Rawls Principe De Différence

: Marek Hudon Année : 2010 Table des matières 1. Introduction ....................................................................................p.3 2. Présentation de l’égalitarisme libéral ........................................p.4 2.1. Principes de base ..................................................................p.4 2.2. Responsabilité rawlsienne ..................................................p.4 3. Dette internationale des pays en voie de développement .......p.5 3.1. Contexte

psychologie de la souffrance sociale et d’études politiques des mouvements sociaux, il n’est pas interdit de penser que ce même travail « critique », s’intéressant aux questions de justice sociale, a été produit depuis la Théorie de la justice de John Rawls par une école dite « analytique » en philosophie morale et politique et dont les principales caractéristiques pourraient être définies comme étant les suivantes : aspects normatifs souvent assumés du propos, utilisation des outils de la science économique

économique : transfert de propriété de marchandises (biens, services) entre individus, dans des proportions fixées explicitement et librement (sans contrainte exercée par l'une des parties sur l'autre) par contrat. Différence avec le vol : pas de contrainte + transfert mutuel Différence avec le don/contre-don : la valeur (la proportion dans lesquelles les marchandises s'échangent) est explicitement fixée par contrat, de même que la date de l'échange. Une fois l'échange effectué, les parties n'ont

retour à l’état naturel. Tout doit être mis en œuvre pour garantir cet ordre et parmi les conditions de pérennité de l’ordre politique il y a la condition de stabilité de l’ordre juridique. Un ordre juridique ne saurait être remis en cause au nom de principe extérieur au droit, d’après lui. Et on a dit que l’Etat était un réducteur d’incertitude d’après la théorie d’Hobbes. Et c’est pour cela que la problématique de sécurité va s’élargir en sécu sociale. Il n’est de bon, de légitime, de juste que

est fixé à 50%.). En cas de dérogation on parle de niche fiscale (Exonération des revenus les plus faibles par exemple). Après ce rapide tour d’horizon de la notion d’impôt il s’agit de remonter aux fondements de son existence. Quels sont les principes qui sous-tendent la notion d’impôt ? Dans son acceptation actuelle, l’impôt s’inscrit dans une relation, quelle est-elle ? En étudiant cette relation, cette logique dans laquelle s’inscrit l’impôt, on va tenter de définir qu’est ce qui légitimise

meilleure» (Fable de La Fontaine Le loup et l 'agneau) : tentative de rationalisation de la force « Justice sociale » : exige des conditions de vie équitable pour tous Qui de la définition commune de la justice ? Définition vulgaire du Larousse : « principe moral qui exige le respect du droit et de l’équité ». Cette définition confond droit, justice, morale et éthique. Risque d’affaissement et d’écroulement de la notion. Rend nécessaire une zététique et une exploration critique, philosophique.

l'intérêt commun n'est pas autre chose que l'intérêt des individus et l'intérêt des individus est la maximisation de la somme des plaisirs ou " ce qui revient au même ", la minimisation de la somme des peines. Une fois ce principe admis, nous disposons d'un critère permettant de reconnaître une action morale : est moral qui ce qui permet d'augmenter la somme globale de plaisirs disponibles pour une communauté donnée. Ce n'est donc plus l'intérêt égoïste

nécessairement juste ? 3 3.L’équité : un mécanisme correcteur de la justice légale 3 III. La justice comme finalité politique et sociale : l’injonction pratique d’une réconciliation du juste et du légal 3 A. Justice et égalité 3 1. Egalité, identité, différence : travail de distinction 3 2. Inégalités naturelles et inégalités sociales : 3 3. Egalité arithmétique et égalité géométrique : 3 B. Les droits de l’homme et du citoyen : 3 1. Quel est « l’homme » des « droits de l’homme » ? 3 2.Quels sont ces droits

découlent des mécanismes de marché selon tel ou tel principe de justice (RSA) « équitable » L’équité ne signifie pas forcement la réduction d’inégalités: J.-P. Fitoussi, « L’équité n’est pas [...] un substitut à l’égalité, mais une propriété du principe d’égalité que l’on choisit. Lorsque ce principe devient plus exigeant, les normes sociales deviennent plus équitables ». On ne peut donc se prononcer sur l’équité qu’à condition d’expliciter le principe de justice sociale auquel on se réfère. 3 perspectives

animal politique c'est faire de la détention du pouvoir un objet de conflit qui puisse se régler dans le cadre pacifique du débat d'idées et de la délibération publique. Tous les philosophes reconnaissent donc à peu de choses prees que c'est pcq les différences entre les Hommes se compensent et ne se traduisent pas en terme d'inégalité que la question politique se pose. Or, la politique, si c'est bien ce qui concerne la vie de la cité, a partie liée depuis toujours avec les lois qui elles mêmes ne sauraient