Thomas Hobbes Léviathan Résumé

ne paraît pas justifié. Les idées doivent nous ramener au sol ferme de la réalité constatable des faits, non nous élever dans un ciel d’imagination et de raisonnement abstraits. « Ce qui manque à l’esprit, ce n’est pas des ailes, c’est du plomb » résume fort bien le philosophe Francis Bacon dans son Novum Organum (1620) à l’heure où les sciences que nous connaissons s’apprêtent à voir le jour. Les faits semblent donc avoir une vertu curative contre la tendance de notre esprit à fuir la réalité

prince est une obligation absolue. D'autre auteur comme Thomas More pense que le pouvoir politique peut être commandé contre Dieu, s'opposer à lui. En ce qui concerne la forme de gouvernement, l'Église s'est longtemps montrer favorable à la monarchie, mais la majorité des théologiens va rester fidèle aux positions plus souples qui ont été arrêtées au Vème siècle par St Augustin, et ces positions vont être reprise au XIII siècle par St Thomas Taquin : si le pouvoir politique vient de Dieu, celui-ci

l’approche réaliste des Relations Internationales. Dans leurs différents travaux, HOBBES [Léviathan], J. MORGENTHAU, MACHIAVEL [Le Prince], Raymond ARON [Paix et guerre entre les nations] ont tous privilégié le rôle des Etats, le caractère conflictuel des Relations Internationales tout en occultant, par là même, les phénomènes de coopération et le corpus normatif des Relations Internationales. Dans ses écrits, Thomas HOBBES a développé le concept de l’ « état de nature » qu’il considère comme élément

période où dans les universités européennes (lieux d’enseignement placés sous la tutelle de l’Eglise) c’est quand on va relire et redécouvrir Aristote. L’effort de réconciliation entre travail réalisé par Aristote et la parole révélée => Saint-Thomas d’Aquin. Sur le plan culturel, il faut noter qu’il n’y a de vie intellectuelle possible que dans l’Eglise. Cela a pour conséquence, qu’il n’y aura de possibilité de se former aux lettres et aux enseignements qu’en se faisant soi-même religieux. Les

de la volonté des colonies américaines de s’affranchir de la domination britannique, la guerre de l’Indépendance américaine est à l’origine de la création des États-Unis d’Amérique. S’appuyant sur la déclaration d’Indépendance de 1776, rédigée par Thomas Jefferson, la Constitution de 1787, conciliant avec souplesse désir d’autonomie des États et nécessité d’un certain centralisme fédérateur, définit les contours d’une démocratie représentative soucieuse de la garantie des libertés individuelles.

prince est une obligation absolue. D'autre auteur comme Thomas More pense que le pouvoir politique peut être commandé contre Dieu, s'opposer à lui. En ce qui concerne la forme de gouvernement, l'Église s'est longtemps montrer favorable à la monarchie, mais la majorité des théologiens va rester fidèle aux positions plus souples qui ont été arrêtées au Vème siècle par St Augustin, et ces positions vont être reprise au XIII siècle par St Thomas Taquin : si le pouvoir politique vient de Dieu, celui ci

de celle du régime en place et, qui par conséquent, manifeste le désir de le renverser et mettre en place un régime acquis a cette idéologie ou une politique qui soit la leur. L’illustration la plus parfaite peut être trouvée chez le capitaine Thomas SANKARA qui a pris le pouvoir après le coup d’état du 4 aout 1983. Grâce a une vision claire d’une société juste, reformée et prospère, les dirigeants du Conseil National Révolutionnaire se sont attelés a de remarquables travaux visant à améliorer

juste négligence = pas de faute morale car pas d'intention mais faute commise donc faute juridique et non faute morale . L'Intention coupable est une faute morale mais pas une faute juridique car pas extérioriser dans l'action . Mais tout ne se résume pas par la faute , ce critère n'est pas toujours applicable car pas toujours fiable car en Droit on réserve parfois un régime spécifique à une faute non intentionnelle . Le droit sait bien distinguer entre faute intentionnelle ou non = plus sévèrement

terre et donc de l'obéissance des sujet un principe absolu. D'autres auteurs tels Thomas More pensent que le pouvoir peut commander contre Dieu. En ce qui concerne la forme de gouvernement l'Église s'est longtemps montrée favorable à la monarchie mais la grande majorité des théologiens (penseurs catholiques) restent fidèles aux positions plus souples qui seront arêtes par St Augustin reprises par St Thomas d'Aquin au XIIème : si le pouvoir vient de Dieu, celui – ci laisse aux hommes le soin

équivaut à la sienne propre. Kant définit le respect comme le sentiment par lequel nous prenons conscience de la loi morale en nous. Pour Hobbes, j’ai besoin d’autrui parce qu’il est dans la nature humaine de désirer qu’autrui admette ma supériorité. La nature humaine révèle donc un désir de pouvoir sur autrui. Hegel juge cette thèse insuffisante, car Hobbes suppose une nature humaine antérieure à la rencontre d’autrui. Mais selon Hegel, je ne suis homme que si l’on m’accorde ce statut. Le