La Perfectibilite

puisque chaque mot valaient pour lui même. L’homme n’avait pas la capacité de former des phrases ou des discours complexes il créer un mot pour chaque idée. Rousseau dit que le langage naturel est plus roche que le mot que nous utilisons nous. La perfectibilité est un néologisme (mot inventé) rousseau l’a inventé. Pour rousseau le langage a permis au homme de se former des idées générales, l’homme en se socialisant a progressivement cesser de considérer un objet à la fois et qu’il l’a classé, généralisé

est ainsi de toute société ? On a souvent prêté à Rousseau un pessimisme radical, la perfection était dans l’état de nature et maintenant elle n’est plus possible mais en fait on peut trouver dans l’œuvre de Rousseau la raison d’espérer : - La perfectibilité qui distingue l’Homme de l’animal qui sommeille dans l’Homme naturel -L’état civil contient en germe quelque chose qui n’existe pas dans l’état de nature : la moralité. Comment la société peut-elle être organisée de façon à assurer la liberté

sa liberté de choisir et de rejeter. De plus, il est possible pour lui de se perfectionner, d’évoluer et d’acquérir de nouvelles connaissances tout au long de sa vie, et ce, pour le meilleur ou pour le pire. À l’aide de la théorie de la perfectibilité, nous pouvons déduire que l’être humain a la capacité de recevoir une éducation collégiale, puisque les études permettent à l’humain d’évoluer en s’appropriant une multitude de connaissances. Par contre, la pédagogie de Rousseau, comme

culture. La culture règle nos comportement comme le ferais la nature. L'animal est dirigé par l'instinct, l'homme par la culture, système de normes et de valeurs partagés. La maturité biologique ne nous accompli pas, nous sommes perfectible (la perfectibilité → Rousseaux). Où se situe la ligne de démarcation entre nature et culture? Certains pensent que c'est la technique (raison technicienne du mythe de Prométhée). D'autres, comme Levi Strauss, c'est le langage articulé. L'homme est un animal symbolique

[cha] et l’animal à moustaches et poils qui traîne dans le salon. C’est ce qu’on appelle l’arbitraire du signe. Le langage animal est un automatisme sensori-moteur alors que « La langue de convention n’appartient qu’à l’homme. » (Rousseau) + Perfectibilité de l’homme (idée de progrès) Emile Benveniste qui souligne le fait que la différence entre le langage humain et le langage animal est liée à la maîtrise de la faculté symbolique : C’est cela qui est propre à l’homme et qui fait de l’homme un

(1748), que l’homme doit s’inspirer des lois naturelles insufflées par Dieu pour fonder la société civile. Dans son Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes (1755), Rousseau distingue l’homme de l’animal par sa perfectibilité. L’homme est bon, c’est la société civile qui l’a corrompu ; il lui appartient donc de retrouver les lois naturelles. La critique de la religion. La remise en question du mécanisme classique, autrement dit de la théorie qui assimile l’univers

de nature se suffit à lui-même. Enfin, l'homme sauvage n'a que les sentiments et les lumières propres à cet état, d'où l'absence de passions. Ce type d'homme n'est pas destiné à vouloir se changer : il n'a pas la faculté de se perfectionner (perfectibilité ; faculté propre à l'homme socialisé). De ce fait, l'intelligence de l'homme sauvage ne fait pas plus de progrès que sa vanité : il aspire seulement à sa propre conservation. Homme civilisé : L'homme sauvage est « sujet à peu de passions »

 » D’ailleurs, la « Forme du contrat social » entre l’homme et la femme définit un « acte conjugal » formulé au futur, temps de l’espoir ici précisant : « combien il offrira aux sages de moyens moraux pour arriver à la perfectibilité d’un gouvernement heureux ! ». Cependant, l’oratrice relève un paradoxe : ce sont les femmes elles-mêmes qui retardent l’avènement de rapports égalitaires entre les sexes et participent donc à la lenteur de l’application des lois et à la restauration

ne signifie pas tant que les êtres humains quand ils viennent au monde ne sont rien, mais signifie qu’ils sont des êtres en puissance, c’est à dire susceptibles de devenir. Cette dimension propre à la condition humaine, que Rousseau nommait la perfectibilité, fait que l’image de l’homme, tant au niveau individuel qu’à celui de l’espèce est en construction permanente. Devenir un homme ce n’est pas seulement naître au sein d’une communauté humaine. Ce n’est pas non plus seulement hériter d’une culture

l’homme n’a pas d’essence, qu’ « il est liberté »). Rousseau souligne ainsi avec force l’infinité des possibles qui caractérise l’humanité. La « perfectibilité », cette capacité illimitée qu’a l’homme d’être « plus », ou autre que ce qu’il est, caractérise l’humanité. Faculté de se perfectionner, se transformer, se développer, soit, de progresser, la perfectibilité correspond à l’extraordinaire plasticité de l’homme. Toutefois, précise-t-il, cette malléabilité peut entraîner l’homme à tomber plus bas que