idée de patrimonialité. Ceci va avoir une traduction dans la pratique. C’est en fonction de ces idées que Louis Le Pieux règle sa succession en 817 dans cet acte qui est appelé : ORDINATIO IMPERI qui veut dire l’ordonnance de l’empire. Ceci signifie que l’unité de l’empire doit être maintenu, Louis Le Pieux a 3 fils, l’aîné de ces fils recueille l’empire et la souveraineté, et les cadets n’auront que des royaumes mineurs, secondaires

à l'ancienne titulature royal et donc aucune référence au cadre france. On préfer le caractère universel de l'empire. Deuxième élement en 817 louis promulgue un capitulaire ( loi) au terme duquel il veut associer son fils clothaire à l'empire ( ordinatio imperii) ce texte avait voulu asssocier le fils de l'empereur à l'empire. Il affirme sa volonté de preserver l'unité de l'empire mais non effective avec la pratique des partages. Il donne la majorté des territoire a son ainnée clothaire. Mais il

pieux est vraiment conscient des risques d’eclatement a sa mort et prepare donc sa succession de son vivant. a)La sauvegarde provisoire de l’unite de l’empire Ceet preoccupation de louis le pieux arrive tres tot : en 817 par l’intermediaire de la ordinatio impirii qui organise sa succession. Il decide que le titre d’empereur reviendra a son fils aine (lotaire), ses deux fils cadet (pepi et louis) recevront chacun un royaume mineur (pepein va devenir roi d’aquitaine et louis reçoit la baviere). L’acte

des flux, la structuration de l'interface est beaucoup mieux documentŽe dans la littŽrature, notamment celle portant sur les processus de gestion 85 de l'alliance (Ring et Van de Ven, 1994; Mohr et Spekman, 1994). La coordination, du latin ordinatio qui signifie mise en ordre, est une action qui vise ˆ agencer des choses et des activitŽs diverses dans un but dŽterminŽ (Larousse, 1995). Elle comporte deux facettes: une, statique, liŽe au design de l'interface; l'autre, dynamique, liŽe ˆ l'animation

d’aplicació a Catalunya. Acceptabilitat política : és una mesura estrictament tècnica Dificultat tècnica : baixa Urgència : alta Importància : alta Cost : es pot sufragar amb una beca Impacte temporal : de llarga durada Acció política “Lex est ordinatio rationis ad bonum commune, ab eo qui curam communitatis habet, promulgat”, Tomàs d’Aquino, Summa Theologica. §10. Interlocutor únic per part de l’Administració[157] Amb posterioritat al lliurament de la primera versió de l’actual informe