Assortiment Darty

considérable puisque l’activité commerciale des distributeurs représente 10,6% de la valeur ajoutée de l’économie française.  Bref historique : 1850-1950 : les premiers pas En 1852 Aristide Boucicaut invente le grand magasin : grande surface, assortiment large, prix bas, libre accès des consommateurs aux produits. C’est la première forme réelle de distribution de masse. 1866-1920 : le commerce s’organise : succursalisme, coopérative, groupement de commerçants. La crise de 1929 a un impact direct

l’ensemble des magasins, qui est privilégiée en tant que vecteur d’attraction du centre. Les commerces sont peu considérés individuellement et sont essentiellement identifiés en fonction de la nature de l’offre de produits et de la largeur de leur assortiment (taille des magasins). Plus qu’un portefeuille d’enseignes, le centre commercial tend à être géré comme un portefeuille de produits, s’inscrivant plus ou moins en cohérence avec les besoins utilitaires des consommateurs. 1.3. Le paradigme marketing

l'emballage: (le packaging) sont de plus en plus considérés comme de véritable outils de communication -les services annexes rendus au consommateur , tels que la livraison, l'installation, la mise en service, échange -l'allotissement(lot>assortiment(mélanger)), ce choix nécessite une parfaite connaissance de marché ainsi que des talents de négociateur -la mise en valeur des bien proposées par une gestion des points de contact avec les clients, la gestion des transferts de propriété (gestion

le même toit : mariage de l’alimentaire et du non alimentaire. 15000 références / 400 places de parking / Station essence. D. Les grandes surfaces spécialisées (GSS) 1966 : Darty 1967 : Conforama 1969 : Castorama E. Les centres commerciaux 1948 aux USA : les centres villes sont saturés et la population quitte ceux-ci pour habiter en périphérie

(université Paris 10 Nanterre), Francis Guilbert (IAE de Lille), Hervé Guyon (université de Bretagne occidentale), Marie-Louise Héliès-Hassid (université Paris-Dauphine), Joël Jallais (IAE/IGR de Rennes), Virginie Lainé (Ségécé), Jean-Pierre Lanzetti (Darty), Jean Marc Lamarins (Lactalis), Anne Leger (Champion), Stanislas Lepic (Kraft Food), Sandra Maliszewski (Monoprix), Régis Nirdol (Auchan), Gilles Paché (université de Montpellier), Suzanne Pontier (université Paris 12), Sophie Rieunier (IAE de Paris)

des forces de vente. 1. Définition du trade marketing. Alain Baron d'Euromarché définit le trade marketing comme suit : « La fonction de TRADE MARKETING s'insère en amont de l'achat avec les objectifs majeurs : 1) permettre la construction des assortiments les plus judicieux en ayant balayé la logistique, le flux de marchandises, le flux d'informations, l'administration, la portion de marché, l'apport d'image, la mise en avant, la revente et plus globalement la recherche de partage des bénéfices

Stratégie de prix pour un assortiment de produits (1/2) Définir les prix au sein d’une gamme : Sur la base des coûts de production et des perceptions de clients (besoin d’une différence perceptuelle) Définir le prix des options : deux grandes stratégies : Modèles d’entrée de gamme (produit d’appel) puis convertir les clients vers les options (ex : le « freemium ») Offre complète, riche en option (cf. tarification à la valeur ajoutée) Stratégie de prix pour un assortiment de produits (2/2)

spécialisés (boulangerie-boucherie). Le minilibre-service (moins de 120 m²) offre un assortiment étroit de produits courants (environ 300 références) ; la supérette (surface comprise entre 120 et 400 m²) en offre en moyenne 1 700. La zone de chalandise de ces deux magasins est peu étendue, de l’ordre de cinq minutes de déplacement. Les supermarchés offrent une gamme diversifiée de produits alimentaires ainsi qu’un assortiment de produits non alimentaires variable en fonction de la surface occupée (de 400

1970), l’adaptation ne peut plus seulement se réaliser à travers une offre produit-magasin cohérente et adaptée. Bien que le point de vente soit un des premiers médias de l’enseigne (Andrieu et Dupuis, 1998), les éléments du mix (localisation, assortiment et merchandising, politique de prix et communication) ne suffisent pas à eux seuls à assurer l’originalité du concept et la différenciation de l’enseigne. Pour assurer leur pérennité, les distributeurs doivent proposer un concept global en terme

produits par zone géographique On peut voir sur ce graphique que la FNAC s’attaque à différents marchés. En effet, elle est la seule enseigne à proposer, dans un espace unique, un assortiment inégalé de six produits : livres, disques, micro-informatique, son, vidéo et photographie. Cependant, on peut également dire qu’elle s’attaque à un seul marché : celui de la vie culturelle courante du consommateur. En effet, le client retrouve dans