La Perfectibilite

fait avancer l’homme et que chacun doit effectivement pratiquer. Deux sens du mot culture, la culture au sens où elle se distingue de la nature et la culture qui cherche à améliorer le travail de son esprit, et que l’on peut augmenter. 1) La perfectibilité : la culture, au delà de la nature a- L’homme doit donner lui même un sens à sa vie L’homme peut donner lui même un sens à son existence. Démontre la raison pour laquelle l’homme a besoin de s’éduquer, d’être éduqué. L’essentiel de ce dont

en sociétés. En effet Rousseau souligne au para 3 que si l'homme n'a peut-être aucun instinct qui lui appartienne, il a la capacité de s'approprier les instincts des autres animaux. Cela préfigure ce que Rousseau développera au para.16 sur la perfectibilité de l'homme. Si par ailleurs l'homme ne dispose pas des outils qui ne seront inventés que par la suite, il a en revanche son propre corps comme instrument naturel. Enfin si l'homme ne dispose pas des secours de la médecine, il n'est pas non plus

animaux supérieurs et à l’homme, et la conscience réfléchie, propres aux êtres humains. Pour Descartes la conscience est l’attribut essentiel de la pensée tandis que pour Freud elle n’est liée qu’à une faible partie de notre activité mentale. Perfectibilité : Sens usuel : aptitude à progresser, à se perfectionner. Chez Rousseau : aptitude à changer de formes, plasticité. Cette caractéristique, remarquable chez l’homme, est ambiguë. L’homme peut sans doute progresser (devenir plus savant, plus intelligent

conduite/capacité d’invention/d’imitation/d’adaptation). Cette faculté est à la source de ses possibilités intellectuelles (illimités). Cependant, il ne l’exploite que très peu si la nature est abondante. Ce sont les circonstances qui permettront à la perfectibilité de s’actualiser. 2ème étape : Les circonstances extérieures conduisent les hommes à se regrouper, animés par leur instinct. Ils vont former des groupes afin d’assuer leur survie face à l’hostilité de la Nature. Ce 1er contact avec d’autres

l’au-delà. Le bonheur individuel et collectif se substitue au salut. L’ancin philosophe se caractérisait par son retrait du monde et par la distance prise par rapport aux faiblesses de l’homme. L’encyclopédiste lui, a confiance dans l’homme et sa perfectibilité. L’homme, selon les philosophes, ne doit être jugé que sur ses actions, peu importent les motivations. Tout homme est doué d’un sens moral qui l’empêcherait de ne pas se rendre compte du mal qu’il fait quand il le fait. Rousseau : « Toute

que l’homme doit s’inspirer des lois naturelles insufflées par Dieu pour fonder la société civile. Dans son Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes (1755), Rousseau(1712-1778) distingue l’homme de l’animal par sa perfectibilité. L’homme est bon, c’est la société civile qui l’a corrompu ; il lui appartient donc de retrouver les lois naturelles. La critique de la religion. La remise en question du mécanisme classique, autrement dit de la théorie qui assimile l’univers

étant n’étant réellement homme que par l’éducation et la transmission d’une génération à l’autre il se distingue de l’animal déterminé dès sa naissance par la nature. Comme l’affirmait Jean-Jacques Rousseau, ce qui caractérise l’homme c’est sa perfectibilité et donc sa liberté. Mais du coup les humains peuvent agir penser vivre de façons fort différentes les uns des autres. La culture (ce que l’homme s’ajoute à lui-même par lui-même et qui s’oppose à la nature) a pour conséquence les cultures dans

y a dans l'animal humain, avant toute éducation des capacités en puissance, un potentiel que nous ne trouvons pas chez les autres animaux. Par nature, l'homme peut passer de la puissance à l'acte. Jean-Jacques Rousseau définit cette aptitude "perfectibilité" dans le Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes. Selon lui, cette faculté permet à l'homme de développer successivement ses autres facultés. Ainsi cette puissance en alliance avec l'instruction guide l'homme,

l'Antiquité, la sauvagerie change de statut et devient primitive, c'est à dire au départ de. Ses recherches tendent à penser l'histoire universelle dans laquelle chaque société doit avoir sa place. A la fin du siècle, la notion de progrès et de perfectibilité s'est imposé. En Allemagne, on se penche sur une ethnologie générale alors qu'en France, on tente des comparaisons institutionnelles et les premières notions d'anthropologie religieuse apparaissent. Autre influence majeure sur l'anthropologie

toutes nos actions en ce lieu : du tatouage à la séance de bronzage en passant bien sûr par toute la fonte soulevée et les kilomètres parcourus. C’est donc dire que l’individu est lui-même formaté par ce lieu. Ce lieu nous révèle la capacité de perfectibilité de l’Homme en société tel que décrit par Rousseau dans son Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes. Comme il le dit si bien : « l’animal est au bout de quelques mois ce qu’il sera toute sa vie». Cela est l’antithèse