La Perfectibilite

permettrait aussi le développement de facultés proprement humaines, telles la raison, la logique ou l’intelligence, qui ne se seraient pas développées sans la faculté de perfectibilité de l’homme. En effet, l’homme va naturellement chercher à se perfectionner, à développer ses capacités et à transformer son environnement. Sans cette perfectibilité l’homme ne serait il pas resté comme l’écrit Rousseau « un animal stupide et borné » ? Il est vrai que l’homme a conscience de ce qu’il a à perdre et à gagner

proche de l’animal. « Je vois un animal moins fort que les uns, moins agile que les autres, mais à tout prendre, organisé le plus avantageusement de tous » 64 65 Une différence de nature : l’homme peut devenir dépravé. Grâce à la liberté ou perfectibilité. 72, le seul à pouvoir devenir autre qu’il n’est, à être « capable d’une diversité prodigieuse d’éducations et de genre de vies » 90. C’est une définition qui met en évidence la notion de liberté autour de laquelle s’ordonne les rapports humains

nature - l’handicap de départ devient un aiguillon et même un avantage : si l’homme veut survivre , il doit se doter des armes que la nature ne lui a pas données. Mais , il y a alors la place pour une maturation. L’homme est doté de la faculté de perfectibilité ( n’étant rien de défini au départ, il peut tout être) alors que l’animal est prisonnier de ce qu’il est. : fixité de l’instinct). - chez l’homme, ce qui est naturel, donné à la naissance est de l’acquis. Le résultat d’un long processus de cérébralisation

naissance un instinct. (Canguilhem). Ceci a pour l’animal la conséquence d’être parfaitement aliéné aux conditions naturelles. Il n’y a pas de milieu naturel à l’homme : par son travail l’homme invente son propre milieu. Il est donc contraint à la perfectibilité, il est contraint à « s’inventer lui-même. » On peut aussi donner un sens moral à cette maxime. A la naissance nous ne sommes originellement rien : c’est après, après l’existence que nous allons devenir et ce que nous deviendrons aura des conséquences

fondé sur un semblant de quiproquo = très utilisé au théâtre la réaction de l'évêque
Il domine le dialogue, ment pour sauver Jean Valjean.
Personnage symbolique, la providence se manifeste en lui,il incarne la bonté, la générosité. Il croit en la perfectibilité  de l'homme et il peut être ainsi vu comme un double de Victor Hugo la réaction de Jean Valjean
il ne parle pas, mais beaucoup de termes qui renvoient à son expression, ce qui montre la gratitude de Jean Valjean et son étonnement. On a l'impression

conscience est la grandeur et la spécificité de l’Homme. » (Descartes) Le sujet est donc le fondement absolu de ses actes et pensées : conscience réfléchie => pensée => possibilité => volonté => choix => actes : libre arbitre, responsabilité, perfectibilité. Réalité --------- [Grille d’interprétation du réel] --------- Sujet. Expérience = contact direct avec la réalité. Problème : la conscience est-elle source d’illusions ? Kant : Noumène : chose en soi Phénomène : chose telle qu’elle

N'est-ce point qu'il retourne ainsi dans son état primitif, et que, tandis que la bête, qui n'a rien acquis et qui n'a rien non plus à perdre, reste toujours avec son instinct, l'homme reperdant par la vieillesse ou d'autres accidents tout ce que sa perfectibilité lui avait fait acquérir, retombe ainsi plus bas que la bête même ? Il serait triste pour nous d'être forcés de convenir, que cette faculté distinctive, et presque illimitée, est la source de tous les malheurs de l'homme ; que c'est elle qui le

amélioré l’audition, on prend des analgésiques pour nous soulager… Il dit donc qu’on doit continuer pour avoir des avantages. En ce qui concerne la méfiance pour le post-humanisme, depuis la renaissance ont développe Rousseau attention à la perfectibilité à notre vrai nature, mais cela n’a pas empêcher que cela à continuer. Descartes : l’humain doit prendre contrôle de sa nature 1. La nature est un instrument de la nature. ( Il y a l’humain et il y a la nature ; contrôlons la nature à notre

la grandeur et la spécificité de l’Homme. » (Descartes) Le sujet est donc le fondement absolu de ses actes et pensées : conscience réfléchie => pensée => possibilité => volonté => choix => actes : libre arbitre, responsabilité, perfectibilité. Réalité --------- [Grille d’interprétation du réel] --------- Sujet. Expérience = contact direct avec la réalité. Problème : la conscience est-elle source d’illusions ? Kant : Noumène : chose en soi Phénomène : chose telle qu’elle m’apparait

près toute seule. D’autre part, le philosophe Jean-Jacques Rousseau a pour conception de l’être humain qu’à l’état naturel, il ne connaît pas la distinction entre le bien et le mal, qu’il est doté d’une qualité qu’aucun animal ne possède : la perfectibilité. C’est une caractéristique essentielle de la nature de l’être humain liée au développement de sa liberté. Mais cette liberté sera perdue au contact de la société. En ce qui a trait aux ressemblances des deux conceptions, les deux philosophes