Technostructure

informatique, financière ou juridique, et l’on assiste à une “prise de pouvoir” des fonctions à haute technicité ajoutée (et à l’émergence de nouveaux “chefs” puissants dans nos structures hospitalières). Le sous dimensionnement relatif de la “technostructure” - où nous retrouvons cette fameuse GRH, également créée pour reconstruire un équilibre de pouvoir au sein de la pyramide organisationnelle - , est de nature à rendre plus complexe le partenariat entre la logique “administrative” (DRH) et les

activités ou décisions d’une organisation. Elles se constituent de 2 groupes tel que les parties prenantes : − Internes : Ici nous avons tous les acteurs qui agissent dans le but de pérenniser l’entreprise. Ils se composent : de dirigeants (la technostructure), les actionnaires, les salariés. Chez les galeries Lafayette, nous pouvons voir que la partie interne se compose également de dirigeant (P.HOUZE, Ginette Moulin, Léone MEYER), d’actionnaire (BNP Paribas, crédit mutuelle) et de salarié. D’autre

utilisant une douzaine de critères. Il distingue six parties à l'intérieur de l'organisation: le sommet stratégique (la direction), la ligne hiérarchique, le centre opérationnel (ceux qui fabriquent, transforment ou vendent les produits), la technostructure (les experts fonctionnels assurant la planification, le contrôle de gestion et l'appui à la direction générale et à la ligne hiérarchique pour la préparation et le suivi des stratégies), le support logistique (depuis le service juridique ou les

La production crée le besoin. Il définit la « technostructure » des grandes entreprises. La technostructure est composée des dirigeants, des conseillers, des spécialistes. Ce sont eux qui décident. Elle va prendre des décisions pour ses propres intérêts. Elle planifie, elle organise les activités et le développement de l’entreprise. La technostructure a du pouvoir et c’est les pouvoirs publics qui vont limiter les risques de la technostructure. Ultra libéraux HAYEK Economie est un ordre naturel

fois réédité, traduit dans de nombreuses langues, il a suscité l'intérêt jusqu'en Union soviétique. I. La technostructure La définition Il s’agit en réalité d’une observation qui n'est pas nouvelle. Galbraith va donc en quelque sorte mener à son terme une réflexion déjà engagée avant lui mais il va la prolonger en des termes devenus célèbres en parlant de la technostructure. De quoi s'agit-il donc ? Il est évident qu'un individu isolé ne peut pas assurer le fonctionnement de plus en

excessive différenciation de l’organisation. - le contrôle des réalisations effectives des acteurs à tous les niveaux. 2) Les mécanismes de coordination Pour assurer la coordination d’éléments aussi différents (les activités des membres de la technostructure sont nettement différentes de celles accomplies par le centre opérationnel), il faut concevoir ou s’appuyer sur cinq mécanismes de coordination appropriés : a) L’adaptation réciproque ou ajustement mutuel : On fait allusion ici aux réseaux de

l’instance de vision générale qui assure la supervision, la gestion et le développement stratégique. 3. La Ligne Hiérarchique C’est l’instance située entre le Centre Opérationnel et le Sommet Stratégique, c’est l’encadrement. 4. La Technostructure C’est l’instance qui est chargée de l’analyse, de la formation et du contrôle, qui affine les méthodes en standardisant les procédés, qui planifie en anticipant les résultats, qui gère les ressources humaines en standardisant les qualifications

pouvoir est localisé au sein du sommet hiérarchique et chez les analystes de la technostructure. L’appellation, initialement utilisée par Max Weber, a été reprise par Mintzberg qui en a tiré plusieurs variantes. * L’instrument : l’organisation est un instrument entre les mains des propriétaires qui détiennent la plus grande partie du pouvoir. * Le système clos : la hiérarchie interne et la technostructure se partagent le pouvoir. * La structure divisionnalisée se caractérise par

des procédés de travail : Elle réalise la coordination en spécifiant les procédés de travail. Ces standards sont habituellement au niveau de la technostructure. 4.La standardisation des résultats : Elle réalise la coordination du travail en spécifiant les résultats des différents types de travail. Les standards sont eux aussi établi par la technostructure. 5.La standardisation des qualifications et du savoir : Elle effectue la coordination des différents types de travail par le biais d’une formation

contrôle Enjeux du contrôle Exemple Organisation entrepreneuriale ou structure simple Sommet stratégique Supervision directe -Pilotage stratégique du dirigent -Pilotage des stratégies émergentes Organisation bureaucratie mécaniste Technostructure Standardisation des procédés Arbitrages entre formalisation et flexibilité Grandes entreprises industrielles Mc Donald’s Air Canada Bombardier Organisation divisionnalisée Ligne hiérarchique Standardisation des résultats Arbitrages entre