La Perfectibilite

l'animal, il est dependant d'autrui. L'animal lui est degourdi = Paradoxe l'homme est amener a depassé l'animal. L'humanité est: " une espece en etat d'enfance perpetuel parce qu'elle connait une processus de dvp permanent " Maria Montessori = perfectibilité humaine. " Le naturel de l'homme c'est ce qui tient l'heredité. Le culturel c'est ce qui tient a l'heritage ". Zola. Le naturel c'est ce qui constitue l'homme, la transmission genetique. Le culturel c'est ce qui est acquis lors de l'education

| | | | |Kant : perfectibilité : inachèvement de l’homme. A des dispositions | | | |naturelles, mais ces dispositions ne peuvent être réalisées

cette force naturelle qui les pousse à répondre à leurs besoins. L'homme, lui, en se détachant de la Nature, a fait état de sa liberté. Seul être capable de création artistique, il modèle la nature en la réinventant perpétuellement, réaffirme sa perfectibilité. Hannah Arendt, théoricienne du travail, distingue deux types de production en fonction de leur durabilité : l'Homo Faber qui modèle des objets d'usage à durée de vie étendue contre l'Animal Laborans qui ne créé que pour subsister dans l'instant

celles ci sont diamétralement opposées), et, par additions de ces cultures, il pourra se forger sa propre culture en prenant des éléments émanant des deux systèmes culturels dont il est issu. Jean-Jacques Rousseau au XVIIIème siècle parle de « perfectibilité » chez l’être humain. C’est cette capacité d’auto transformation qui explique que l’Homme puisse choisir sa voie et par conséquence accepter ou renier sa culture mais aussi aller assimiler des éléments d’autres cultures. L’Homme est

définissent son "côté métaphysique et moral".Les qualités morales correspondent aux relations des hommes entre eux (pitié et passions). Les qualités métaphysiques sont celles qui permettent de distinguer l'être animal de l'être humain (liberté et perfectibilité mais pas l'intelligence abstraite selon Rousseau). Ceci permet ainsi de comprendre combien l'homme s'est éloigné de la nature. Hommes et animaux ont des sens. Mais pour les animaux, c'est la nature, les instincts qui agissent. L'animal ne

amène les humanistes à traduire la Bible. UNE NOUVELLE IDEE DE L'HOMME L'humanisme installe l'homme «au centre de l'Univers» (Pic de la Mirandole). Les extraordinaires avancées intellectuelles de l'époque fondent une confiance nouvelle en la perfectibilité de la nature de l'homme. Le corps est réhabilité : la peinture renaissante exalte la nudité. Rabelais prône son épanouissement physique : «Un esprit sain dans un corps sain». LES IDEAUX L'éducation, préoccupation majeure des humanistes, se

animale et la raison humaine que l’auteur à tenter d’expliquer que l’homme n’est pas soumis à la nature, contrairement aux animaux. Sa thèse est reprise par Rousseau lors de son enquête sur la nature humaine. Lui aussi parle de « principe de perfectibilité » mais évoque avec cela le fait que l’homme est sujet à devenir « imbécile » (ici, dans le sens de faible). Rousseau, dans le Discours sur l’origine de l’inégalité des hommes, dit : " Mais, quand les difficultés qui environnent toutes ces questions

but en soi. Pour y tendre, le franc-maçon privilégie le travail, c’est-à-dire l’étude des symboles et des mythes et, au Grand Orient de France, l’analyse des problèmes sociaux, mais toujours sous un éclairage symbolique. Il est convaincu de la perfectibilité de l’espèce humaine, ce qui le rend nécessairement tolérant. En cela, la Franc-Maçonnerie est une école de la libre pensée ; elle s’oppose naturellement aux théories conformistes, dogmatiques ou idéologiques. b) La Franc Maçonnerie Tourangelle :

les lois et les vertus joueront les rôles de ces deux instincts. Ainsi, l’inégalité est à peine perceptible dans l’état de la nature. En de nombreux points, le sauvage ressemble aux animaux, à l’exception de sa faculté à se perfectionner. Cette perfectibilité sera la source de sa sortie de l’état naturel et la cause de son malheur, selon Rousseau. L’homme est avant tout un animal. Il étudie donc l’homme sous deux formes : son aspect physique puis son aspect moral et psychologique. Rousseau décrit également

plus simple apparence, le voir au fond comme un individu, un être (avec opposition de Dieu) - partout = en tout lieu, toute situation… - Homme = au sens d’Humanité, pas seulement êtres vivants, avec ses qualités et ses défauts, dans toute perfectibilité et son imperfectibilité. ➔ Où nous avons trouvé ce qui l’écrase : ce qui empêche homme d’être homme / de s’accomplir / d’être libre... Qu’est-ce qui écrase homme ? LA RELIGION ET DIEU / LE POUVOIR ET LE FAIT D’ÊTRE SOUMIS A D’AUTRES HOMMES