Platon Vs Aristote

un cul-de-sac, réminiscence furtive de la figure paternelle, innombrables allusions au mythe d’Œdipe, jusque dans le nom de la gouvernante, Smite (ce mythe). Wallas ne coïncide ni avec lui-même ni avec ce roman familial : pris pour un autre – André VS par l’ivrogne – et prenant la place d’un autre – Garinati –, en tuant Daniel Dupont, il parvient à ce comble du malentendu avec soi de ne pas tuer, au sens freudien du terme, le père. Le désastre est alors général dans cette ronde vertigineuse où l’enquêteur

l’expérimentation scientifique, fondé sur la mémorisation plutôt que sur la compréhension ; prétend donner une vision immuable et figé du monde et de son ordre (par exemple avec Saint Thomas d’Aquin qui a cherché à concilier l’héritage antique (Cicéron et Aristote) et la vérité chrétienne ; tout ce qui s’écarte de cette vision ou qui la remet en cause doit être combattu et censuré. Le jeune R a tenté dans un premier temps de concilier la vie monastique l’ambition intellectuelle humaniste, la culture ancienne

sensible dans lequel nous vivons il y a quelque chose dans lequel on vit il y a les lois. Comment concevoir l’existence de l’IDL (les lois) ? L’idl existe indépendamment du réel. Dans cette approche les lois ne sont pas données par l’expérience. Platon le premier qui a posé la question de la loi comme une séparation stricte avec le monde. Notre pensée implique un niveau qui ne vient pas de l’expérience. Dans l’IDL il n’y a ni espace, ni temps, il n’y a que de l’éternel. 2e réponse : l’IDL existe

droit naturel repose sur l'idée que l'Homme a en lui une notion immanente de la justice ainsi que de la moralité. Le droit naturel provient d'une conception universaliste de l'Homme qui souligne sa raison et sa nature sociable telle que en son temps Aristote l'avait formulée (voir Sophocle, Antigone donne une idée de la force du droit naturel sur le droit positif: un édit de Créon interdit à Antigone d'enterrer son frère polynis tué. Antigone vient dire à Créon que ses loins comparées aux lois naturelles

courants majeurs ont traversé l’histoire des sciences. Le premier considère le raisonnement analytique et la raison comme le socle de toute connaissance scientifique. On qualifiera donc ce courant de rationalisme. De Pythagore à Descartes en passant par Platon, les défenseurs de cette conception de la science estiment que la connaissance scientifique ne peut découler que de la raison et que, par voie de conséquence, le cheminement scientifique devra partir de l’abstrait, des idées, des concepts (le « général »)

science politique PHILIPPE BRAUD Ancien directeur du département de science politique de la Sorbonne Professeur émérite des universités à Sciences Po Paris Onzième édition mise à jour 51e mille Introduction La science politique n’est pas née avec Platon, Hobbes ou Rousseau, ces monstres sacrés de la philosophie politique. Entendue strictement, elle est une discipline contemporaine, apparue au début du XXe siècle dans le sillage des grandes sciences sociales. La démarche du politiste se constitue

suivant les époques et les mœurs). Selon les évoques et les sous courants de ces idéaliste ce qu’il y a au dessus se n’est pas la même chose. Platon, Aristote, font partis de cette grande famille du courant idéaliste. La règle de droit se règle de l’équilibre des choses qu’il faut découvrir. Cette approche antique de cette « nature des choses » (Aristote) va s’identifier un peu (après J-C) et on prit une forme catholique. Ils vont nommer différemment cette nature des choses qui est pour eux divine

s'agit d'observer l'étude bibliographie des grands hommes (Hitler par exemple). La sociologie politique nous donne la clé du pouvoir. La mise en place des modèles Est-ce qu'il n'y a pas de différentes façons d'exercer le pouvoir ? Aristote s'est interrogé là dessus. Il avait écrit de différentes formes de gouvernement. Il nous a expliqué que selon le critère de l'attribution du pouvoir: Qui commande ? Qui est le chef ? On arriverait à distinguer plusieurs types de gouvernement. La

peuvent parler de politique, mais ne le font pas avec une approche scientifique, il le font avec une approche journalistique. Ca leur est propre. et ça ne se confond pas avec l'approche qu'on fait en science politique. 1) Professionnels vs amateurs, savants vs profanes ? Approche professionnelle aussi, praticienne, c'est celle qui est faite par ceux qui pratiquent la politique (élu, fonctionnaire, ou haut fonctionnaire, ceux dans les cabinet ministériels etc), ils ne suivent pas non plus une approche

deux approches quant à la good life : l’approche hédonique et l’approche eudémoniste. L’hédonisme psychologique, ou principe d’utilité (Bentham, 1789), se concentre sur les émotions. L’eudémonisme se concentre sur le fonctionnement humain complet (Aristote, eudaimonia; Rogers, 1963; Ryan et Deci, 2001; Seligman, 2002). Dans cette perspective eudémonique de la good life, Seligman (2002) postule un modèle ayant quatre différentes formes de good life : 1- Pleasant life : caractérisé par la recherche