La Perfectibilite

nature, l’Homme est-il meilleur qu’à son état de société? En se perfectibilisant, l’Homme devient-il davantage libre? Tout d’abord, présentons la conception philosophique de l’Homme de Rousseau. Ce dernier énonça la théorie de liberté et de perfectibilité. Il avait une conception de l’Homme au commencement de l’Humanité, c’es-à-dire à l’état naturel, originel. À cet état, l’Homme était libre, perfectible, seul et doté d’amour de soi et de pitié. Il affirme ainsi que l’Homme est libre positivement

que finalement, l’Homme civilisé n’est pas si bien et si heureux qu’il le prétend. Les inégalités du point de vue moral sont pratiquement inexistantes chez l’Homme naturel. En effet, ce dernier ne possède que de belles qualités telles que la perfectibilité et la liberté. L’Homme dans la nature est complètement libre puisque ça lui permet de survivre. Mais l’Homme civilisé, est-il réellement libre? Distinctivement de l’animal, qui agit par instinct, l’Homme agit par acte de liberté. Par exemple,

progrès La foi des Lumières dans le progrès La base = l’Encyclopédie  mise en avant de toutes les sciences, bilan des connaissances dans tous les domaines scientifiques Mise en place de la perfectibilité de l’être humain donc recherche, mise à plat de toutes les découvertes et RI qui concrétise cette perfectibilité à un niveau collectif Le 20e s apporte danger  toutes les découvertes scientifiques du 20e s apporte une solution et un procédé mortifère. Ex : le vaccin de Pasteur : ce qu’il y a de négatif

développant la pensée Hobbienne, Rousseau définit un état de nature, le contrat social et l'État n de droit. Il estime que les hommes, tel qu'il vivent actuellement, ne savent plus ce qu'est la justice. qu'ils L'histoire, la "culture" (idée de perfecti perfectibilité) ont modifié l'homme à tel point qu'on ne sait ce qu'est el la nature humaine. Œuvres principales : Rousseau est un être pétri de contradictions, apparentes ou non. Solitaire, il écrit le Contrat social. e Ayant abandonné ses propres enfants,

être si égoïste peut-il sous l’impulsion de ses pires penchants concourir à son insu à des finalités morales et nécessaires ? On peut répondre, d’une part, par ce que l’on pourrait appeler une forme d’harmonie des hostilités, la dynamique d’une perfectibilité gagnant peu à peu une cohérence dans la multiplication même des conflits nés de la volonté de surclasser et dominer son prochain. Les volontés se neutralisent de la même façon que chaque arbre animé de sa propre force de croissance ne tend qu’à

véritable nature d’être contingent et historique : A. La culture est possible comme processus de formation de l’homme du fait qu’il est perfectible : a) la perfectibilité, condition de la réalisation continue de la nature de l’homme : Rousseau, dans le Discours sur l’origine…, distingue l’homme de l’animal à travers le concept de perfectibilité, « faculté qui, à l’aide des circonstances, développe successivement toutes les autres, et réside parmi nous tant dans l’espèce que dans l’individu, au lieu

L’animal est, bout de quelques mois, ce qu’il sera toute sa vie, et son espèce au bout de mille ans, ce qu’elle était la première année de ces mille ans » ligne 8-10, ce sont les mots utilisés par ROUSSEAU concernant les animaux. Illustrons la perfectibilité de l’homme tout d’abord avec l’évolution de son espèce. Revenons à l’antécédant de l’homme, l’australopithèque. Il est apparu pour la première fois sur le continent africain il y a 5 millions d’années. De l’australopithèque descendent lucy

ne parle pas, ne connaît pas la technique, etc. Bref, il n’est qu’un « animal stupide et borné ». Il ne se distingue des animaux que par la liberté de sa volonté (le libre-arbitre, qui s’oppose à l’instinct des animaux) et par la perfectibilité. 3) La perfectibilité Quand les difficultés qui environnent ces questions laisseraient lieu de disputer sur cette différence de l’homme et de l’animal, il y a une qualité très spécifique qui les distingue, et sur laquelle il ne peut y avoir de contestation

l' éducation dit se placer. Pour résumer la modernité est un conflit qui met la culture en crise permanente. L'éducation devient une nécessité mais en même temps elle est perçu comme un problème car se pose le problème de finalité. La perfectibilité humaine c'est la capacité de se perfectionner, de s'améliorer. C'est un principe qui va caractériser l'humanité, montré à travers les idées de Kant, Rousseau et Condorcet. Nature et liberté selon Rousseau. Rousseau (1712-1778) :

propriété privée. Elle a donc fait croire a homme qu’il avait davantage de droits que d’autres hommes. Selon lui, la notion de perfectibilité permet à l’être humain de se reprendre en main et de changer pour le meilleur ou pour le pire, contrairement aux animaux qui eux resteront toujours des bêtes. Selon Rousseau, la socité et la vie civilisée par le concept de perfectibilité mène a un idéale sociale ou les citoyens vivre libres et égaux. Le deuxième auteur, Friedrich Nietzsche, base sa pensée sur