La Perfectibilite

question qui apparaît à première vue difficile à résoudre, mais pour l’auteur, Jean-Jacques Rousseau, un élément ne fait aucun doute et marque la différence essentielle entre l'homme et l'animal, c'est la faculté de se perfectionner qu'il nomme perfectibilité, Jean-Jacques Rousseau se demande dans le présent texte ce qui différencie l’homme de l’animal dans l’environnement de la nature. L’auteur répond de manière surprenante en soutenant qu’il n’existe au final qu’une seule distinction qui est la

l'Homme. Ainsi, l'être humain doté de raison saura notamment distinguer le Bien du Mal. Enfin, ce qui semblerait différencier le plus l'Homme de l'animal est sa perfectibilité. C'est à dire que l'Homme est naturellement capable d'évoluer et de se perfectionner si son milieu de vie le permet et s'il s'en donne les moyens. Ainsi, la perfectibilité n'est-elle pas liée à la culture ? Pour que l'Homme sauvage devienne un être de culture, il est tout d'abord nécessaire de l'arracher à la nature et le

de soi de l’homme à l’état de nature par la raison morale. Ainsi, puisque l’homme social est doté de raison morale et de pitié, il est capable de voir et comprendre les inégalités sociales. Rousseau parle aussi d’un autre concept, celui de la perfectibilité, « […] la faculté de se perfectionner ». Malgré que Rousseau dise de celle-ci « la source de tous les malheurs de l’homme [car] c’est elle qui le tire, […], de [son état de nature] », c’est aussi elle qui nous permettrait de sortir de l’inégalité

l’homme à l’état de nature par la liberté, la perfectibilité, l’amour de soi, le sentiment de pitié et l’égalité. Pour ce qui est de la liberté, il croit qu’on est libre parce qu’on est autonome. C’est ainsi qu’on peut subvenir à nos besoins et qu’on ne dépend ni de rien, ni de personne. Également, on est libre puisqu’on peut choisir ou non ce que notre instinct nous commande et nous sommes conscient de notre liberté. Il parle aussi de la perfectibilité. Ceci est l’idée d’une transformation possible

 L’être humain a le pouvoir de choisir de répondre ou non à ses instincts.  Il a conscience de sa liberté. - Suite ii. La perfectibilité(Voir p. 127-128)  La perfectibilité de l’ê.h. découle directement de sa liberté.  Définition : faculté de se perfectionner, i.e. possibilité d’acquérir de nouvelles qualités que la nature ne donne pas au départ.  La perfectibilité entraîne la transformation de notre nature. Cette transformation peut être bonne ou mauvaise.  Contrairement à Descartes, l’ê

nature humaine, ce que l’homme obtient par le travail ? Ce qui s’acquiert ou qui est acquis peut-il être inné ? La capacité d’apprendre démontrée par les scientifiques qui se sont penchés sur ce cas,  prouvent une qualité naturelle de l’homme : sa perfectibilité. C’est par ce principe que le passage de l’état sauvage à l’état de nature. L’homme est naturellement perfectible, face aux difficultés que lui impose la nature dans son état de nature, l’homme doit s’adapter : il lui faut sans cesse et de manière

IL FAUT COMPRENDRE PAR « DEMARCHE » LE FAIT QUE LE POLITIQUE S'APPARENTE à UN WORK IN PROGRESS. L'ETHIQUE REDEVIENT ALORS LE MOYEN PAR EXCELLENCE DE L'ACTION POLITIQUE, DANS UNE LOGIQUE DE PERFECTIBILITE DE LA COMAUNAUTE. III – L'ETHIQUE, MODE DE PENSÉE ET MODÈLE D'ACTION DANS UNE LOGIQUE DE PERFECTIBILITÉ DU POLITIQUE. la compatibilité entre ethique et action politique : l'ethique, en ce qu'elle est mesurée, permet d'avoir un semblant de contrôle sur les conséquences de l'action politique

notre liberté, c’est une progression continue et irréversible, donc intimement liée à la notion de morale. L’existence du progrès moral réside dans la nature de l’homme comme étant le plus puissant agent du progrès et le seul être capable de perfectibilité morale. Au cours de l’évolution naturelle des êtres vivants, on est témoin d’une succession de progrès que l’on peut qualifier de progrès seulement matériels et interpréter comme une amélioration de l’organisation des êtres, une amélioration

mais on ne peut que se montrer indulgent si l'on songe à l'époque où il fut créé » car l’homme était donc moins parfait avant et l’on sous-entend une évolution chez lui. Or, cette perfectibilité constitue-t-elle un "progrès » dans tous les sens du terme, ou serait-elle signe de déchéance? Ou bien encore, cette perfectibilité n'est-elle pas simplement le signe d'une liberté irréductible au-delà du sens conceptuel à une morale particulière? La base de l’homme pour être parfait est de répondre à la

savoir et de la raison mais également de l'homme lui-même. Faisant de lui un être susceptible de perfectibilité, idée qui lui est chère. Il dit en effet que " c'est par l'activité des passions que notre raison se perfectionne " ( l. 3).Par où l'on voit que les passions jouent un rôle de premier plan dans le perfectionnement de l'être humain. Les concepts de développement de la raison et de perfectibilité de l'être humain renvoient donc aux passions. Si Rousseau gratifie celles-ci de nouvelles vertus