Productivité Et Salaire

A long-terme, la productivité du travail détermine les salaires. Elle est boostée par l’investissement et un bon management du côté des entreprises, des formations et l’expérience du côté des salariés, et par le développement du commerce. Les déviations par rapport à cette règle sont principalement le fait de problématiques incitatives ou le résultat de rapports de force. Source: INSEE Comment les salaires se fixent-ils ? Les entreprises les contrôlent-ils ? A moins que ce soit l’Etat

s'interroger sur les mécanismes. Le premier de ces mécanismes passe à court et moyen terme par les gains de productivité issus du progrès technique et ce que l'on en fait. Nous allons d'abord définir les gains de productivité puis distinguer les quatre différents usages que l'on peut en faire, en explicitant à chaque fois leur effet sur la croissance. Enfin, nous expliquerons pourquoi les gains de productivité peuvent provoquer des conflits. le progrès technique permet la réalisation de gains de productivitéC'est

où l’inégalité des salaires est supérieure à la moyenne de la zone euro. En effet, les dirigeants les mieux payés en France ont perçu 6 millions d’euros en moyenne en 2007, ce qui représente 387 années de SMIC pour un employé ou un ouvrier peu qualifié. Plusieurs facteurs sont à l’origine de ces inégalités salariales et différents mécanismes économiques peuvent expliquer ces différences salariales. Quels sont les déterminants économiques de la fixation des niveaux de salaires ? Dans un premier

économistes soulignent le rôle déterminant des syndicats sur l’amélioration des conditions de travail, l’accroissement de la productivité et la réduction des inégalités, remettant en question les analyses économiques traditionnelles du fait syndical. Jusqu’alors, les travaux des économistes s’étaient exclusivement intéressés à l’effet de monopole des syndicats sur les salaires. En démontrant le caractère inégalitaire et inefficace de l’augmentation salariale obtenue par les syndicats, l’analyse économique

Schumpeter. Le progrès technique est aussi considéré comme un facteur regroupant l’ensemble des éléments permettant d’augmenter la production à quantités de capital et de travail constants. Il peut alors être défini comme un moyen d’accroître la productivité globale des facteurs et de vaincre ainsi la fatalité des rendements décroissants. Loi des rendements décroissants (Ricardo – 1817) : l’augmentation du volume d’un facteur de production entraîne un accroissement moins important de la production

: 1. One best way (observation des gestes, rythmes, cadences) 2. Double division du travail · Horizontale (parcellisation des tâches)· Verticale (séparation des tâches d’organisation et d’exécution)3. Salaire à la pièce (mode de rémunération)Remarque : vision archaïque, mais qui correspondait à son époque. Bilan de cette approche :· Adoption extrêmement répandue, surtout dans les entreprises industrielles (majoritaires à l’époque)·

état de personnes sans emplois, recherchant activement du travail et disponibles sur le marché du travail. Un pays ayant un fort taux de chômage va devoir faire face à ce phénomène et tenter de le réduire voire de le rendre nul. Le salaire, quant à lui représente le salaire net versé au salarié, les cotisations sociales versées aux organismes de protection sociale et les coûts d’embauche et de licenciement. Il est considéré comme le déterminant principal du volume de l’emploi et du chômage par les économistes

responsable du chômage. La hausse de la productivité du travail, parce qu’elle s’appuie en partie sur une substitution du capital au travail, est accusée de détruire des emplois. C’est le thème récurrent de la machine qui tue l’emploi, du chômage technologique, idée qui se colportait déjà au moment de la RI (cf. mouvement des Luddistes). Cette idée repose sur l’égalité suivante : ΔEmploi = ΔProduction - ΔProductivité (à durée du travail constante). Si la productivité s’accroît plus fortement que la production

l’augmentation du PIB ? I Les conséquences positives A du modèle fordo-taylorien : gains de productivité des prix, augmentation de D production B du post-taylorisme : adaptation à une demande diversifiée + Robotisation + compétitivité structurelle et donc croissance : II les conséquences négatives A Crise sociale du modèle fordiste des années 60 : révolte des OS, travail en miette, Turn-over, absentéisme, ↓ de la productivité et de la qualité. B Le post taylorisme est en fait un néo taylorisme : Polyvalence

Chapitre 4 : Croissance, Progrès Technique et emploi. I)Progrès Technique, productivité et emploi. A) Croissance et productivité. Doc 6 p 115 Doc 7p 115 Chiffre d’affaire = Quantité produite x Prix unitaire Profit = Chiffre d’affaire – Les coûts de productions Productivité physique horaire = Quantité produite / nombre d’heures travaillés Productivité physique par tête = Quantité produite / effectifs employés