La Perfectibilite

Genèse à partir de poussière. Ce premier homme est donc créé à partir de rien : Dieu le crée sans règles pré-établies qui pourrait lui servir de modèle. Il le tire du néant. Adam est fait à l'image de Dieu, qui est censé être l'être parfait : la perfectibilité de l'homme est alors impossible vu qu'il est fait sur le modèle de l'être absolu. C'est de la part de Dieu un exploit, celui de dompter les éléments pour faire la plus belle chose qui soit, à savoir l'existence. L'homme, bien qu'étant un animal

constructions humaines doit de fait de ne pas considérer la nature comme un modèle moral ou utile. On peut croire que le texte de Mill peut être une critique de la philosophie de Rousseau, c’est-à-dire la critique de la culture et du progrès soit la perfectibilité. Et que l’homme est naturellement bon et qu’il se construit dans le chemin de Descartes : Que l’homme est comme maître te possesseur de la nature.

de nature et état civil mais cet état de nature hypothétique n’est alors qu’un concept opératoire, un instrument d’analyse méthodologique dans lequel serait l’homme si on lui retirait tout ce que la société lui a apporté. Il découvre ainsi la perfectibilité, qualité première de l’homme, qui fit rompre l’harmonie primitive avec la nature. 3. Y a-t-il une nature humaine ? L’ethnologie a repris cet outil hypothétique pour mieux analyser la variété des formes culturelles de l’homme. Ainsi Lévi-Strauss

s’adapter à chaque fois, Réagir, Etre à l’écoute, Regarder, Toucher, Respirer, Goûter. Chaque sens est sollicité. N’est pas cette recherche perpétuelle qui nous anime ? "Les francs-maçons ne sont pas des être parfaits, ils croient à la perfectibilité et non pas à la perfection, ils ont besoin comme tout un chacun d'évacuer leurs humeurs" "Rompre le pain ensemble c'est se relier à partir du pain" "Qu'est-ce qu'une communauté? C'est quand on rompt le pain ensemble, pourrait-on dire. Le pain

à posséder la faculté de se perfectionner. Donc l'espèce humaine ne se définit pas par des caractéristiques concrêtes mais par une capacité universelle: celle de changer. Ce qui se rêvèle être la nature de l’homme n’est pas la culture mais sa perfectibilité, c'est-à-dire sa faculté à apprendre et à s’éduquer. Cette éducation accorde à l’homme d’acquérir de la culture et donc de se déjouer des contraintes que lui offre la nature. Ce qui est la nature de l’homme c’est donc cette capacité innée qu’il

laquelle tout ce qui existe a une explication rationnelle Attitude de l'esprit qui n'accorde de valeur qu'au raisonnement. Doctrine qui affirme que tout est matière Façon de vivre basée sur la recherche des plaisirs et des biens matériels Perfectibilité: langage soutenu qualité de ce qui est perfectible. Déisme: Le fait de croire en l'existence d'un Dieu, sans référence à une religion. Athéisme: doctrine, attitude de ceux qui nient l'existence de Dieu. Relativisme:

l’homme a envers lui-même afin de lui donner l’occasion de développer « les facultés qui sommeillent en lui », comme l’évoque Marx dans les Manuscrits de 1844. (voir cours). Ces facultés sont l’observation, l’anticipation, le calcul, l’habileté, la perfectibilité etc. En un mot, le travail humanise l’homme, il est facteur de progrès (l’animal ne travaille pas). Il permet à l’homme de faire passer ses potentialités de la puissance à l’acte et de l’inscrire dans une histoire : celle des progrès du genre

penser et ainsi pouvoir se représenter des images mentales et pouvoir partager ses pensées par d’autres moyens que la parole (ex. un homme a écris un livre en communiquant avec une seule paupière). De plus, la parole amène l’homme a la perfectibilité. En d’autres mots, a s’améliorer. C’est donc de cette manière que le langage est né et s’est développé.Revenons à la culture : comment les hommes ont-ils été capables de se représenter la vie et le temps en commun? Pour ce qui est du temps

opération renouvelée. De nos jours, cette sagesse du passage se heurte à deux puissantes tendances de l'univers contemporain: l'individualisme, d'une part, qui nous persuade de l'extrême originalité et de la suprême valeur de notre existence; la perfectibilité, d'autre part, qui nous convainc que le vieillesse n'est pas une fatalité. Il n'y a donc guère d'espoir de prétendre restaurer de véritables rites de passages autrement que sous la forme du folklore. Mais cela ne signifie pas pour autant que tout

donc parti d’une sagesse basée sur la raison et les idées des grands philosophes de son époque en dénonçant la sottise et la prétention excessive des humains. Micromégas est constitué de sept chapitres qui, peut être, renforcent cette idée de perfectibilité de l’homme apparue au XVIIIème siècle, le chiffre sept étant considéré par certains comme symbole de la perfection. Voltaire développe plusieurs thèmes tout au long du récit. On retrouve, par exemple, le thème de l’orgueil caractéristique