Volontarisme Managériale

existe plusieurs capitalismes et à les comprendre. ✓ Typologie d’Alfred CHANDLER avec la main invisible. Il publie un ouvrage dans lequel il oppose 2 types de capitalismes : - le capitalisme managérial de concurrence (Etats-Unis d'Amérique, Royaume-Uni) - le capitalisme managérial coopératif (Allemagne de l’Ouest) Son critère est basé sur le mode de gestion des firmes. Exemple : la répartition de la propriété dans la firme … ✓ Typologie de Michel ALBERT qui publie « Capitalisme

(Université Paris 9 - Dauphine et directeur du Cerso), Thierry Montfort (cabinet conseil Équidistance, président du CA d’Aravis). CÔTÉ ENTREPRISES (P. 07-12) Industrie Manager les managers Énergie Les centres d’appel d’EDF sur une nouvelle ligne managériale BTP Sur la bonne voie avec GPS Pays anglo-saxons Le poids de la balance Bimestriel du réseau Anact pour l’amélioration des conditions de travail TRAVAIL ET CHANGEMENT N°320 juillet/août 2008 ENJEUX Manager les conditions

agora21.org) qui distingue 4 principales approches de régulation : approche régalienne (réglementation) approche économique (taxation – ex. de la TGAP en France-, principe pollueur payeur…) approche contractuelle (labels, certification…) approche managériale. Les deux premières approches sont des politiques directives, s’appuyant sur la contrainte. Les deux dernières sont plutôt basées sur la « responsabilisation » des entreprises, à travers l’incitation aux démarches volontaires dans un cadre de

La question du lobbying dans la gouvernance internationale Gouvernance internationale En dépit de son apparent néologisme, il date en réalité du 13e siècle, et a été réactivé dans les années 70 par les spécialistes des sciences managériales en particulier des entreprises. Une définition possible est celle qu’en donne Pascal Lamy qui y voit : > Son irruption dans le champ conceptuel du développement remonte approximativement à la fin des années 80, moment auquel la Banque mondiale le mobilise

particulière au statut, ces évolutions ont pu se traduire par un malaise profond du management intermédiaire. Pour autant, l’utopie de l’organisation transparente et de l’autonomie totale des équipes trouve aujourd’hui ses limites. Pour échapper au pur volontarisme, l’impulsion lancée par les directions d’entreprises doit pouvoir s’appuyer sur un relais non seulement efficace et impliqué, mais également sensible à la dimension humaine et aux attentes du corps social. Dans ce cadre, le management intermédiaire

n Méthodologie n Refléter la diversité des origines dans nos équipes n Favoriser la mixité au sein de nos équipes n Favoriser l’emploi des personnes handicapées n Dynamiser l’emploi des seniors et valoriser l’expérience n Développer une culture managériale inclusive, respectueuse de tous n Favoriser l’émergence d’un écosystème diversités n Déployer et évaluer la politique diversités n Résultats par levier d’action n Conclusion La dIverSIté : une vaLeur fondatrIce de L’oréaL La diversité se situe

relativement récent, il suscite de plus en plus de travaux de recherche. Ben Boubaker-Ghérib et Berger-Douce (2008) ont montré que l’engagement environnemental des PME tunisiennes est plus porté par le volontarisme que par l’intégration dans le cadre d’une stratégie de l’entreprise. « Le degré de volontarisme est appréhendé par la pro activité de l’entreprise en matière de recherche d’informations concernant la problématique environnementale ainsi que l’origine de la démarche environnementale (crise, opportunité

l’autre. On crée ainsi des organisations bicéphales dans lesquelles les visions de la réalité des marchés à long terme et le management des hommes sont en quelque sorte coupés de la réalité. Car avant d’espérer mettre en place des « solutions » managériales, il s’agit de comprendre et d’articuler des logiques différentes, voire contradictoires : celle de l’économie mondiale, celle del’entreprise proprement dite, et celle de l’homme qui « fait » l’entreprise.  L’entreprise d’aujourd’hui cherche

soit l’un soit l’autre mais chacun à un peu des deux en soit. C’est le principe du Ying et du Yang. La réalité extérieure et donc soit même sont des entités en permanence en changement. Culture du changement, du processus. Ceci a des conséquences managériales. Il y a une dichotomie essentielle entre l’Asie et l’occident : Asie : réel en mouvement, Occident : pensée en statique. François Julien est un auteur philosophe qui compare les deux civilisations occidentales et orientales. L’occident

culturels considérés comme liés aux classes dominantes reproduisant le schéma d’inégalités sociales (1). Dans les années 80 avec la montée du néo-libéralisme, les politiques d’austérité, et une véritable crise idéologique, va se naître une pensée managériale où la culture va devenir un bien de consommation entrant en tension avec la volonté de 2 poursuivre et de développer les ambitions culturelles héritées de la période précédente (1). Nous entrons alors dans une sphère de capitalisme culturel