Travaux De Cyert Et March

raisonnement constructif. L’analyse du commandement et du leadership dans l’organisation La dynamique de groupe et le commandement Kurt LEWIN Allemagne 1890 Etats Unis 1947 Trois styles de leadership : - Leader autoritaire qui dirige les travaux par ordre. - Leader démocratique qui émet des suggestions et participe à la vie du groupe. - Leader « laissez-faire » qui ne participe qu’au strict minimum aux activités et qui ne lie aucune relation affective avec le groupe. Le style démocratique

contractuelle (Coase-Williamson-la théorie des droits de propriété-la théorie de l’agence-la théorie des parties prenantes). 5.3 L’approche managériale de l’entreprise : Berle, Means, Galbraith .VI. Les approches cognitives de l’organisation 6.1 Cyert et March : la mémoire organisationnelle 6.2 Argyris , Schön et Nonaka : apprentissage organisationnel 6.3 L’école évolutionniste 6.4 Hamel et Prahalad : les compétences clefs comme source de compétitivité stratégique G.Lécrivain – Managmarket.com

existe différentes possibilités de l’accomplir. À partir de ce constat, et même si le cadre institutionnel et réglementaire attribue des rôles étendus au conseil d’administration, dans la réalité des entreprises, la coalition dominante au sens de Cyert & March (1963) peut décider de lui substituer d’autres mécanismes ou d’autres ressources et ainsi définir un cadre d’intervention plus ou moins étendu. La question de l’activation et ses déterminants semble ainsi émerger distinctement. L’objectif de ce

s’opposer aux décisions des dirigeants qui ne sont pas conformes à leurs intérêts (pour éviter que les clients et les ONG exercent un contre-pouvoir, Carrefour a décidé de ne pas vendre de produits contenant des OGM). Dans les années 1960, R.M. Cyert et J.M. March étudient le fonctionnement de l’entreprise et montrent qu’elle constitue une coalition politique. Elle réunit des « groupes de participants aux demandes disparates », ayant par conséquent des objectifs propres même s’ils ont tous un intérêt

(gérer les stocks, les budgets, les plannings de production)  Les décisions tactiques, de gestion des ressources (choix d’investissement, de MP, de personnel)  Les décisions stratégiques, de relation de l’entreprise avec son environnement (choix de marchés, de produits à commercialiser, lutte concurrentielle) Miles et Snow précisent ce qu’on entend par décision stratégique : Typologie de Miles et Snow (1978)  Les décisions entrepreneuriales, définissent ou réorientent les Domaines d'Activité Stratégiques

Animé de cet esprit, l’entrepreneur va chercher de nouvelles opportunités sur le marché et va prendre des risques pour les saisir. Notre compréhension de l’entrepreneur doit beaucoup aux travaux de J.SCHUMPETER : l’entrepreneur est au centre du développement économique car il est celui qui prend des risques pour innover donc pour créer de nouvelles opportunités sur le marché, les innovations déstabilisent le marché et engendre une destruction-créatrice qui selon J.SCHUMPETER est à l’origine du dynamisme

s’opposer aux décisions des dirigeants qui ne sont pas conformes à leurs intérêts (pour éviter que les clients et les ONG exercent un contre-pouvoir, Carrefour a décidé de ne pas vendre de produits contenant des OGM). Dans les années 1960, R.M. Cyert et J.M. March étudient le fonctionnement de l’entreprise et montrent qu’elle constitue une coalition politique. Elle réunit des « groupes de participants aux demandes disparates », ayant par conséquent des objectifs propres même s’ils ont tous un intérêt

est selon les branches peut être raccrochée à la microéconomie. Elle s’est développée depuis le milieu du 20eme siècle (travaux école de Harward). Au début du 19ème siècle la première chaire industrielle (le CNAM) a été créée par Jean Baptiste SAY. Economie sociale et solidaire : 10% des emplois en France une vocation sociale avant une vocation économique. Une chaire : travaux particulier universitaire, principalement, pour sensibiliser avec des colloques sur des problématiques et des hypothèses

s’opposer aux décisions des dirigeants qui ne sont pas conformes à leurs intérêts (pour éviter que les clients et les ONG exercent un contre-pouvoir, Carrefour a décidé de ne pas vendre de produits contenant des OGM). Dans les années 1960, R.M. Cyert et J.M. March étudient le fonctionnement de l’entreprise et montrent qu’elle constitue une coalition politique. Elle réunit des « groupes de participants aux demandes disparates », ayant par conséquent des objectifs propres même s’ils ont tous un intérêt

décisions. * Elle a pour objet d’influencer le comportement des membres de l’organisation pour que ceux-ci agissent conformément aux objectifs retenus. * Elle est un facteur de production car elle est pour créer et mettre sur le marché des produits de plus fortes valeurs ajoutées, les entreprises à fortes valeurs ajoutées sont de plus en plus équipées en moyens d’accès à l’information et en moyens de traitement de l’information. Section 2 : système d’information 1. Définition