Starobinski

l’œuvre se trouve rapidement en phase avec le culte dont il est l’objet dans l’imagerie et l’imaginaire révolutionnaires, partagé entre l’admiration pour l’assassin de César et l’adversaire de Tarquin. Ainsi que l’a pertinemment proposé Jean Starobinski, l’adhésion des œuvres de David à la cause révolutionnaire s’exprime principalement à travers le vocable du serment, en même temps que ce serment assure la continuité d’une œuvre personnelle commencée avant la Révolution. En effet, par-delà la Révolution

Toursel, Littérature : 140 textes théoriques et critiques, coll. Cursus, A. Colin, 3e édition : chapitres 8, 9, 10 (L’œuvre et ses lecteurs) Etape 4 : lectures critiques sur les œuvres : des références seront proposées en cours d’étude - Jean Starobinski, Jean-Jacques Rousseau : la transparence et l'obstacle, Gallimard (1957-1976), collection Tel. Lire le chapitre VII (sur l’autobiographie). PS. Si vous avez la moindre question, n’hésitez pas à me contacter par mail. 

décalage, normalise l'horreur Ridicule des inepties : preuves par A+B malvenues, raisonnement «a priori» (écho une page + loin «la chose est démontrée») => la causualité ne peut servir de fondement rationnel à tout système : raisonnement vicieux (Jean Starobinski) Conclusion Réponse à la problématique Récit déroutant dès les 1ères pages puisqu'il nous interpelle. Non seulement il parodie le Conte Traditionnel, mais il met aussi en place le décor métaphorique et philosophique de l'oeuvre. On y trouve

La « conscience métisse » paru en janvier 2012. Il avait reçu la grande médaille en 2011. Ce dernier est un philosophe et romancier iranien, indianiste et professeur d'université. En 1998, le grand prix de la francophonie est décerné à Jean Starobinski, né à Genève, il est un historien des idées et théoricien de la littérature.
Il est en outre médecin, ayant étudié les lettres classiques, à l'université de Genève, où il a obtenu un doctorat ès lettres et un doctorat en médecine. Il est récompensé

un lieu d'expérimentation » pour le jeune poète[39]. Le motif de la lumière est omniprésent dans l'œuvre : en attestent les titres de certains ouvrages et de nombreux poèmes, et les effets de lumière qui apparaissent dans les textes[40]. Jean Starobinski souligne un « amour professé de la lumière, [qu'il] aime assez pour vouloir qu'elle circule dans les mots qu'il trace, et pour veiller à n'écrire aucune ligne qui ne soit pour le lecteur un chemin de clarté »[41].

Rousset, Dernier regard sur le baroque, Paris, José Corti, 1998 (it) Giovanni Getto, Il Barocco letterario in Italia, Milano, Mondadori, 2000 [essais écrits entre 1951 et 1968 ayant paru en volume en 1969 chez Rizzoli] Michel Jeanneret et Jean Starobinski, L'Aventure baroque, Carouge-Genève, Éditions Zoé, 2006 [avec plusieurs essais de Jean Rousset et ses traductions des poèmes de Andreas Gryphius et Angelus Silesius (éd. bilingue français-allemand)] Jean-Claude Vuillemin, Baroquisme et théâtralité:

romancier (1973), Le Mythe de Don Juan (1978), Leurs yeux se rencontrèrent (1981). Courant critique, idéologie, méthode : Jean Rousset fait partie de « l’école de Genève » (au même titre que Marcel Raymond, Georges Poulet, Albert Béguin, Jean Starobinski) que Jean-Yves Tadié a pu nommer « critique de la conscience », s’agissant de celle de l’auteur. Il applique à la littérature, à la fois la méthode de connaissance et la méthode critique d’histoire de l’art et d’esthétique. Sujet : Il s’agit

normalise l'horreur Ridicule des inepties : preuves par A+B malvenues, raisonnement «a priori» (écho une page + loin «la chose est démontrée») => la causualité ne peut servir de fondement rationnel à tout système : raisonnement vicieux (Jean Starobinski) Conclusion Réponse à la problématique Récit déroutant dès les 1ères pages puisqu'il nous interpelle. Non seulement il parodie le Conte Traditionnel, mais il met aussi en place le décor métaphorique et philosophique de l'œuvre. On y trouve

générales du signe, ils ne devraient pas être partie prenante du contenu donné dans les cours de linguistique générale de 1907 à 1911, ce qui explique le silence sur ce thème dans l’édition de 1916. 4 Les Niebelungen et les noms propres. Selon Starobinski (1974), les études saussuriennes sur les Niebelungen sont réunies dans environ dix-huit carnets – sans compter un certain nombre de feuilles -, l’ensemble catalogué sous les numéros Ms Fr. 3958 et Ms Fr. 3959 . Il est estimé que ces recherches ont

d’une communauté que le culte dominical rassemble à l’église. L’écrivain, derrière sa fenêtre, est une conscience séparée : il voit tout et ne participe pas. Il recueille le jeu des apparences. Il y a eu sécession par rapport au groupe social. » (Starobinski, L’Idée de la ville, pp. 181-182). Le double point de vue • Proust, À l’ombre des jeunes filles en fleurs (I, p. 681), le narrateur adopte successivement le point de vue des clients du Grand Hôtel, pour qui la vue sur la mer est assimilée à « une