Théorème

choses à faire, je veux tout faire en même temps et j'ai du mal à tout apprendre comme il faudrait Avant de répondre à une question, j'essaye de me souvenir de tous les "trucs" vus en cours qui pourraient m'aider (règles de grammaire, théorèmes, exemples d'exercices...) Si j'aime ou non le professeur, je n'apprends pas mon cours de la même façon J'ai une bonne mémoire, mais j’ai du mal à me souvenir des informations au moment où j'en aurais besoin

Einstein est un éminent physicien et que nous n'avons pas accès aux connaissances qui permettent de démontrer de tels résultats. D'ailleurs, seul un petit nombre des astrophysiciens qui utilisent cette formule savent démontrer ce résultat. De même, les théorèmes mathématiques que nous utilisons en cours comme celui de Thalès ou de Pythagore, ne nous sont démontrés que bien après que nous sachions les utiliser. Se rendre à l'évidence serait donc accepter une idée qui nous provient de quelqu'un en qui nous

l'égalité de la propriété 4 sont les deux résolutions du croisement à gauche de l'égalité. Exemple: Figure 17: Calcul du crochet de Kauman de l'entrelacs d'Hopf Question: Est-ce que c'est un invariant de noeud ?? NON, car 10 −A3 = ∞ = Théorème: Dém: (II): O =1 ··· est invariant par des mouvements de Reidemeister de type II et III. Figure 18: Démonstration de l'invariance du crochet vis-à-vis du mvmt de Reidemeister II Figure 19: Démonstration de l'invariance du crochet

colinéaires si l’on peut établir la relation =K avec K un nombre réel entre eux. Le vecteur nul est colinéaire à tous les plans. Pour retenir : Dire que deux vecteurs sont colinéaires est équivalent à dire que deux droites sont parallèles. Théorème pour montrer que deux vecteurs sont colinéaires Soit (a ; b) et (c; d) deux vecteurs aux coordonnées non nulles. et sont colinéaires si et seulement si ad-cb = 0. 2. Coplanaire Définition: Trois vecteurs sont dits coplanaires si l’un des

Arithmétique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55 1 Division euclidienne et pgcd . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55 2 Théorème de Bézout . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 59 3 Nombres premiers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 63

Section : S Option : Sciences de l’ingénieur Discipline : Génie Électrique Constatation des théorèmes de l’algèbre de Boole Domaine d’application : Les systèmes logiques Type de document : Cours Classe : Première Date : I – Constatation du théorème d’absorption Etudions le logigramme 1 : A B 1 Logigramme 1 & A 0 0 1 1 S I – 1 – Donnez l’équation de la sortie S du logigramme 1 en fonction de A et de B : B 0 1 0 1 S S = …………………………………………………………………………… I – 2 – Complétez

modifier l’opinion en faisant appelle au sentiment 1) Procédé pour convaincre La répétition du mot « droit » 3 fois, cela à une connotation jurirdique (texte de loi ) De plus il y a l’emploi de terme mathématique (théorème du corollaire ligne 29 ), ici il discute le théorème selon lequel ceux qui ne lisent pas sont « des crétins rédhibitoire »ligne 30 2)Procédé utilisés pour persuader L’auteur implique le lecteur grâce au pronom personnel « nous » ligne10. De plus il met en évidence ses

= -1 + e . -1 + e x > 0 équivaut à e x > 1 soit e x > e0 comme la fonction exponentielle est strictement croissante sur ¡ , x on a donc -1 + e > 0 équivaut à x > 0 . On peut donc dresser le tableau de signes puis les variations de g grâce au théorème de Lagrange : 0 et g ( 0 ) = 1 - 0 + e = 1 + 1 = 2 . Comme 2 est le minimum de la fonction g, on peut conclure que g est positive sur ¡ . e x (1 - x ) 1e x - xe x 1- x ex + 1- x = 1 + = 1 + = = e- x g ( x ) . 2. Pour tout x Î ¡

l’équation . de est donc l’abscisse de l’unique point d’intersection de droite d’équation . et de la courbe d’équation . est strictement croissante sur . c) est continue et strictement croissante sur . Donc d’après le corollaire du théorème des valeurs intermédiaires, tout réel compris entre et admet un unique antécédent dans . Or et et , . donc 1 est compris entre Par conséquent, 1 admet un unique antécédent dans . C'est-à-dire : l’équation possède une unique solution dans .

arithmétique de raison 2. Exercices : 42, 43 page 2149 [Déclic] Théorème : Soit (un ) une suite arithmétique de raison r. – Si r > 0, alors la suite (un ) est croissante. – Si r < 0, alors la suite (un ) est décroissante. 2.2 Expression en fonction de n Soit (un ) une suite arithmétique de raison r. On a : u1 = u0 + r u2 = u1 + r = (u0 + r) + r = u0 + 2r u3 = u2 + r = (u0 + 2r) + r = u0 + 3r Plus généralement, on a le résultat suivant : Théorème : Soit (un ) une suite arithmétique de raison r. Alors