Platon La République

Platon grand philosophe de la Grèce Antique critique vigoureusement dans La République l'abus de l'oligarchie , où les riches dominent les pauvres ainsi que le démocratie où les pauvres tentent de dominer les riches . Cela nous amène donc à la question suivante : La démocratie représentative favorise-t-elle le bien commun ? En effet il s'agit d'un régime politique dans lequel les citoyens élisent un représentant qui exercera le pouvoir en leurs noms . De plus ce système a comme objectif ultime

articulées en Grèce antique ont eu un impact direct et important sur la philosophie occidentale et sur la théorie économique moderne. Il suffit de rappeler qu’Adam Smith était professeur de philosophie morale et enseignait les textes d’Aristote et de Platon. Tout universitaire jusqu’à une époque très récente devait apprendre le latin et le grec et lisait les grandes œuvres philosophiques de l’antiquité grecque. Encore de nos jours, les économistes font parfois référence aux auteurs grecs, notamment

logique. C'est Platon qui a distingué le plus nettement ces deux types de discours, d'abord analogues dans la Grèce antique, et qui a instauré la suprématie du logos vis-à-vis du muthos. Certes, Platon reconnaît au mythe une valeur pédagogique dans le discours philosophique. Il recourt au mythe dans Protagoras (320 c), c'est-à-dire à la fiction philosophique plutôt qu'à la démonstration théorique, parce que c'est plus agréable: on raconte une histoire. Dans la République (X, 621 c), Platon montre également

l'un des plus grands philosophe qui a formé, entre autre, Platon et Xénophon. Il a purifié la pensée philosophique en dégageant les sophistes pour essayer d'accoucher de vérité. Il reprend la devise de Delphes. Après le renversement des 30 tyrans, Socrate est accusé d'impiété et de corruption de la jeunesse, ses disciples étant sulfureux (Critias, l'un des 30 tyrans, Alcibiade mauvais général, sans parler de Xénophon le fasciste et Platon qui aime sparte). Socrate est déclaré coupable et refuse de

parole efficace ». Cette technique s’est notamment développée dès la Grèce antique à Athènes, puisque celui qui réussissait le mieux à mettre ses atouts en avant et qui était le plus convaincant, était élu. On peut également citer les orateurs comme Platon ou Socrate qui tentaient de dissimuler leurs échecs sous forme de formulations brillantes qui ne relèvent plus de la simple argumentation ni d’utilisations d’effets pathétiques. Toute élection a donc besoin de rhétorique. Elle rend possible la démocratie

Qu’apporte le savoir? D’emblée, le philosophe, d’après la République de Platon, doit maîtriser divers aspects de la vie dont celle de faire le bien. Comment fait-on le bien d’après le dogme platonicien? Il faut poser une action réfléchie ; une action irréfléchie est donc en désaccord avec l’idée du bien. Par conséquent, le philosophe doit harmoniser actions et pensées, et par le fait même, gérer ses désirs et pulsions pour arriver à la sagesse, car en maîtrisant désirs et pulsions, on pose

conception de Platon qu'il juge est qui est différente de celle d'Aristote. Cette précision démarque complètement la visée d'Aristote de celle de Platon et qui est importante pour comprendre la poétique d'Aristote. I. La Conception de Platon : 1) L'imitation: Chez Platon, la réflexion sur la poésie s'élabore à travers le terme de la mimésis qu'on traduit par la notion d'« imitation ». la mimésis est considéré comme une notion désignant la relation de l'œuvre à la réalité. Pour Platon, la mimésis

radicalement à la réalité ; mais, pour Platon l’être est au-delà des apparences. En effet, selon cette définition Platon oppose l’être et le paraître, c’est-à-dire, l’intelligible au sensible. C’est ainsi que dans  République, Livre L VII  Platon fait une allégorie de la caverne et nous décrit la vision des prisonniers (qui nous représentent) ; ces derniers ne voient que les ombres, que le reflet d’une image dont ils le croient comme la réalité. C’est pour cela que Platon veut nous montrer que le dans le

REPUBLIQUE DU BENIN MINISTERE D E L’ENSEIGNEMENT SECONDAIRE DE LA FORMATION TECHNIQUE ET PROFESSIONNELLE DE LA RECONVERSION ET DE L’INSERTION DES JEUNES COLLEGE DES ELITES DE DEMAIN Année scolaire : 2014-2015 Classe : Réalisé et présenté par : AGOSSOU Gildas GBETCHOEVI Jean- claude NOUTAI Valentin SALANON Alexis ZAKOU Hassimi Sous la direction de : Monsieur Romain BOCO PLAN Introduction

comme le montre Platon dans le célèbre portrait du philosophe dressé par le Théétète.II - Le refus de la sagesse au nom de l'actiona) Pour l'homme d'action, le sage est donc condamnable. Mais il y a pis : le sage ne se propose pas d'autre but que connaître et contempler. Or la contemplation suppose que son objet soit stable et permanent : le sage est donc essentiellement un conservateur, et c'est pourquoi Platon dit que le naturel du philosophe est celui d'un chien de garde (République, II). Allons