Rationalité Et Taylorisme

et l’ouverture des marchés, les entreprises devront être à la hauteur des exigences et cela en intégrant la fonction qualité au sein de leurs activités afin de répondre aux normes. Depuis l’instauration du Taylorisme et son développement avec ses réussites mais aussi ses succès de rationalité et ses disfonctionnements, à engendrer une nouvelle penser d’organisation de travail de la part des entreprises. C’est à partir de là, que la notion des « relations Humaines » commença à prendre place au sein

les consommateurs opèrent-ils leurs choix de consommation ? Intérêt ? Comment les individus vont réagir à des augmentations de prix, par exemple ? (tarification, marketing) Introduction : la rationalité Principes généraux sur la rationalité  les agents économiques individuels ont une rationalité très forte : • un principe d’optimisation : tout agent décide d’optimiser sa situation. L’objectif d’un consommateur est de maximiser son utilité, sa satisfaction sous contrainte budgétaire. L’objectif

microéconomiques. I INTRODUCTION AU RAISONNEMENT ECONOMIQUE : PRINCIPES DE MICROECONOMIE Bibliographie en ligne sur FDV Plan : introduction Ch.1 préférences et choix du consommateur Ch.2 l’homo sapiens est- il un homo economicus ? Retour sur la rationalité Ch.3 marché et équilibre offre- demande Ch.4 efficience des marchés Ch.5 décision publique Ch.6 théorie des jeux Economie néo- classique et avancées « récentes » de la science économique Théorie néo-classique ou théorie standard : le fondement

du même principe de rationalité et dont les interactions passeraient par « une série de marchés complets ». La place et la position occupée par chaque individu diffère et en cela, on ne peut pas se baser sur un agent représentatif qui opèrerait en outre dans un vide institutionnel complet. De la même façon, l’idée selon laquelle les interactions entre individus sont purement et simplement guidées par la rationalité est critiquable. Elle l’est d’autant plus que la rationalité se trouve limitée notamment

exemples. Il appuie ses propos par les expressions, affirmations et familiarités que l'on a tous pu pratiquer, entendre ou subir en entreprises. L’auteur conforte certaines notions énoncées dans le livre en faisant une synthèse de celles-ci (la rationalité limitée, l’intelligence émotionnelle, etc.) via un encart explicatif de cette dernière. L'auteur amène constamment le lecteur, via ses affirmations, à se remettre en question et à lui faire prendre conscience de certaines évidences que l'on ne

travaux de Taylor. Les aspects psychologiques sont traités trop sommairement par le taylorisme, le seul facteur de motivation retenu étant la rémunération. La formulation des procédés opératoires est fondée sur l’idée simpliste selon laquelle il existerait une seule meilleure façon d’exécuter un travail le “ one best way ”. La division fonctionnelle du travail vide celui-ci de sa substance et de son intérêt. 3 - Le Taylorisme à la française par Henry Fayol Pour sa part, Henri Fayol en 1916 développe en

travaux de Taylor. Les aspects psychologiques sont traités trop sommairement par le taylorisme, le seul facteur de motivation retenu étant la rémunération. La formulation des procédés opératoires est fondée sur l’idée simpliste selon laquelle il existerait une seule meilleure façon d’exécuter un travail le « one best way ». La division fonctionnelle du travail vide celui-ci de sa substance et de son intérêt. Le Taylorisme à la française par Henry Fayol Pour sa part, Henri Fayol en 1916 développe en

d’atteindre ses fins. Le travailleur est devenu une marchandise comme les autres. La production s’étant développée à partir de critères de rentabilité, elle est devenue toujours plus abstraite et le travail toujours plus instrumentalisé. Le taylorisme a poussé à son point extrême le mépris du travail humain en le chronométrant, en le divisant, en lui enlevant tout sens. Le travail reste considéré par la pensée économique comme un pur facteur de production. La subordination, cœur

formation Ne convient que pour les produits standardisés Facilite la transition de l’Homme vers la machine Inadapté à la créativité Jette les bases du management (recherche de convergence entre les intérêts des salariés et ceux de l’entreprise) Le Taylorisme néglige le rôle des autres agents de l’organisation L’école des relations humaines L’école des relations humaines reconnait l’importance indiscutable du facteur humain dans le succès d’une entreprise. « Les managers obtiennent ce qu’ils désirent

provisoire, parce que ce caractère exceptionnel hors du commun s’amenuise avec le temps : on a une routinisation du charisme, et tend à disparaître sur le long terme. La domination légale rationnelle  croyance dans les lois et règlements et dans la rationalité de la décision et de son application. Les instances politiques légitimes sont celles qui sont conformément à la loi désignées. Weber a formalisé et modélisé sa pensée sous forme d’idéal-type. Les trois modèles de domination ci-dessus en sont.