Phénytoïne

l'allaitement. Associations médicamenteuses à surveiller · Bépridil · Sotalol · Disopyramide · Pentamidine · Sultopride · Quinidiques · Érythromycine intraveineuse · Halofantrine · Bêtabloquants · Laxatifs stimulants · Hypokaliémiants · Phénytoïne · Anticoagulants oraux · Amphotéricine B · Digitaliques Remarques L'accumulation d'amiodarone dans la cornée peut éventuellement être à l'origine d'un dépôt susceptible d'entraîner des troubles visuels. Il s'agit de halo coloré en lumière

Contrairement aux anciens médicaments, ceux utilisés aujourd’hui sont utilisé pour une action précise. En effet, actuellement les médicaments antiépileptiques les plus utilisés sont au nombre de quatre, et sont parfois associés : phénobarbital, phénytoïne, carbamazépine, et valproate de sodium. Ils agissent sur les mécanismes qui provoquent les crises. Ils permettent par exemple d’augmenter l’activité inhibitrice, ou au contraire de diminuer la synthèse des transmetteurs excitateurs, d’empêcher leurs

doppler transcrânien (non invasif, mis en œuvre rapidement, permet adapter le remplissage et la pression artérielle moyenne) Traitement des TC La prévention systématique des crises convulsives tardives (survenant au moins 7 jours après le TC) par la phénytoïne, la carbamazépine ou le phénobarbital n'est pas recommandée (grade A). Il n'existe aucune donnée scientifique prouvant que la prévention des convulsions précoces (7 premiers jours après TC) améliore le pronostic. Cependant, l'administration prophylactique

particulièrement à redouter. Les médicaments à haut risque des syndromes de Stevens-Johnson et de Lyell sont les sulfamides (sulfaméthoxazole-triméthoprime, sulfadiazine, sulfasalazine, sulfadoxine); les anti-comitiaux (lamotrigine, carbamazépine, phénytoïne, phénobarbital), les anti-inflammatoires non stéroïdiens (phénylbutazone, piroxicam, ténoxican, méloxican), des antiviraux (névirapine), des hypo-uricéminats (allopurinol), le rituximab. Il faut interrompre l’administration des médicaments dont

L'efficacité des dermocorticoïdes QUESTION N° 118 [M] Parmi les médicaments anti-épileptiques suivants, lequel(lesquels) est(sont) utilisé(s) dans le traitement des épilepsies généralisées ? A - Phénobarbital (Gardénal*) B - Phénytoïne (Dihydran*) C - Carbamazépine (Tégrétol*) D - Ethosuximide (Zarontin*) E - Valproate de sodium (Dépakine*) QUESTION N° 119 [M] Au cours d'un traitement par les anti-vitamines K, indiquez le (les) facteur(s) ou inhibiteur(s) physiologique(s)

une lésion nerveuse par exemple l’amitriptyline, (douleur neuropathique) l’imipramine anticonvulsants, par exemple douleur due à une lésion nerveuse le valproate, la gabapentine, la (douleur neuropathique) carbamazépine, la phénytoïne benzodiazépines, par exemple le spasme des muscles diazépam, le lorazépam squelettiques anticholinergiques, par exemple spasme des muscles lisses, par la scopolamine bromobutylate exemple coliques abdominales Douleurs qui

particulières Age et demi vie des médicaments Médicaments Nouveau né Adulte jeune Sujet âgé Médicament éliminé par le rein gentamycine 18 h 2 h 8 h Médicament éliminé par métabolisme hépatique Diazepam 50 h 20 h 75 h phenytoine 20 h 10 h 20 h Médicament éliminé par métabolisme hépatique, T1/2 augmente avec l’âge Age : nouveau né - enfant Immaturité du métabolisme hépatique des médicaments première année de vie. Immaturité de la fonction rénale dans la première

délivrables après certains examens biologiques). B) Fonction hépatique ¤ Inducteurs Les médicaments qui augmentent la quantité d’enzymes hépatiques sont : -La rifampicine (anti-tuberculeux), c’est la référence. -Le phénobarbital (barbiturique). -La phénytoïne (psychotrope). ¤ Inhibiteurs Les médicaments qui diminuent l’activité hépatique sans modification de leurs quantités sont : -L’érythromycine (antibiotique). -Certains inhibiteurs calciques. -Le ritonavir (anti-rétroviral). -Le Kétoconazol et l’itroconazol

| Naloxone | 2 | 0 | 0 | 50% | 50% | Norepinephrine | 2 | 0 | 0 | 100% | 0 | Oligoéléments | 5 | 0 | 0 | 100% | 0 | Ondansetron | 8 | 0 | 0 | 63% | 37% | Pantoprazole | 4 | 0 | 0 | 75% | 25% | Phénobarbital | 1 | 0 | 0 | 100% | 0 | Phénytoine | 1 | 0 | 0 | 100% | 0 | Phosphore | 2 | 50% | 0 | 50% | 0 | Phytonadione | 14 | 28% | 28% | 44% | 0 | Prochlorpérazine | 2 | 0 | 0 | 100% | 0 | Ranitidine | 11 | 17% | 9% | 36% | 18% | Rocuronium-Pancuronium | 4 | 0 | 0 | 75% | 25% |

15 : 364–369, Adapté 12 - Toxicologie Maroc - N° 2 - Juillet 2009 Les “toxidrômes”, éléments d’aide à la prise en charge Clinique « T o X i D r Ô M e s » adrénergique sérotoninergique Effet Stabilisant de membrane Quinidine Lidocaïne Phénytoïne Mexilitine Cibenzoline Tocaïnide Procaïnamide Dysopyramide Flécaïnide Propafénone Propranolol Acébutolol Nadoxolol Pindolol Penbutolol Labetalol Oxprénolol Amitryptiline Imipramine Clomipramine Dothiépine Maprotiline Miansérine tableau ii. etiologies