Suffrage Censitaire

souveraineté populaire 1 – Le suffrage universel et l’électorat-droit Dans cette conception, la souveraineté est donc divise : pour reconstituer la souveraineté dans son entier, il faut obligatoirement additionner toutes les parcelles de souveraineté : pour prendre une décision importante, il faut consulter tous les citoyens. La souveraineté populaire implique donc le suffrage universel, c’est-à-dire de tous (toutefois, à l'époque, « tous » signifie tous les hommes : c'est un suffrage universel masculin.

ce fait marquant. Il y a un certain nombre d’évolutions notables comme le processus de politisation des individus, le processus de professionnalisation de la vie politique, le parlementarisme, l’apparition de partis politiques, l’instauration du suffrage universel, l’apparition de campagnes électorales, la crise de la représentation, la place de plus en plus importante qu’occupent les médias dans le déroulement de la vie politique, etc. L’étude de la construction du régime démocratique en France

parlementaire, c’est une véritable évolution. Mais le suffrage est seulement censitaire, cad sur impôt qu’on paye. Ceux qui peuvent voter ce sont ceux qui ont des biens donc qui les défendent et donc qui ont le droit de vote. En 1845 une crise économique intervient. Cela entraine un ralentissement de la croissance et une augmentation du chômage et surtout ouvrier. Il existe donc des revendications sociales et politiques. Les Hommes revendiquent un suffrage du corps électoral pour que ceux qui n’ont pas

convention dominé par les montagnards créé un tribunal révolutionnaire pour juger les suspects et un comité de salut public par Robespierre qui installe la dictature et conduit la guerre. En juin 1793 est voté une nouvelle constitution, la troisième. Le suffrage universel masculin, l'instruction obligatoire... la terreur s'installe, les libertés sont suspendues. Par la loi des suspects du 17 septembre 1793 sont arrêtés les « ennemis » de la libertés qui seront jugé par les tribunaux révolutionnaire : 17000

l'ensemble des organes permanents assurant le fonctionnement régulier du parti. Apparentement : sorte d'accord électoral pouvant être utilisé dans un scrutin de liste et permettant aux candidats ou aux listes dits "apparentés" d'additionner leurs suffrages afin d'atteindre ensemble la majorité nécessaire pour emporter la totalité des sièges à pourvoir. Appel au peuple : technique utilisée par le "bonapartisme" pour susciter la confiance populaire (plébiscite). Arrêté : acte administratif pris par

de 1791 est entièrement fondée sur le principe de la souveraineté nationale ; cependant, un nombre réduit de citoyens appelés citoyens actifs est appelé à exprimer la volonté de la nation, c'est à dire à élire ses représentants. Le suffrage est un suffrage censitaire (restreint) puisque seuls les citoyens âgés d'au moins 25 ans et payant une contribution égale à trois jours de travail ont la qualité d'électeur. Il est également indirect puisque les citoyens actifs élisent simplement les électeurs

démocratique. Mais pas n’importe quel vote : on parle bien ici du suffrage universel. Le suffrage universel ? Le suffrage universel consacre l’égalité entre tous les citoyens : chaque citoyen reçoit une et une seul voix. La voix d’un citoyen ne vaut pas plus celle d’un autre. De plus ; le vote est secret et chacun est libre de choisir librement entre les liste et candidat proposés. Cependant, selon les pays et les époques, le suffrage universel peut comporter des restrictions d’âges, de sexe ou

nécessité de s’unir contre l’ « ennemi hollandais », le jeune Etat s’est bientôt découvert multiple, en proie à des tiraillements voire des divisions. Comment s’est développé notre système politique ? En quoi a-t-il influencé le choix d’un mode de suffrage ? Comment a évolué (et continue d’évoluer) le jeu des acteurs politiques dans la pièce belge ? Et que signifient, au cœur d’un des clivages inhérents à notre pays, les trois lettres BHV ? C’est en replongeant dans cette histoire, comme le propose

de vous, chacun de vous et moi-même ». Le 28 octobre 1962, référendum sur l’élection du président de la république au suffrage universel direct (par le projet de révision constitutionnelle de de Gaulle), par ce type d’élections, il fait participer la France rurale, c’est le fin d’un suffrage quasi censitaire, le peuple se sent concerné et souverain du pouvoir. Le vote au suffrage universel est la source de ce pouvoir souverain. De Gaulle soumet au peuple ses idées comme celle de la constitution,

d'entrée aux Chambres, c'est à dire qu'ils peuvent y être entendue quand ils le souhaitent, et ils sont de plus pénalement responsable devant ces mêmes Chambres. Même si les députés de la Chambre des députés du département sont élus, ce suffrage reste très censitaire dans les faits, puisque seul les citoyens assez riches pour payer le cens peuvent être élus. Les chambres ont deux prérogatives principales, elles votent la loi et consentent l'impôt.     -On a donc bien les structures d'un régime