Théorie des modèles

LA THEORIE NEO-CLASSIQUE INTRODUCTION Théorie dominante dans les économies capitalistes, celle qu’on enseigne beaucoup dans les universités. Courant crée dans les années 1870. Théorie améliorée (notamment quand il était manifeste qu’un des éléments n’était pas sérieux) 2 grands théoriciens l’ont notamment améliorée dans les années 1910/1920 : Alfred MARSHALL (Cambridge) et BOHM-BAWERK ; Cette théorie NC, après la deuxième Guerre Mondiale a perdu de son influence au profit de la théorie

politiques. Rien n’arrive jamais pour la première fois. Définition de la science du point de vue des sciences sociales. Parallèle avec les sciences dures. Les généralisations sont essentielles, quand elles deviennent solides on peut les appeler « théories ». La science politique est une accumulation de connaissances. La science politique a des similitudes avec les sciences dures. Les chercheurs essayent d’étudier les choses telles qu’elles sont. Mais on a tendance à voir les choses telles qu’on voudrait

comportement. Théories des besoins, mobiles, valeurs : = Ce qui pousse les individus à travailler ? -Théorie des besoins Maslow, 1954 - Théorie bifactorielle de Herzberg, 1959. - Caractéristiques de la tâche de Hackman et Oldham 1976. - Motivation intrinsèque et évaluation cognitive de Deci, Ryan, 1965. Théories du choix cognitif : = Comment les individus sont-ils motivés pour travailler ? - Modèle VIE de Vroom, 1964. - Théorie de l'équité de Adams, 1965. Théories de l'autorégulation

La théorie des renversements psychologiques : présentation et brève revue des travaux Eric Loonis, Lydia Fernandez Loonis, E., Fernandez, L. (2004). La théorie des renversements psychologiques : présentation et brève revue des travaux. E-Journal of Hedonology, 006, 65-83. Résumé – Ces dernières années, un intérêt grandissant est apparu pour la théorie des renversements psychologiques de M. J. Apter. Cet intérêt, les récentes publications scientifiques en français et le grand potentiel de recherches

La théorie de l'attachement La théorie de l'attachement est un champ de la psychologie qui traite des relations entre êtres humains. Son principe de base est qu'un jeune enfant a besoin, pour connaître un développement social et émotionnel normal, de développer une relation d'attachement avec au moins une personne qui prend soin de lui de façon cohérente et continue (« caregiver »[1]). Cette théorie a été formalisée par le psychiatre et psychanalyste John Bowlby après les travaux de Winnicott

suivant le contexte de choix 1.3. La finalité des décisions 2. Les théories de la décision 2.1. La théorie du décideur rationnel 2.2. La théorie du décideur à rationalité limitée (ou processus psychologique) 2.3. La théorie du décideur politique (ou le processus politique) 2.4. Le cadre actuel de la formalisation de la décision 3. Le processus décisionnel 3.1. Les premières formalisations du processus décisionnel 3.1.1. Le modèle IMC 3.1.2. Une décomposition plus fine du processus décisionnel 3.1

PRENANTES DE L’ENTREPRISE Problématique : Le management doit-il tenir compte seulement de l’intérêt des actionnaires (stockholders) ou de l’ensemble des parties prenantes (stakeholders) ? • Pour F. Lépineux (2003), c’est à partir d’affaires que la théorie des parties prenantes s’est construite. En 1967, aux Etats-Unis, des groupes communautaires s’invitent à l’assemblée générale des actionnaires d’Eastman Kodak sur fonds de tensions raciales et de chômage massif de la population noire de la région

Cours de théorie des cycles Introduction : La récurrence des crises économiques au XIXème siècle a depuis longtemps retenu l’attention des économistes. L’irrégularité de la conjoncture, l’alternance de mouvements à la hausse ou à la baisse des différentes variables (activité, emploi, profit, prix…) ont conduit les économistes à emprunter aux sciences exactes certaines expressions. On trouve ainsi fréquemment le terme de « cycle » pour désigner des mouvements se reproduisant avec une

et ses théories. 1 – La hiérarchie de Maslow (1954). Hypothèses du modèle : -Chaque besoin est motivant jusqu’à sa satisfaction. -La hiérarchie est rigide -> le besoin inférieur doit d’abord être réalisé pour accéder au besoin supérieur. Besoins inférieurs : physiologiques, sécurité. Besoins supérieurs : appartenance, estime, Bonheur. Limites du modèle : -Critique de la hiérarchie stricte -Critique du principe universel du modèle (= les hommes sont différents) 2 – La théorie bi-factorielle

Auteur de la fiche lecture : Sylvie Chollot Etablissement : lycée Mounier Grenoble Académie : Grenoble Relecteur(s) : Maguy PEREA Mots-clés : sciences de l’organisation, théories et modèles, stratégie, outils de management, individu et groupe, culture et identité. Date de publication sur le site : Date de révision : 04 mars 2004 LES ORGANISATIONS, état des savoirs 1999 412 pages ouvrage collectif éditions sciences humaines 23 euros consultation du sommaire et commande possible