La Perfectibilite

(TLF) B. JACOMY, L'étage du plip, chronique de l'innovation technique, 2002 ECHENOZ, Des Éclairs, 2010 SCHÄFER, Robinson Crusoë, 1910 Disney, Fantasia, Extrait d'un film L'objet est le témoin de l'évolution. Signe d'intelligence et de perfectibilité (évoluer en positif) et notre soif d'évoluer. L'Homme montre sa volonté d'émancipation (domination) par l'intermédiaire de l'objet. L'objet est la marque d'une volonté de tout contrôler. Le TLF rappelle les formes infinies de l'objet et de l'importance

personnel au profit de l’ intérêt collectif. Rousseau développe cette idée dans le Contrat social (1762). Dans son Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes (1755), Rousseau distingue l’homme de l’animal par sa perfectibilité. L’homme est bon, c’est la société civile qui l’a corrompu ; il lui appartient donc de retrouver les lois naturelles. François-Marie Arouet dit Voltaire : né le 21 novembre 1694 à Paris, où il est mort le 30 mai 1778, est un écrivain et

(1748), que l’homme doit s’inspirer des lois naturelles insufflées par Dieu pour fonder la société civile. Dans son Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes (1755), Rousseau distingue l’homme de l’animal par sa perfectibilité. L’homme est bon, c’est la société civile qui l’a corrompu ; il lui appartient donc de retrouver les lois naturelles. 3 - La critique de la religion La remise en question du mécanisme classique, autrement dit de la théorie qui assimile

progressive la réalisation de quelque force immanente de l'histoire, force cachée dont on pourrait néanmoins deviner la forme et anticiper le but. Rien n'est plus éloigné de Condorcet que la représentation déterministe du mouvement historique. La perfectibilité est une notion qui traduit chez lui une espérance, un idéal, dont la légitimité est rendue possible par un double constat explicite dans l'Esquisse d'un tableau historique des progrès de l'esprit humain. D'abord, l'idéal de progrès humain, entendu

le rituel. Le compas, instrument de mesure et de comparaison est le symbole de l’équité, de la justice envers tous les hommes et en particulier nos frères. Ces principes reposent sur un postulat : la non-absurdité du monde et de la vie, la perfectibilité de l’homme et de la société, le but de la franc-maçonnerie étant le perfectionnement moral de soi d’abord et de l’humanité ensuite. Avec le volume de la loi sacrée, la franc-maçonnerie nous invite également à nous ouvrir à une spiritualité maçonnique

les hommes. Animal = instints = pulsions + savoirs faire ( mode d’emploi ) Humain = pas d’instincts = il y a des pulsions , mais pas vraiment de savoir faire La société compe cette lacune exutoire L’humain n’est pas le seul intelligent Perfectibilité = la possibilité de changer , de se transformer , pour le meilleur et pour le pire . Elle est à la fois individuelle et collective ! L’avenir n’est jamais défini a l’avance Autre caractéristique ; Deux sentiments naturels : l’amour de sois

est asocial, mais non associable : « Il n'est pas réfractaire à la société ; mais il n'y est pas enclin. Il a en lui les germes qui, développés, deviendront les vertus sociales, les inclinations sociales ; mais ils ne sont que des puissances. La perfectibilité, les vertus sociales et les autres facultés que l'homme naturel avait reçues en puissance ne pouvaient jamais se développer d'elles-mêmes » Second Discours, première partie). L'homme est sociable avant même de se socialiser. Il y a en lui un potentiel

refus d’inscrire la servitude dans la nature, l’ordre social n’est pas aliénant à partir de la nature. C’est l’idée d’un libre arbitre essentiel des hommes et la distinction entre ce qui est virtuel et ce qui est réalisé, on rejoint le thème de la perfectibilité　 de Rousseau et du libre arbitre de Kant. En deuxième implication il y a la désignation d’un état de faits qui contredit la liberté originelle. Nous avons donc une confrontation entre le fait et le droit naturel, ce qui découle de l’état de

temps : « abondance ; luxe ; ornements ; or ; trésors ; superflu ; nouveaux biens ; partage ; le tien, le mien ». Écho de thèmes épicuriens : les raffinements de la société augmentent le bonheur des hommes. III) L’importance du progrès 1) La perfectibilité de l’homme Voltaire insiste sur le fait que « le bon vieux temps », « les beaux jours », « le jardin de nos premiers parents », « nos bons aïeux », « n’avaient rien » c’est-à-dire, ne connaissaient rien, n’avaient rien découvert de fondamental

naturelles" qui gouvernent le monde et d'en édicter les règles[4]. 3. Le corollaire d'un tel mode de pensée est un optimisme irréductible face au progrès, à la science et la nature : l'idée centrale du libéralisme consiste à introduire la notion de perfectibilité : la raison peut par son seul pouvoir, faire progresser dans l'ordre de la connaissance et de l'action. Dans cette optique, on aboutit à une vision linéaire de l'histoire où "tout rationalisme est un progressisme"[ 3 ]. L'appareillage mathématique