La Perfectibilite

définie par Rousseau ou bien défini par le travail tel que l’interprète Marx. Dans les paragraphes suivants, nous analysons les concepts clés des deux philosophes ainsi qu’une thèse pour décrire l’être humain. Développement Selon Rousseau, la perfectibilité signifie que l’homme est ouvert et disponible au changement. Il a une bonne capacité d’adaptation aux transformations. De base, le philosophe s’est basé sur la notion de l’état de nature, soit à l’époque de l’homme originaire. Cela met de l’avant

permette d’expliquer cette possibilité pour l’homme de s’arracher à la nature. Quelles peuvent être les caractéristiques naturelles de l’homme permettant alors une telle diversité aussi bien sociale que comportementale ? 3- Libre arbitre et perfectibilité comme caractéristiques naturelles et universelles de l’homme ?Référence : Rousseau → l’état de nature comme fiction théorique permettant de rendre compte de la réalité humaine telle qu’on la constate (inégalité et diversité des sociétés et des

s'il il n'était pas d'abord perfectible, elle se manifeste lorsque l'homme rencontre des problèmes. Cette perfectibilité existe d'abord en puissance et ce n'est qu'après qu'elle va se manifester en acte. => Toute culture travaille la nature. Quelle est la marque de l’humanité ? Sa perfectibilité => L’homme est le seul dans son genre, la dignité(valeur morale) se fonde sur sa perfectibilité.

avoir pour apprendre est peut-être son essence… ­Si l’on se réfère à Victor l’enfant sauvage, sa capacité d’apprendre démontrée par les scientifiques qui se sont penchés sur son cas prouve une qualité naturelle de l’homme : sa perfectibilité. Le principe de perfectibilité, énoncé par Rousseau, souligne la différence entre l’homme et l’animal : l’animal se fie à son instinct et n’innove pas tandis que l’homme montre une aptitude à s’adapter à une situation inédite. Parce qu’il est naturellement perfectible

mais on ne peut que se montrer indulgent si l'on songe à l'époque où il fut créé » car l’homme était donc moins parfait avant et l’on sous-entend une évolution chez lui. Or, cette perfectibilité constitue-t-elle un "progrès » dans tous les sens du terme, ou serait-elle signe de déchéance? Ou bien encore, cette perfectibilité n'est-elle pas simplement le signe d'une liberté irréductible au-delà du sens conceptuel à une morale particulière? La base de l’homme pour être parfait est de répondre à la célèbre

et sa valeur morale (capacité à faire le Bien) , il ne deviendra jamais meilleur intellectuellement ni moralement et cela est contraire à l’idée d’humanité, de perfectibilité. Perfectibilité : Faculté d’acquérir de nouvelles facultés à la différence de l’animal. Capable de progrès. Remarque sur la perfectibilité : La perfectibilité n’est pas synonyme de perfection puisque l’homme peut perdre tout ce qu’il a appris et « redescendre plus bas que la bête même ». L’homme peut aussi s’améliorer

(1748), que l’homme doit s’inspirer des lois naturelles insufflées par Dieu pour fonder la société civile. Dans son Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes (1755), Rousseau distingue l’homme de l’animal par sa perfectibilité. L’homme est bon, c’est la société civile qui l’a corrompu ; il lui appartient donc de retrouver les lois naturelles. La critique de la religion. La remise en question du mécanisme classique, autrement dit de la théorie qui assimile l’univers

cette évolution s’est traduite par un progrès moral ou si le progrès de la civilisation peut s’accompagner de la plus grande inhumanité. I. L’homme se définit par sa perfectibilité : meilleur = plus performant - Définition de la culture au sens anthropologique ; arrachement à l’état sauvage ou animal. - Analyse de la perfectibilité : texte de Rousseau, Discours sur l’origine…. - Conséquences : l’histoire humaine est accélérée ; transformation des hommes, de leur mode de vie, de l’environnement

Lumières, trouve le fondement de cette différence dans deux autres concepts : ce qu’il appelle la pitié naturelle et la perfectibilité. Cette pitié naturelle, vertu qualifiée d’universelle chez l’être humain, serait chez l’Homme « antérieure à toute réflexion », permettant d’éprouver « une répugnance innée à voir souffrir son semblable ». En plus de cela, nous serions dotés de perfectibilité, idée selon laquelle l’être humain, est par nature, non achevé, et qu’il est capable de réaliser sa nature morale

humaine. L’objet du texte est de montrer que l’Homme se différencie de l’animal de par une liberté et une perfectibilité qui lui sont propre. En définitive, en quoi l’Homme, par sa différence a l’animal, est-il l’auteur de son propre devenir ? Pour répondre à cette question je verrai dans un premier mouvement la liberté naturelle de l’Homme. Puis dans un second mouvement j’étudierai la perfectibilité humaine. Rousseau commence par dire que « tout animal a des idées puisqu’il a des sens ». L’animal est