Sanction De La Mauvaise Foi Contractuelle

1134 du Code civil : « Les conventions légalement formées tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faites. Elles ne peuvent être révoquées que de leur consentement mutuel, ou pour les causes que la loi autorise. Elles doivent être exécutées de bonne foi ». Les conditions de formation du contrat de vente Il existe un certain nombre de conditions générales qui régissent la formation des contrats. Ces conditions sont au nombre de quatre et sont absolument nécessaires pour que le contrat soit valide

alors que pas possible pour meuble. Mais auj bcp moins vrai. Section 2. Les droits Ce sont des biens. Etre titulaire d’un droit, c’est en être prop. Droit subjectif = prérogative attribuée à une personne et qu’elle peut faire reconnaitre et sanctionner en justice. Distinction droits extrapatrimoniaux / patrimoniaux. 2 catégories : * Droits qui portent sur une chose * Droits contre les personnes, qui créent entre 2personnes un lien d’obligation = lien juridique qui permet au créancier

morale : renvoi a un sentiment d’obligation que l’on peut avoir à l’égard de quelqu’un, qui peut provoquer du mal être. S’il y a violation de cette obligation il peut y avoir un rejet du groupe d’appartenance. Cette obligation morale n’a pas de sanction juridique, pas de règle de droit. * Obligation juridique : établie entre 2 personnes un lien de droit avec une particularité qui fait que chaque personne peut exiger de forcer le contrat. On a deux personnes le débiteur et le créancier. Il existe

collective qui est applicable à une catégorie de personne. La règle de droit est rédigée dans des termes spéciaux pour englober toutes les catégories. Elle est obligatoire, elle s’impose et est susceptible de sanction. Le droit pénal a le monopôle de la sanction. Il existe aussi des sanctions civiles, c’est le domaine de la réparation, la responsabilité civile, l’exécution forcée. Règle impérative : Règle qui s’impose telle qu’elle est rédigée. Règle supplétive : Règle aménagée par un accord de

unilatérale de vente est-elle toujours valable lorsque la levé d’option par le bénéficiaire à lieu postérieurement à la rétractation du promettant ? La rétractation de ce dernier avant l’expiration du délai d’option est elle susceptible d’une sanction ? Si oui laquelle ? Solution : La cour de cassation casse et annule la décision rendue par les juges du fond au motif que «  la levée de l’option par le bénéficiaire de la promesse postérieurement à la rétractation du promettant exclus toute

que celui de contrat. Toutes les conventions ne sont pas des contrats mais tous les contrats sont des conventions. Le contrat est un accord entre deux ou plusieurs personnes qui est juridiquement sanctionné. Le contrat est d’abord un accord de volonté et c’est cet accord qui est juridiquement sanctionné. Il y a au moins deux personnes juridiques qui manifestent leur accord en vue de passer telle ou telle opération. Le contrat suppose donc un concours de volonté. Est il possible de contracter avec

peut entrainer des recherches de paternité de la part de l’enfant pour forcé la reconnaissance car la loi impose la reconnaissance. * Nature du lien : pour que l’on est affaire à une obligation -> besoin lien de droit qui soumet à une sanction étatique. B) La classification * Source (ce qui est à l’origine de l’obligation) * Actes juridiques : les volontés qui créent l’obligation * Faits juridiques : par comportement qui génère une obligation * Objet (classification

TRANSPARENCE DU MARCHE ET LES SANCTIONS Chapitre I: la transparence Section I: Information entre professionnelles Section II: Information entre consommateurs Chapitre II: Les sanctions et le cas pratique Section I : les sanctions pénales et administratives en matière de prix et concurrence Section II: CAS pratique Conclusion INTRODUCTION Partant du principe constitutionnel de la liberté du commerce et de l’industrie fondée sur la liberté contractuelle qui traduit juridiquement le

créancier serait illusoire s’il ne lui permettait pas à défaut d’exécution volontaire de forcer, de contraindre le débiteur à accomplir la prestation. L’obligation doit être soutenue par un droit de contrainte contre le débiteur. Ce droit découle d’une sanction que le créancier peut mettre en œuvre par le biais d’une action = actio in personam ( action personnelle. Cette action peut prendre des formes variables selon les différentes sources d’obligation, l’action est dite réipersécutoire quand la créance

l’une et l’autre, obligation conventionnelle, convention obligatoire. Et le problème du contrat apparaît comme celui de la liaison entre les deux termes, c’est-à-dire de la reconnaissance, par le droit, des engagements volontaires, ou encore, de la sanction des promesses. Bien loin d’aider à la solution du problème, une analyse philosophique de la promesse la rend plus ardue. Car les philosophes – certains d’entre eux du moins – considèrent, sans doute, que la promesse ne peut être pensée que comme