5 Forces Mintzberg

réponse aux opportunités et aux menaces de l’environnement d’une part et aux forces et aux faiblesses internes d’autre part afin de construire et de défendre des avantages concurrentiels. La stratégie est un modèle d’allocation de ressources qui permet aux firmes de maintenir ou améliorer leurs performances.une bonne stratégie est une stratégie qui neutraliser les menaces et exploite les opportunités tout en capitalisant les forces et évitant de cristalliser les faiblesses. Le management stratégique est

contre-pouvoirs (R.M. Cyert et J.G. March, M. Crozier).  Définir une démarche stratégique La notion de stratégie revêt différentes facettes comme le montre la distinction effectuée entre les notions de stratégie délibérée et de stratégie émergente (H. Mintzberg). La démarche stratégique s’appuie généralement sur celle mise en évidence par l’école de Harvard (modèle LCAG : Learned, Christensen, Andrews, Guth). L’étude de cette démarche stratégique, à partir d’exemples concrets, doit insister sur la définition

intégrer les hommes dans la société ; développer la solidarité entre les personnes ; créer des emplois et former ; faire preuve de responsabilité écologique et tendre vers le développement durable ; Mouly intervenant en management des entreprises 5  adopter un comportement éthique dans les relations internes et externes. La RSE permet de :  favoriser la croissance ;  répondre aux attentes des parties prenantes ;  mettre en valeur l’image de marque de l’entreprise ;  améliorer les

individus, des groupes, et des structures sur le comportement des acteurs d’une organisation, en vue d’améliorer son efficacité » Autre définition : « la description et l’explication des comportements individuels et de groupes dans les organisations » SLIDE 5 Schéma a voir. Adopter une certaine posture dans ce cours : de l’intuition à l’étude rationnelle. Intuition : sentiments instinctif qui ne s’appuie pas nécessairement sur une étude scientifique. (Nous sommes tous des psychologues naïfs ; nous recherchons

l’entreprise : c'est-a-dire, ce qu'elle sait faire, mieux. Que tout autre. Cette vocation n'est pas toujours bien révélée, et il faut même quelque fois engager un grand effort d'identification pour la redécouvrir. * L’ambition du dirigeant ; * Les forces et les faiblesses de l'entreprise. 2-2- Les facteurs déterminants externes, FDE Cela englobe l’environnement de l’entreprise, avec le spectre de toutes ses composantes ; à savoir : * Le social ; * le politique ; * L’économique

factors affecting the choice of corporate or competitive strategy, there are some fundamental questions to be asked and answered (Who are we ? What do we do ? What kind of firm are we ? …) Many definitions of strategy (Thiétart, Gervais, Porter, Mintzberg…) 5 1. What is the strategy ? Porter (1982) : « La stratégie, face à la concurrence, est une combinaison des objectifs que s’efforce d’atteindre la firme et les moyens par lesquels elle cherche à les atteindre » Strategor (2005) : « élaborer

destinée à toute sorte de public. L'ouvrage se découpe donc en trois parties bien distinctes : ● ● Dans le premier chapitre sont exposées les approches classiques en sociologie des organisations, c'est à dire l'approche de la contingence (Mintzberg, 1981), l'analyse stratégique (Crozier et Friedberg, 1976), la théorie de la régulation (Reynaud, 1986) et les approches axées sur les dimensions identitaires et culturelles appliquées aux organisations. Dans les deux chapitres suivants sont exposées

A) FAYOL (1841-1925) étude de la fonction administrative Le manager exerce un « commandement » qui possède 5 fonctions clés : (période de la création de l'OST)(façon rationnelle de diriger) _ prévoir et planifier _ organiser _ commander _ coordonner _ contrôler Chez Fayol la notion de hiérarchie est forte > le chef commande. B) Les rôles selon henry Mintzberg (1939- ) Rôles de contact (interpersonnel) Rôles d'information Rôles de décisions Symbole (extérieur de

pouvoir du dirigeant est lié à des qualités personnelles de leader qui lui permettent de susciter l’adhésion volontaire de ses salariés ; on parle alors d’autorité naturelle, voire de charisme. Le pouvoir est la capacité d’imposer sa volonté, de forcer l’obéissance ou de faire prévaloir son opinion au sein d’une organisation. L’exercice du pouvoir n’implique pas obligatoirement l’adhésion des individus concernés et peut nécessiter le recours à des moyens coercitifs ; sanctions, menaces de sanction

ressources humaines, par la motivation et la satisfaction du personnel, par la recherche d’un consensus donc déterminer les objectifs est moins évidents parce que les choix ne sont pas mécaniques ou rationnels, ils sont dictés par des rapports de forces, des coalitions sociales, des coutumes …  Le rôle du management aujourd’hui est d’intégrer l’approche rationnelle et sociale dans la gestion quotidienne. Avant les années 60, les théoriciens du management n’étaient pas préoccupés par le marché