Typologie Sainsaulieu Entreprise

(simple repère de comparaison, i.e. ils sont différents de moi). Comme groupe actif (source de conduite et de jugement i.e. ils me donnent envie de faire comme eux). 1.2. les cultures de groupe selon Sainsaulieu Avec "Les relations de travail à l'usine" puis "L'identité au travail", Renaud Sainsaulieu se concentre sur l'analyse de la dimension culturelle du travail. Il isole des modèles culturels dépendant des modalités d'expérience du pouvoir par le travail. 1.3. L'organisation interne des groupes

Régis PROVOST Sommaire I. Les grandes théories 1.1. L’Ecole Classique 1.2. L’Ecole des Relations Humaines 1.3. L’Ecole de la contingence structurelle 1.4. Sociologie des organisations 1.5. Les théories managériales II. Les différentes typologies de structures III. Les nouvelles pratiques organisationnelles RESPONSABLE LOGISTIQUE Régis PROVOST De quoi parlons-nous ? L’ENTREPRISE … Adam SMITH Économiste libéral et philosophe anglais, 1723-1790 Groupe de personnes qui, au départ

d’appartenance commune Famille Autres communautés affectives volontaire Intérêts spécifiques Foi dans les valeurs Conventions Droit Légale-rationnelle Compromis ou coordination d’intérêts motivés rationnellement Nation Institutions Associations Entreprise Cette distinction de Weber se rapproche de la pensée de Tönnies (1887), qui développe une opposition radicale entre la « communauté » et la « société ». Selon ce dernier, c’est la communauté qui offre à l’individu les points de repères dont il

Gestion carrières AttijariWafa Bank pour ses orientations et son soutien, M Nourrdinne, CHERKAOUI Nourrdinne professeur universitaire pour son aide précieuse pour la réalisation de l’enquête sur la conduite de changement au Maroc,toutes les entreprises qui ont eu la gentillesse de répondre au questionnaire, Maria ma femme & Kenza ma fille d’avoir supportées mon absence durant les week-end, mes amis Kaoutar, Aicha, Souad, Mouna, Younes et Badre Abdelkader, Badre ainsi que mes collègues Samira,

nouvelle, il apparaît qu’au niveau de la littérature de gestion, il n’est devenu un sujet de débats théoriques que tardivement. Précisément à l’occasion du questionnement de la place que la GRH devait avoir dans le devenir ou dans le développement des entreprises. Souvent cantonnée à un rôle d’accompagnatrice des transformations au sein de l’organisation, la GRH s’est peu à peu structurée dans une perspective de gestion des connaissances et des compétences. Dans ce contexte, notre communication s’attache

instable, on passe d’une société de production à une société de consommation. Il y a concurrence entre les entreprises, il faut être meilleur que les autres. Il faut que les machines, mais également le personnel soit plus performant que celui des autres. Les enjeux actuels des RH * Transformation des emplois. A l’heure actuelle on parle d’entreprise post-taylorienne. Dans une entreprise taylorienne l’ouvrier faisait parti d’une longue chaine de production, avec toujours la même tâche à effectuer

TABLE DES ILLUSTRATIONS ............................................................................................................................................. 21 PAGE 2 INTRODUCTION INTRODUCTION Lors d’un stage effectué dans une entreprise de vente de copieurs, des problèmes ont été mis en évidence. En effet, dans cette société il s’avérait que les employés ne se sentaient pas partie intégrante de l’entreprise. Il en résultait donc des tensions, un nombre de départs conséquent, et

d’autonomie, système de communication et système de contribution. b. Différents types d’organisations ✓ Les entreprises Ce sont des organisations économiques qui produisent et distribuent des biens et services destinés à être vendus sur des marchés. Elles cherchent à maximiser leurs profits. Les entreprises publiques sont des entreprises dont le capital est majoritairement détenu pas l’Etat. ✓ Les associations Les associations à but non lucratif sont des

afin de développer l’esprit de compétition entre les acteurs. Afin de découvrir la façon dont l’organisation motive ses membres et infirmer Clegg pour qui il existe des inégalités structurelles au sein de l’organisation, on pourra donc établir une typologie des pouvoirs en fonction des différents types de sources d’incertitudes, à savoir : - la maîtrise d’une compétence particulière, - la relation de l’organisation à son environnement pour ses besoins en ressources ou pour vendre, - la maîtrise de

les individus isolés et permettant, de ce fait, la constitution d’une société civile autonome, soit, dans une perspective économique, comme une multiplicité d’organismes prenant en charge les activités pour lesquelles ni le secteur public ni les entreprises privées ne s’avèrent adaptées [Enjolras 1994]. Il a donc toujours été appréhendé en relation et en référence à d’autres institutions, et non comme une entité particulière disposant d’une logique propre et autonome. Cette tendance se reflète également