Universalisme Socrate

remettre en question tout ce qui se donne comme évident, comme allant de soi : il s'agit là tout d'abord d'une attitude critique qui n'a pas de motifs ni d'enjeux préalablement définis. Et tel est donc l'énigme qui anime la philosophie : ironie (Socrate), suspension de l'opinion (Platon), étonnement (Aristote), chemin du doute (Descartes), autant d'expériences qui renvoient à l'épreuve d'une crise de sens par laquelle ce qui paraît "naturel", dans notre façon de voir et d'agir, se fait problématique

ces instants avec une personne de ton choix et ils deviendront encore plus précieux. Pére Guy Gilbert " réussis ta vie " ! ( Conseils pour tous les âges du jeune au dinosaure ) Les trois tamis   Un jour quelqu'un vient voir Socrate et lui dit: - Ecoute Socrate, il faut que je te raconte comment ton ami s'est conduit. - Arrête! interrompit l'home sage. As-tu passé ce que tu as à me dire à travers les trois tamis? - Trois tamis ? dit l'autre, rempli d'étonnement.   - Oui mon bon ami: trois

ne se réfère qu’à la Nature, et ce qui est selon la Loi, Platon la manifeste déjà dans le Gorgias, où l’on entend par la voix de Calliclès un éloge effréné de la force et l’exposé d’une morale individualiste visant le seul plaisir, devant lesquels Socrate demeure mesuré et maître de lui. Et ce sont bien deux morales et plus profondément deux politiques et même deux conceptions de la vie qui s’affrontent ici dans ce dialogue. Aussi étudierons-nous la morale que Calliclès propose, sa critique de la modération

autres nous n’arriverions pas à accepter la nudité humaine. Nous pouvons aussi comprendre si la communication avec autrui est nécessaire à la construction de sa conscience à travers la démarche de la maïeutique socratique. Socrate ne sait rien et il le sait, là est la sagesse de Socrate, il soumet les autres et lui-même à un examen. Il n’enseigne pas à proprement parler. Cela aura lieu dans le dialogue, c'est-à-dire qu’il montre qu’en dialoguant on ne cherche pas à échanger nos idées mais cherche à les

L’héritage des Grecs 1.1 L’héritage philosophique C’est dans l’empire Grec qu’apparait la notion de raison. Les premiers penseurs apparaissent entre le VIème et le IVème siècle avant JC (Démocrite, Héraclite, Parménide). Puis Aristote, Socrate et Platon révolutionne le système philosophique en imposant une justification et une démonstration a toutes pensées. C’est ce qui les différencies principalement des philosophe évoqués précédemment. Aristote invente la logique. La logique : Etre

L’art de discuter Faites la lecture du passage suivant : Extrait du Gorgias de Platon, 457c à 458b. Socrate : J’imagine, Gorgias, que tu as, comme moi, assisté à bien des discussions et que tu y as remarqué une chose, c’est que les interlocuteurs ont bien de la peine à définir entre eux le sujet qu’ils entreprennent de discuter et à terminer l’entretien après s’être instruits et avoir instruit les autres. Sont-ils en désaccord sur un point et l’un prétend-il que l’autre parle avec

Enfin, 3ème, il s’agit de s’interroger sur la possibilité de s’en passer, quand on recherche ce qui est vrai. Nota : Il est bien évident qu’on ne connaît pas le vrai puisqu’on le cherche. Et quand on l’a, on n’a pas à le chercher. Dans le Ménon, Socrate montre qu’il faut partir d’une pré-compréhension de la vérité, d’un moyen terme au lieu d’opposer, comme les Sophistes, 2 termes : savoir & ignorer. Il n’y a rien de plus simple que « le vrai » au sens courant. Chacun a pu éprouver aussi, bien des

jugements de chaque personne devraient être acceptés, admis? Tout d’abord, dire que toutes les opinions se valent revient à dire que les concepts n’ont pas vraiment de définition absolue puisque chacun peut avoir sa propre définition sur ceux-ci. Socrate, un grand philosophe, affirmait que pour pouvoir établir un jugement, il faut connaitre la notion exacte de chaque principe qui entre en jeux. Si nous ne la connaissons pas, nous ne pourrions rien décider. En fait, selon lui, ce qui est bien dans

enseignait. Il y eu beaucoup de métaphores sur le chien, c’est pour cela qu’il est très difficile de donner son origine historique. La plus significative est celle présentant l'animal comme modèle. Platon trouvais que Diogène de Sinope était comme un Socrate devenu fou qui voulait supprimer tout forme de conformisme ou modèle morale . Sa philosophie transgresse les fondements de la culture par des actes très provocant, comme par exemple uriner et aboyer comme un chien ou de se masturber en public ; il

les actions et entreprises humaines : « Rien de grand ne s’est accompli dans le monde sans passion » (Hegel). Et pour le pire, car le désir loin de s’éteindre lorsqu’il atteint son objet, s’aiguise et se reporte sur un autre objet. C’est pourquoi Socrate compare dans le Gorgias l’homme aux Danaïdes, condamnées à remplir un tonneau percé jusqu’à la fin des temps. Désir et reconnaissance Le désir peut être considéré comme l’essence de l’homme en tant que puissance d’affirmation et de création (Spinoza