Prestation Compensatoire Cas Pratique

– LE LIEN FAMILIAL ISSU DE L’ALLIANCE On peut définir « l’alliance » comme le lien juridique qui établie par l’effet du mariage, crée entre chacun des époux et la parenté de l’autre, des effets de droit proches de la parenté. Il faut distinguer les cas d’union en dehors du mariage. D’abord le « lien familial issue du mariage » se nomme « l’alliance ». Cette alliance existe d’abord entre les époux, mais cette alliance existe également entre chacun des époux et la parenté de l’autre en ligne directe

Conditions de la jp pour société crée de fait : - concubin n’est pas égal à soc crée de fait - élements de contrat ( apport, affectiaux societatis ) = permettra d’obtenir le bénéfice d’un logement ou le bénéfice de la société … ( A CREUSER POUR CAS PRATIQUE SI EXAMEN FINAL CA TOMBE DESSUS )Déclaration conjointe : La déclaration de PaCS doit être faite conjointement par les deux partenaires ➣ la présence de l’un et l’autre partenaires est requise. Convention de PaCS :

garantit du 1 ° de l'article 274 du code civil . Les requérants soutenaient que les dispositions permettent au juge de subordonner le prononcé du divorce à la constitution de garanties par l'époux débiteur d'une prestation compensatoire due sous la forme d'une somme d'argent ; et qu’ainsi l’époux débiteur qui ne serait pas en mesure de fournir les garanties s’exposait à ce que le divorce ne puisse être prononcé. Le Conseil constitutionnel a déduit des

Séance n°1 : Les fiançailles Les fiançailles, c’est la promesse réciproque de se prendre ultérieurement pour époux. C’est un accord préalable au mariage, plus ou moins formel selon les cas. Les fiançailles sont un fait juridique. Il s’agit d’un simple engagement qui ne lie pas juridiquement son auteur. Le choix de cette qualification tend au respect de la liberté matrimoniale et au droit à ne pas se marier. Si on analyse la promesse de mariage comme un engagement juridique, tel qu’un contrat

Ce premier cas pratique regroupe deux problèmes que nous étudierons successivement. 1er cas : 1. Paul et Paulette. Dans cette espèce, il est question d’un couple marié ayant trois enfants. Paulette a arrêté de travailler pour s’occuper de ses enfants tandis que Paul est davantage absent pour se consacrer à sa passion, le football, qui le rend souvent absent. Après une victoire, Paulette lui demanda de rentrer s’occuper des enfants, ne l’entendant pas de cette oreille il l’a gifla en public. Pensant

Cas pratique Relever les éléments importants : Dégager les éléments important dans le résumé. Ne pas tenir compte des détails dans le résumé. Il y a un divorce. La profession des époux et le nombre d’enfant est à retenir. L’âge et manière de voir de l’enfant est important. Retenir les éléments relatifs à la faute et à la preuve. Cas pratique : Possibilité s’il envisage de divorcer : voir les 4 cas de divorce Problème d’effets extrapatrimoniaux du divorce : garde de l’enfant Effet

-Selon les sciences économiques, il s'agit d'un société de consommation. -Selon les sciences politiques, c'est un rôle fondé sur la solidarité de ses membres. (Dans certains pays, la famille touche les cousins, il existe une grande solidarité, c'est le cas en Afrique. Exemple: Pas de régime d'assurance sociale pour le décès en Afrique, or, il existe une solidarité familiale qui joue un rôle de sécurité sociale.) -Selon les sciences de l'éducation: Bourdieu et son capital culturel. La famille joue un rôle

td 3 siteTD 3 : DROIT PRIVÉ Cas pratiques : - Cas 1 : Sophie et Etienne se connaissent depuis longtemps et ont décidé de se marier le 28 mai. Mais le 28 mai au matin Etienne décède dans un accident de la circulation. Sophie traverse une période dépressive jusqu’au jour où elle se rend compte qu’elle porte la vie en elle. Elle est enceinte d’un enfant de Baron et elle décide de le prénommer Roméo. Est-il possible qu’un enfant né hors-mariage soit considéré comme un enfant légitime ? En

Dans tous les cas, il s’agit d’aider les couples à divorcer mieux. Cependant, comme par le passé, l’ossature générale se décline toujours en trois tableaux autour des cas de divorce, de la procédure et des conséquences. Le Code civil pose le principe de la dissolution du mariage civil (C. civ., art. 227). Il est mis fin au mariage en cas de décès de l’un

Pour le mariage avec une personne décédée c'est à dire le mariage posthume, il n'est possible que dans des cas extrêmement exceptionnels: seulement si les formalités officielles nécessaires au mariage ont été accomplies. Le fait d'avoir fait les formalités officielles exprime la volonté. Le mariage est possible avec une dispense du Président de la République pour des raisons graves tel le cas où la fiancée attend un enfant pour le légitimer. Le mariage posthume n'entraîne ni droit matrimonial, ni