Phénytoïne

pour une crise épileptique. Le médecin lui administre du Valium injectable® (Diazépam) par voie intra rectale. Au bout de 15 minute la crise n’a pas cédé. Il est alors administré en IV au jeune patient une nouvelle dose de Valium® et du Dilantin® (Phénytoine). Dix minutes plus tard le patient reprend conscience. Le neurologue décide de prescrire à la sortie du patient de la Micropakine® (Valproate de sodium). Un mois plus tard le patient présente toujours des crises. Malgré le traitement, trois crises

Précaution d'emploi Contrôle plus fréquent de l’INR. Adaptation de la posologie de l’antivitamine K pendant le traitement par l'androgène et après son arrêt. + ANTICONVULSIVANTS INDUCTEURS ENZYMATIQUES Diminution (ou, rarement, augmentation avec la phénytoïne) de l'effet de l'antivitamine K par augmentation de son métabolisme hépatique par l'anticonvulsivant inducteur. Précaution d'emploi Contrôle plus fréquent de l'INR. Adaptation éventuelle de la posologie de l'antivitamine K pendant le traitement

Traitement en cas de toxicité monitoring cardiaque (soins intensifs) suppléments de potassium (per os, perfusion I.V. lente) adsorbants intestinaux (cholestyramine) pour diminuer la résorption digestive en cas d'intoxication volontaire antiarythmiques (phénytoïne, lidocaïne) fragments (Fab) d'anticorps anti-digoxine : traitement le plus étiologique (efficacité immédiate) sonde d'électrostimulation (en cas de bloc A-V)

Anti-tumoraux (5-fluoro-uracile, méthotrexate, etc) * Colchicine * Warfarine * Cocaïne * D-pénicillamine * Ethanol * Danazol * Tératogènes mineurs: * Antiépileptiques : phénytoïne, carbamazépine, acide valproïque, phénobarbital * Pseudoéphédrine * Lithium * Acide acétylsalicylique * Benzodiazépines * Corticostéroïdes * Tétracyclines c. Pendant le 2ème trimestre:

cutanées aspécifiques sont rapportés (2). Il existe de nombreuses interactions médicamenteuses entrainant une augmentation des taux sériques (kétoconazole, itraconazole, fluconazole) ou au contraire une diminution de ces taux (rifampicine, rifabutine, phénytoïne, carbamazépine) (3). L’EP a été décrit au cours de nombreuses infections virales et de l’infection par le VIH, notamment durant la phase de primo-infection (10). Une prise médicamenteuse est souvent incriminée en particulier les sulfamides

zolpidem (Stilnox®) - cisapride (Prépulsid®) - ifosfamide (Holoxan®) - immunosuppresseurs : ciclosporine, tacrolimus - neuroleptiques : clozapine (Léponex®), pimozide (Orap®), thioridazine (Melleril®) - opiacés : alfentanil, fentanyl, méthadone - phénytoïne - sildénafil (Viagra®) - statines : atorvastatine (Tahor®), simvastatine (Zocor®) - théophylline inhibiteurs - antiarythmiques : amiodarone (Cordarone®), quinidine (Quinimax®) - antifongiques : fluconazole (Triflucan®), itraconazole (Sporanox®)

millepertuis (diminuent l’effet anticonvulsivant -> risque de crise d’épilepsie). En association avec des médicaments contenant de la lamotrigine. En association avec un antidépresseur imipraminique, un médicament contenant de la carbamazépine, de la phénytoïne, du phénobarbital, de la primidone ou de la zidovudine. Mode d'administration : CP gastrorésistant, pelliculé sécable LP, granulés LP, solution buvable, sirop, solution IV. À prendre au cours du repas, 20 à 30mg/kg/jour en 2 ou 3 prises

importants et bien supportés par la personne. Ainsi les diurétiques et corticostéroïdes peuvent être utilisés pour réduire et absorber le caillot de sang. Les antalgiques sont utilisés pour les céphalées. Des médicaments anti-convulsions, comme la phénytoïne, peuvent être utilisés pour contrôler ou prévenir les convulsions. Il faut si cela est possible arrêter ou diminuer les traitements anticoagulants. Une surveillance neurologique régulière et attentive est nécessaire à travers les scanographies de

plaque et modifiées par des médicaments : Certains médicaments sont susceptibles d'influer sur l'expression clinique de l'inflammation gingivale, induisant en particulier une hyperplasie gingivale. 1. Le diphénylhydantoïnate de sodium ou phénytoine Dihydan®) s'est longtemps imposé comme le médicament de choix dans le traitement de l'épilepsie mais parmi les effets secondaires les plus classiques de son administration, on compte l'hyperplasie gingivale, Si la prévalence de cette hyperplasie

d'Alzheimer C.I : Ce médicament peut interagir avec certains traitements de la maladie de Parkinson, notamment la lévodopa et les anticholinergiques. L'association à un médicament contenant de l'amantadine, de la kétamine, du dextrométhorphane ou de la phénytoïne doit être évitée. E.I : Vertiges, maux de tête, constipation, somnolence, hypertension artérielle * Paroxetine Biogaran : Antidépresseur (famille => inhibiteur de la recapture de la sérotonine) * Utilisé dans le traitement : des états