Rationalité Et Taylorisme

sociologues des organisations) 1922 : Economie et société (pour le management) Conclusion 1900 à 1930 : ECOLE CLASSIQUE 1ère vague de réflexion induite par la volonté de mettre de l’ordre dans les organisations par l’établissement de règles strictes Taylorisme : concept organisationnel de base Fordisme : Standardisation Fayol : Unité du commandement, direction, prévoyance et de coordination Weber : Théorie de l’action rationnelle De là va découler l’école des relations humaines ECOLE DES RELATIONS

une production de mauvaise qualité. Les salaires n’ont pas augmenté. Le travailleur n’est pas une machine. Les ouvriers ne sont pas uniquement motivés par le salaire. 2. Les théories des relations humaines C’est une réponse à l’excès du taylorisme. a. Analyse Pour eux, les entreprises cherchent à maximiser leur profit mais ils apportent une nouvelle dimension de l’homme au travail par rapport à Taylor. Ils considèrent l’homme en tant qu’individu et appartenant à un groupe.  Dimension

liens commerciaux avec eux. À la fin du XIXème siècle, la vapeur n'est plus la seule source d'énergie, peu à peu, le pétrole la dépasse. Les Etats-Unis sont les premiers à l'utiliser dans l'industrie, combine aux nouvelles méthodes de travail ( taylorisme et fordisme ); ils deviennent rapidement la puissance de référence, cette seconde phase est marquée également par l'électricité qui se développe rapidement en Amérique, mais lentement en Europe. Cette période est significative dans la croissance

toutes les informations. Ils s’intéressent au changement technique sur le travail de l’ouvrier. Friedman : philosophe de formation : travaux sur l’industrialisation, taylorisme et la notion de progrès. Trait d’influence sur la structure sociale et les mentalités. Les dégâts de la révolution industrielle, les conséquences de taylorisme sur le travail ouvrier en matière de déqualification. Pierre Naville : il s’intéresse au travail ouvrier et au conséquence de l’industrialisation sur le travail ouvrier

mettant fin à la non connaissance objective de ce qu’est une journée loyale de travail » L’OST est complétée par le « right man in the right place » et sur le salaire indexé sur la performance individuelle. La Ford T : « l’automobile universelle » Le taylorisme Le contrôle hiérarchique ne suffit pas pour obtenir une coordination efficace. Constat de « flânerie systématique ». Taylor conçoit un système d’optimisation de la production fondé sur la séparation entre conception et exécution, ainsi que sur la

plus au courant de « l’école des relations humaines » (=à la recherche de la satisfaction de l’ouvrier.). Le mouvement intellectuel de l’école des RH est né dans le cadre de la crise économique de 1929 (après le développement à grande échelle du Taylorisme. Ce mouvement cherche à redonner une place centrale à « l’homme au travail ». Point de vue Tayloriste : - Distinction très marquée entre agent de conception (cadre) et agent d’exécution (ouvrier). - Figure du contremaître avec le chronomètre en

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dissociés. -l'acteur individu maximise sa fonction d'utilité. -le monde est certain et prévisible -les produits sont homogènes ►Fonction principale de l'entreprise:la production 2)L'approche contractuelle de l'organisation H.SIMON(1916) : La rationalité limitée : - l'information ne peut pas être parfaite -le futur n'est pas certain -l'information a un coût - parfois l'individu choisit la solution la plus acceptable 3)L'entreprise, coalition d'acteurs R.M.CYERT (1921) J.G.MARCH (1928)

sociologues des organisations) 1922 : Economie et société (pour le management) Conclusion 1900 à 1930 : ECOLE CLASSIQUE 1ère vague de réflexion induite par la volonté de mettre de l’ordre dans les organisations par l’établissement de règles strictes Taylorisme : concept organisationnel de base Fordisme : Standardisation Fayol : Unité du commandement, direction, prévoyance et de coordination Weber : Théorie de l’action rationnelle De là va découler l’école des relations humaines ECOLE DES RELATIONS

industriel nous fait passer d’un système artisanal à un système industriel, propice à la production de masse. Le développement de la technique permet une production de masse sans mesure avec la production des siècles précédents. L’efficacité s’accroît (taylorisme et fordisme), les échanges internationaux et les échanges entre secteurs se transforment, entrainant d’une part une production importante mais également une augmentation du pouvoir d’achat. On entre dans une période de retournement complet et