Pascal Pensée Les Deux Infinis

recherche du bonheur. En effet, la recherche du bonheur est un présupposé adopté par un bon nombre de philosophes. D’abord par Aristote dans Ethique à Nicomaque par cette proposition « Tous les hommes aspirent naturellement au bonheur », puis par Pascal dans ses Pensées avec « C’est le motif de toutes les actions de tous les hommes, jusqu’à ceux qui vont se pendre ». Effectivement, un homme qui veut se pendre est un homme malheureux ; la raison pour laquelle il met fin à sa vie est qu’il ne trouve pas le

intégrales de philo », ou « Classiques » Hachette. *** Qu’est-ce qu’avoir l’esprit cartésien ? Le mieux est de suivre d’abord le récit de la formation intellectuelle de l’auteur, ce « héros » philosophique fondateur des temps modernes. 6) PASCAL : Pensées, Sections I et II ; éd. Folio, Livre de Poche ou Classiques Hachette. ** Les réflexions inoubliables d’un mystique qui fut aussi l’un des plus grands savants de son siècle, que les croyants n’apprécient pas toujours et que les incroyants ne

        Je pense, donc je fuis    Dialogues   de la chair et de l’esprit        Dialogue philosophique en trois journées et un prologue    Lionel Spinosa                  Prologue        La  main  droite fine  et  parcheminée  posée  sur la  poignée de la  porte,  s’appuyant de  la main  gauche  sur  sa  canne,  le  vieil  homme  respirait  péniblement,  n’osant  entrer.  Voilà  près  de  cinq minutes, qu’il était là, ainsi, incapable d’agir. Fuir, encore ? Toujours, fuir ?    Et si c’était bien elle 

ne peut aujourd’hui se concevoir que dans un monde technique. Tout autour de lui est technique,même en sport on parle couramment d'un «jeu technique» au tennis par exemple. Dans ceux dits artistiques comme la danse ou le patinage, on distingue ainsi deux notes, une note artistique sensible à l'interprétation, aux émotions et sentiments dégagés, à l'originalité et une seconde note, technique jugeant le sportif sur la clarté de ses gestes, et la rigueur de ses pas dans la réalisation des figures ou des

contradiction : « La certitude que rien n’existe (si déplorable qu’elle soit) n’en est pas moins une certitude. Peu de gens sont capable de l’avoir ». Ici est prise à rebours le raisonnement de Descartes qui pose la certitude du doute comme fondement de la pensée, de l’existence. - Ils en arrivent à nier la légitimité même du savoir de la vérité. Tout cela ne pouvait qu’amener au scepticisme. « Bouvard ne croyait même plus à la matière » est posé dans une affirmation lapidaire. - B et P s’expriment toujours

ce que la mesure de temps qui nous est donnée fuit avec tant de vitesse, tarit de rapidité, qu’à l’exception d’un très-petit nombre, la vie délaisse le reste des hommes, au moment où ils s’apprêtaient à vivre. Cette disgrâce commune, à ce qu’on pense, n’a point fait gémir la foule seulement et le vulgaire insensé : même à d’illustres personnages ce sentiment a arraché des plaintes. ( …) Nous n’avons pas trop peu de temps, mais nous en perdons beaucoup. La vie est assez longue ; elle suffirait

seule partie libre de son être. Vouloir changer ce qui ne dépend pas de lui rend l'Homme malheureux, tandis qu'accepter son impuissance sur ces choses et ne s'occuper que de la partie de lui-même qu'il peut contrôler l'amène à un bonheur immuable et infini. Cette distinction entre ce qui peut être contrôlé et ce qui échappe à la volonté humaine est la base fondamentale de la doctrine. L'ouvrage s'attache à décrire toute chose humaine comme étant essentiellement éphémère : chaque personne, mais aussi

Hume, Dissertation sur les passions Présentation Hume, philosophe des passions a. Dissertation sur les passions, 1757 (mais écrit 7/8 ans avant) b. Livre II du Traité de la nature humaine, 1739 Deux textes différents : b plus riches mais a plus original. Le livre II a un rôle charnière dans le Traité (entre I et III) de même que les passions sont l'articulation du principe de réalité, un lien entre une théorie de l'objet représenté et une théorie des normes, règles, lois. Les passions permettent

personnelle que vous avez faite. Vous restez très "raisonnable" dans vos remarques, et NZ vous suggèrerait sans doute de vous libérer un peu plus (ceci dit, c'est un devoir à l'école, donc on n'ose pas y mettre sans doute les choses telles qu'on les pense). En tout cas, ces remarques sont sensées - votre conclusion peut-être un peu courte… Mon choix, qui s’est finalement porté sur l’œuvre de Nietzsche, a été long et le fruit de plusieurs tâtonnements. J’ai en effet débuté la lecture de plusieurs livres

l'univers semble avoir été une nécessité pour les civilisations. L’ordre de l’Univers vient-il d'une cause première (idée du bien, de Dieu, Père des lumières) ou de causes différentes ? Dans une perspective philosophique, la nature renvoie généralement à deux sens différents, liés l’un à l’autre. La nature peut revêtir, en premier lieu, un sens cosmologique. Elle désigne ainsi, l’univers tel qu’il existe et s’organise dans un ordre précis, et partant, anime la totalité des choses et des êtres. La nature